Diagnostiquée par surprise dans un salon de coiffure, cette star voit sa vie basculer

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Dans l’univers ultra-exposé des personnalités publiques, certains instants, pourtant anodins, peuvent marquer un tournant décisif. C’est ce qu’a récemment vécu Emma Chamberlain.

Un rendez-vous de routine qui alerte

L’influenceuse et entrepreneuse américaine, connue pour sa transparence et son authenticité, a vu sa vie basculer à la suite d’un événement totalement inattendu : une suspicion de syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) soulevée lors d’une simple visite chez son coiffeur.

Tout a commencé par ce qui devait être une banale journée de soin personnel. Emma Chamberlain, soucieuse de prendre du temps pour elle entre deux projets professionnels, avait pris rendez-vous dans un salon de coiffure réputé de Los Angeles. En discutant avec son coiffeur, ce dernier remarque des signes inhabituels sur son cuir chevelu et sa peau, suggérant des symptômes souvent associés à des troubles hormonaux.

Intriguée par cette observation, Emma consulte par la suite un médecin. Ce dernier évoque la possibilité d’un syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), une condition hormonale fréquente qui peut affecter la peau, les cycles menstruels et la fertilité.

Une réaction empreinte de lucidité et de courage

Emma Chamberlain a choisi de réagir avec une maturité remarquable. Dans son podcast « Anything Goes », elle a partagé cette expérience avec sincérité, tout en rappelant l’importance d’être attentif à son corps.

Elle précise cependant que, bien que les médecins soient assez confiants dans ce diagnostic, elle n’a pas encore passé tous les tests formels pour le confirmer à 100%. « Je n’aurais jamais pensé qu’une conversation dans un salon de coiffure pourrait mener à quelque chose d’aussi important », a-t-elle confié à ses abonnés.

 

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Une prise de conscience partagée avec sa communauté

Fidèle à son image authentique, la vidéaste web américaine Emma Chamberlain utilise son expérience pour sensibiliser sa communauté à l’importance de consulter en cas de doute. Elle rappelle ainsi que des conditions comme le SOPK sont souvent méconnues et sous-diagnostiquées, notamment chez les jeunes femmes. « On pense souvent que ce genre de problèmes n’arrive qu’à d’autres. Mais il est crucial d’être attentive aux signaux que notre corps nous envoie », a-t-elle souligné.

Un témoignage salué pour sa transparence

Depuis ses débuts sur YouTube, Emma Chamberlain s’est imposée comme une voix sincère et relatable dans l’univers très codifié des créatrices de contenus. Cette nouvelle « épreuve » vient renforcer cette image : loin de cacher ses fragilités, elle les partage pour aider d’autres personnes à se sentir moins seules. Son témoignage est salué par de nombreuses organisations de santé qui militent pour une meilleure reconnaissance et une prise en charge précoce du SOPK.

L’attitude d’Emma Chamberlain, entre résilience et volonté de sensibilisation, illustre l’importance de rester à l’écoute de soi et de consulter en cas de doute. Un exemple inspirant de courage et de responsabilité face aux épreuves.

On lui disait de le cacher, elle en a fait un acte de mode !

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Dans un monde où la beauté reste trop souvent normée, Iskra Lawrence continue de faire souffler un vent de liberté. Elle transforme ce qu’on lui disait de cacher en manifeste de fierté et d’acceptation de soi.

Un défilé qui casse les codes

Le mannequin britannique, figure emblématique du mouvement body positive, a une nouvelle fois bousculé les standards lors d’un événement mode marquant : elle a défilé avec son corps post-accouchement, sans chercher à le dissimuler, et en a fait un véritable manifeste d’acceptation. C’est lors de la New-York Fashion week qu’Iskra Lawrence est apparue sur le podium, rayonnante.

Dans une tenue qui mettait en valeur son corps transformé par la maternité, elle a revendiqué fièrement ses formes, ses marques. Là où d’autres auraient pu subir les injonctions à « retrouver leur silhouette d’avant », elle a choisi de montrer ce que tant d’autres préfèrent cacher sous la pression sociale. Cet acte de visibilité n’est pas anodin. Il intervient dans une industrie de la mode encore largement imprégnée de standards restrictifs, où le corps est souvent montré sous son jour le plus lisse et idéalisé.

 

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Un message fort sur les réseaux sociaux

Après son passage remarqué, Iskra Lawrence a partagé son expérience sur Instagram, dans un post inspirant. Elle y explique que de nombreuses voix lui avaient conseillé de « cacher son corps » après la naissance de son enfant. Fidèle à ses convictions, elle a préféré en faire une déclaration publique : celle que chaque femme mérite d’être célébrée dans toutes les étapes de sa vie, sans honte ni dissimulation.

Dans son message, elle rappelle combien « il est important de normaliser les corps réels, y compris après l’accouchement », période où les transformations physiques sont encore trop souvent passées sous silence ou stigmatisées. Son engagement est clair : donner à d’autres femmes la force de s’aimer telles qu’elles sont, et visibiliser des réalités souvent occultées.

 

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Le body positive au cœur de son parcours

Depuis plusieurs années, Iskra Lawrence s’illustre comme une militante active du body positivity. Mannequin dite grande taille, elle s’est imposée dans une industrie qui, longtemps, n’a offert que peu de place aux silhouettes sortant des normes traditionnelles.

Elle milite alors pour une représentation plus diverse, plus réaliste, et plus respectueuse des corps. Son choix de défiler avec son corps post-partum s’inscrit dans une continuité : celle de normaliser toutes les « étapes » de la vie des femmes, y compris celles que la société tend à invisibiliser ou à stigmatiser. Une initiative saluée par de nombreuses femmes sur les réseaux sociaux, qui y ont vu un message d’espoir et de fierté.

 

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Briser les injonctions, une nécessité

La pression exercée sur les jeunes mères pour « retrouver leur corps d’avant » est encore omniprésente. Publicités, magazines, influenceuses… les messages sont nombreux à présenter une image idéalisée, irréaliste et souvent culpabilisante du corps post-partum. En montant sur scène telle qu’elle est, sans retouches ni faux-semblants, Iskra Lawrence rappelle une évidence : le corps d’une femme après un accouchement n’a pas à être corrigé ou effacé.

Son geste contribue à briser un tabou persistant et offre une visibilité précieuse à toutes celles qui, loin des projecteurs, vivent cette transformation avec pudeur, parfois avec difficulté.

 

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Iskra Lawrence prouve qu’il est possible d’être puissante et visible sans se conformer aux standards traditionnels. En défiant les attentes, elle rappelle que la mode peut être un espace d’expression, de revendication, et non un carcan. Ce que d’aucuns voulaient lui faire cacher, elle en a fait un symbole de fierté !

Cette actrice de 56 ans n’a pas d’enfant : voici pourquoi

À Hollywood, où la vie privée des stars fait souvent autant parler que leur carrière, Renée Zellweger a toujours suivi son propre chemin. À 56 ans, elle brise les clichés hollywoodiens en parlant ouvertement de son choix de ne pas avoir d’enfants.

Une carrière marquée par l’excellence

Révélée au grand public en 1996 dans « Jerry Maguire » aux côtés de Tom Cruise, Renée Zellweger ne tarde pas à s’imposer comme l’une des figures majeures de sa génération. « Nurse Betty » en 2000 lui vaut un Golden Globe, tandis que « Chicago » en 2002 confirme son statut d’actrice accomplie. L’année suivante, sa performance dans « Cold Mountain » est couronnée par un Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle.

C’est sans aucun doute son rôle iconique de Bridget Jones dans la trilogie éponyme qui la rend véritablement incontournable aux yeux du grand public. Un personnage attachant et imparfait, dans lequel elle insuffle une authenticité rare. Après une pause dans sa carrière, elle revient avec éclat en 2019 dans « Judy », biopic bouleversant sur Judy Garland, pour lequel elle décroche un second Oscar, cette fois dans la catégorie meilleure actrice.

Une pause pour se retrouver

En 2008, alors que les tournages s’enchaînent, Renée Zellweger fait un choix fort : mettre sa carrière entre parenthèses. Pendant plus de 7 ans, elle prend du recul, loin des projecteurs. Une décision dictée par un besoin urgent de retrouver un équilibre personnel, comme elle l’a confié au New York Magazine.

« Je n’étais pas bien, je ne m’occupais pas de moi, j’étais le cadet de mes soucis. J’avais besoin de temps, ne pas avoir à prévoir 2 ans à l’avance ce que j’allais faire. J’avais besoin d’imprévu et de quiétude pour laisser aux envies le temps de naître en moi », explique-t-elle. Cette pause lui permet de se recentrer sur elle-même, loin de l’agitation médiatique.

La maternité : un choix personnel assumé

Interrogée à plusieurs reprises sur la maternité, Renée Zellweger a toujours été d’une honnêteté désarmante. Pour elle, ne pas avoir d’enfants n’a jamais été une privation, mais simplement un chemin de vie naturel. En 2008, dans les colonnes de People Magazine, elle déclarait ainsi sans détour : « La maternité n’a jamais été une ambition pour moi. Ce n’est pas ma manière de penser. Je n’ai jamais d’attentes du style : ‘quand j’aurai 19 ans je ferai ça, quand j’aurai 25 ans, je ferai ça’. Je prends juste les choses comme elles viennent, au jour le jour, et si les choses viennent tant mieux. Je veux juste être indépendante et pouvoir prendre soin de moi. Le reste, c’est du bonus ».

Huit ans plus tard, alors qu’elle est à nouveau interrogée sur le sujet par ExtraTV, elle reste fidèle à elle-même : « Je n’ai jamais réfléchi comme ça dans ma vie. Je suis ouverte à tout. Je n’ai pas de choix déterminé sur ce qui me rendrait heureuse dans ma vie ».

 

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Ces réponses claires et posées traduisent une philosophie de vie où la liberté personnelle prime sur les attentes sociales. Plutôt que de se conformer aux injonctions, l’actrice cultive son indépendance avec une sérénité rare dans le milieu hollywoodien. Depuis 2021, Renée Zellweger partage sa vie avec Ant Anstead, animateur britannique. Un amour discret et solide, loin des projecteurs, à l’image de la nouvelle sérénité qu’elle s’est construite.

L’heure précise à laquelle votre corps brûle le plus de graisses

On brûle des calories toute la journée… mais pas toujours au même rythme. Et non, votre métabolisme ne tourne pas à vitesse constante, comme un vieux frigo des années 80. Il suit un tempo bien précis, réglé comme du papier à musique par votre rythme circadien.

Un laboratoire sans fenêtres, 7 volontaires…

Imaginez la scène : 7 personnes enfermées dans un labo sans fenêtres. Pas d’horloge, pas de téléphone, pas même le doux clignotement d’une box Wi-Fi pour rappeler qu’on est bien en 2025. Juste des chercheurs, une lumière artificielle savamment dosée, et un planning dicté par des consignes strictes : « Levez-vous maintenant », « Mangez ceci », « Allez dormir ».

Bienvenue dans une étude publiée dans la revue Current Biology, menée pour observer un phénomène précis : comment l’horloge interne influence la dépense énergétique. L’idée, c’était de couper ces volontaires de toute notion du temps afin que leur corps se mette à suivre uniquement son propre rythme biologique. Une sorte de reset temporel, pour mieux scruter le fonctionnement de notre métabolisme.

Le verdict

La combustion des calories n’est pas uniforme tout au long de la journée. Même en étant au repos – sans lever un orteil – notre métabolisme est plus actif en fin d’après-midi et en début de soirée. Jusqu’à 10 % de calories brûlées en plus par rapport au matin, à activité équivalente.

Pourquoi ? Parce que votre température corporelle suit le même schéma. Elle est plus basse la nuit, remonte progressivement dans la journée, et atteint un pic thermique en fin d’après-midi. Or, ce petit coup de chaud entraîne un pic parallèle dans la dépense énergétique. Comme une chaudière qui s’emballe légèrement, même sans surchauffe musculaire. « Ce n’est pas seulement ce que nous mangeons, mais le moment où nous mangeons qui influence la façon dont notre corps utilise ou stocke l’énergie », explique Jeanne Duffy, co-autrice de l’étude.

L’essentiel : votre corps est bien tel qu’il est

Pas question ici de décréter que vous devez manger à 17 h 57 précises pour espérer « brûler plus ». Ce n’est ni un nouveau régime miracle, ni une injonction déguisée à la minceur. C’est simplement une observation scientifique, et le message principal est plutôt celui-ci : notre corps fonctionne en rythme, comme une chanson qu’il serait bon d’écouter plutôt que de zapper en boucle. Vous n’êtes pas une machine. Votre corps mérite mieux que des diktats minceur.

Vouloir comprendre son métabolisme, c’est bien. Chercher à lui imposer une cadence ultra contrôlée pour perdre quelques grammes ? Beaucoup moins. L’idée n’est donc pas de céder à la pression de la perte de poids à tout prix. Votre corps vous accompagne chaque jour. Il est là, fidèle au poste, même quand vous oubliez de l’écouter. Alors oui, savoir que vous brûlez un peu plus de graisses en fin d’après-midi, c’est bon à savoir. Mais c’est une info parmi d’autres, à utiliser (ou pas) pour mieux vous connaître, pas pour vous contraindre.

Trouver l’amour grâce à la pensée positive : vrai ou fake ?

Avec la pensée positive, vous pouvez aller au bout de vos rêves… et de votre quête sentimentale. C’est en tout cas ce que suggère le Manifest Dating, une pratique holistique en vogue. L’idée ? Attirer l’amour comme un aimant, simplement en alignant ses pensées, ses intentions… et sa vibration intérieure. Poétique ? Peut-être. Puissant ? Beaucoup y croient.

Le Manifest Dating, qu’est-ce que c’est ?

Inspiré de la loi de l’attraction, le Manifest Dating repose sur une conviction : ce que l’on pense influence ce que l’on attire. En d’autres termes, il s’agit de se concentrer mentalement et émotionnellement sur la relation que l’on souhaite vivre, tout en s’incarnant soi-même dans cette énergie d’amour.

Cela passe par des rituels simples, mais puissants : visualisation, affirmations positives, journaling, parfois même la création d’un « vision board » (tableau fait d’un collage d’images, d’affirmations de ses rêves/désirs). Loin de promettre une rencontre magique du jour au lendemain, cette pratique encourage à devenir pleinement disponible à une relation saine, en alignant ses pensées avec ses valeurs. En clair, tout se joue dans la tête et non pas dans le cœur.

Penser positivement pour mieux aimer

Le Manifest Dating peut sembler abstrait. Cette approche repose sur un véritable travail de connaissance de soi. En mettant en lumière ses désirs sincères, ses blessures affectives et ses schémas répétitifs, vous gagnez en clarté. Résultat : les choix amoureux deviennent plus conscients, plus exigeants aussi, en accord avec une vision apaisée de la relation.

Certaines personnes témoignent d’un basculement : plus confiantes, plus alignées, elles ne s’égarent plus dans des liaisons déséquilibrées et attirent des partenaires plus compatibles. Cela dit, penser positivement ne protège pas des déceptions. Il ne s’agit pas d’un bouclier contre les rendez-vous ratés, mais d’un ancrage intérieur pour mieux rebondir.

Entre espoir sincère et excès de croyance

Évidemment, toute méthode a ses limites. Répéter inlassablement des phrases positives sans jamais passer à l’action ne suffit pas à faire émerger une belle histoire d’amour. Ce n’est donc pas en disant quinze fois « je veux un petit ami avec le physique de Brad Pitt et la mentalité de Timothé Chalamet » que vous allez trouver l’élu.

Le Manifest Dating ne prétend pas remplacer les rencontres réelles, les discussions sincères, ou le courage d’oser aimer. Il s’agit d’un outil, non d’une sorcellerie. Il ne promet pas un conte de fées, mais une posture intérieure plus sereine et confiante. En ce sens, il redonne une forme de pouvoir personnel : celui de ne plus attendre passivement l’amour, mais de s’y préparer activement, avec douceur et lucidité.

Une philosophie plus qu’une méthode

Le véritable enseignement du Manifest Dating ne réside peut-être pas dans la promesse de rencontrer quelqu’un. Il consiste plutôt à se (re)choisir. À se rappeler que l’amour véritable commence d’abord par l’estime de soi, le respect de ses propres besoins, et la capacité à croire qu’une relation équilibrée est possible, et méritée.

Alors, trouver l’amour grâce à la pensée positive, mythe ou réalité ? Tout dépend de l’intention. Une chose est sûre : cultiver des pensées bienveillantes, poser des intentions claires et s’ancrer dans une vision positive de l’amour peut profondément transformer la façon de vivre les relations.

Et si l’amour n’était pas une quête, mais une rencontre entre deux personnes déjà en paix avec elles-mêmes ? C’est le message qui se dessine en filigrane du Manifest Dating. Pas de miracle en vue ni de prince charmant qui se bouscule au portillon. Mais un esprit mieux échauffé. Comme le dit un dicton « il faut s’aimer soi, avant d’aimer les autres » et pour ça, il faut d’abord se connaître. Socrate avait raison depuis le début.

Smellmaxxing : cette nouvelle lubie des ados va vous surprendre

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Oubliez les déodorants d’ado mal vaporisés au vestiaire du collège : place aux parfums de niche, aux routines olfactives sophistiquées et à une obsession nouvelle pour les odeurs « de luxe ». Bienvenue dans l’ère du smellmaxxing, la tendance qui rend les ados accros aux fragrances.

Smellmaxxing : qu’est-ce que c’est ?

Le mot « smellmaxxing » vient de l’anglais « to smell » (sentir) et du suffixe « -maxxing », emprunté à des communautés en ligne obsédées par l’optimisation de soi (looksmaxxing, statusmaxxing…). Ici, il s’agit littéralement de maximiser l’impact de son odeur corporelle. Sauf qu’on ne parle pas simplement d’hygiène ou de sentir « bon » – l’objectif est de dégager une signature olfactive unique, maîtrisée, mémorable, presque stratégique.

Sur TikTok, le mot explose : des milliers de jeunes y postent leurs routines de parfums, leurs « layerings » (superpositions de fragrances), ou encore des « top 5 de parfums pour faire tourner des têtes dans les couloirs du lycée ».

Un phénomène porté par les réseaux

TikTok est le moteur principal de cette tendance. Des créateurs comme @TheCologneBoy, @fragranceobsessed ou encore @scentwithmelody cumulent des millions de vues en partageant leurs parfums favoris, leurs conseils d’application ou encore leurs réactions en testant des nouveautés. Un contenu où l’on parle de pyramide olfactive, de sillage, de notes de fond comme on parlerait autrefois de maquillage ou de sneakers.

Le tout dans un langage à la fois expert et accessible. On y apprend à « booster un parfum musqué avec une brume vanillée » ou encore à « choisir un parfum doudou pour un date au cinéma ». Des marques comme Dior, YSL ou Sol de Janeiro sont citées en boucle – au point de voir certains produits en rupture de stock après un buzz.

@thecologneboy $40 Vs $300 Angle Share! #cologne #fragrance #thecologneboy ♬ original sound – TheCologneBoy

Des ados prêts à investir (beaucoup)

Le smellmaxxing n’est pas une tendance gratuite. Selon une étude de la banque d’investissement américaine Piper Sandler, les dépenses en parfumerie des ados ont bondi de 22 % aux États-Unis. Sur certains forums, des collégiens expliquent qu’ils économisent leur argent de poche pour s’offrir leur premier flacon de « Baccarat Rouge 540 », vendu à plus de 200 euros.

Le parfum est vu comme un investissement dans soi-même : une manière de projeter de la maturité, de la confiance, de se distinguer des autres. Le geste du parfum devient un rituel – au même titre qu’un look travaillé ou qu’une routine de skincare.

Une réponse à la quête d’identité

Si cette obsession peut faire sourire, elle s’inscrit dans une logique adolescente classique : se chercher, s’affirmer, se démarquer. Dans un monde saturé d’images, l’odorat devient une manière alternative de se raconter. Le parfum devient le prolongement de soi : mystérieux, solaire, rebelle, propre, poudré… autant d’adjectifs qu’on utilise pour décrire une fragrance, et soi-même par ricochet.

Certaines adolescentes expliquent même que le smellmaxxing les aide à prendre confiance en elles dans des contextes anxiogènes (examens, exposés, rendez-vous). Une étude relayée par Parents.com souligne que « l’odeur agit comme ancrage émotionnel, rappelant une émotion agréable ou un sentiment de sécurité ».

@jimmy.sniffs Explorer Montblanc Review #jeremyfragrance #fragrancereview #smellmaxing #jeremyfragranceedit #montblanc ♬ End of Beginning – Djo

Une pression sociale dissimulée

Cette quête du parfum parfait a un revers : celui de la pression sociale. Sur les réseaux, certains ados se sentent en effet exclus car ils n’ont pas les moyens de s’offrir des parfums de luxe. D’autres expriment leur malaise face à la compétition implicite créée autour de l’odeur : qui sentira le plus « cher », le plus « adulte », le plus « différent » ?

Le phénomène inquiète aussi certains parents, face à une consommation parfois compulsive. Certains jeunes achètent plusieurs flacons par mois ou refont leur parfum dès la moindre variation d’humeur. Les forums regorgent de conseils pour « tenir plus longtemps », « sentir fort », ou encore « faire tourner les têtes à 5 mètres » – autant de signaux qui flirtent avec une forme d’injonction à la performance.

Les marques surfent sur la vague

Les grandes maisons de parfumerie ont bien compris le potentiel du smellmaxxing. Certaines adaptent leurs campagnes pour séduire ce public jeune : packagings plus pop, mini-formats, slogans axés sur la confiance en soi ou l’expression personnelle. D’autres marques nées sur TikTok, comme Phlur ou Kayali, proposent même des parfums pensés pour le layering ou conçus avec des influenceurs. Même le secteur du dupe parfumé explose : des marques comme Zara, Ariana Grande Fragrances ou The Dua Brand imitent des senteurs de luxe à prix cassé. Une alternative très prisée par les ados.

Le smellmaxxing révèle ainsi une nouvelle façon de se construire à l’adolescence, à la croisée du soin de soi, de l’image sociale et de la consommation émotionnelle. S’il peut être une source de créativité et de confiance, il mérite aussi une lecture critique face aux pressions économiques et sociales qu’il peut générer.

Amour intact : ce que George Clooney confie sur son couple

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George Clooney a récemment ouvert une fenêtre sur sa vie privée en évoquant son mariage avec Amal Clooney, lors d’un passage remarqué dans l’émission CBS Mornings le 21 avril 2025. Dans un échange chaleureux, l’acteur oscarisé a décrit son quotidien conjugal comme fluide, sans conflit, et toujours empreint d’une profonde admiration pour son épouse.

Un couple sans dispute depuis plus d’une décennie

Lors de l’interview menée par Gayle King, George Clooney a confirmé une affirmation déjà faite 2 ans plus tôt : en 11 ans de vie commune, il n’a jamais eu de dispute avec Amal. « Nous étions venus ici avec vous il y a quelques années, et nous avions dit que nous ne nous étions jamais disputés. Eh bien, c’est toujours vrai ».

Avec humour, il a ajouté que lui et Amal cherchaient encore quelque chose qui pourrait déclencher une altercation, mais que cela ne s’était jamais produit. Ce témoignage contraste avec les représentations habituelles des relations de couple, souvent ponctuées de désaccords, même bénins.

Une admiration intacte pour Amal Clooney

Au-delà de l’harmonie conjugale, George Clooney a partagé des mots forts sur l’amour qu’il porte à son épouse, Amal, avocate renommée en droits humains.

« Je me sens tellement chanceux d’avoir rencontré cette femme incroyable. J’ai l’impression d’avoir touché le jackpot. Il ne se passe pas un jour sans que je ne me dise que je suis l’homme le plus chanceux du monde »

Une déclaration pleine de tendresse et de respect, qui montre à quel point leur complicité dépasse les apparences. L’acteur évoque souvent le soutien mutuel qu’ils s’apportent dans leurs carrières respectives, Amal étant engagée dans des causes internationales majeures, et George poursuivant sa carrière entre cinéma et philanthropie.

Une histoire qui dure depuis 2013

L’histoire d’amour entre George et Amal Clooney commence en 2013, lors d’un dîner organisé en Italie. Leur relation, d’abord discrète, devient officielle peu de temps après. Le couple se marie en grande pompe à Venise en septembre 2014. Depuis, ils n’ont cessé de former l’un des tandems les plus admirés d’Hollywood. Leur complicité sur les tapis rouges, leur engagement dans des causes sociales, et leur discrétion sur leur vie privée renforcent cette image d’un amour stable et sincère.

Une famille discrète et soudée

George et Amal Clooney sont également les parents de jumeaux, Alexander et Ella, nés en juin 2017. Âgés aujourd’hui de 7 ans, les enfants sont protégés des projecteurs. Le couple veille scrupuleusement à leur vie privée, refusant toute exposition médiatique directe de leurs visages ou de leur quotidien.

George Clooney évoque régulièrement le bonheur d’être père, et la manière dont la parentalité a transformé sa vision de la vie. Il a souvent dit que devenir parent tardivement lui avait permis d’être plus présent et conscient.

Un modèle de relation moderne ?

Le couple Clooney, malgré leur célébrité, semble avoir trouvé une forme de sérénité conjugale rare. Sans disputes, avec une communication fluide et un profond respect mutuel, ils inspirent une image d’union équilibrée. Leur vie de famille, bien que discrète, s’accompagne visiblement d’un engagement commun pour des causes importantes, du soutien aux réfugiés à la lutte pour les droits fondamentaux.

George Clooney continue ainsi d’éblouir non seulement par ses rôles à l’écran, mais aussi par la sincérité de ses déclarations sur sa vie personnelle. Son amour intact pour Amal et son admiration constante pour elle, dressent le portrait d’un homme épanoui. Une rareté à Hollywood – mais aussi une belle leçon sur les fondations d’un amour qui dure.

Entre médaille olympique et désir d’enfant, elle témoigne

Clarisse Agbegnenou poursuit sa carrière de judoka avec une intensité rare. Huit mois après sa médaille de bronze aux Jeux olympiques de Paris 2024, elle s’apprête à disputer les championnats d’Europe, tout en envisageant une nouvelle pause pour accueillir un second enfant. Un témoignage inspirant sur l’équilibre entre performance et vie personnelle.

L’intensité du tatami, la force du mental

Le 3 août 2024 reste gravé dans les mémoires des fans de judo. Ce jour-là, la France affronte le Japon en finale de l’épreuve olympique par équipes mixtes. Après un retournement spectaculaire signé Joan-Benjamin Gaba, c’est à Clarisse Agbegnenou de monter sur le tapis pour maintenir l’espoir tricolore. Face à elle, la Japonaise Miku Takaichi, rivale historique. Un combat d’anthologie, étouffant de tension, qui s’étire pendant 7 minutes. Pas de place pour l’erreur : tout se joue dans la tête. Et c’est Clarisse qui, une fois de plus, sort victorieuse.

La suite est connue : les Bleus l’emportent et terminent en beauté une olympiade sous haute pression. Pour Clarisse Agbegnenou, cette victoire collective n’est qu’un chapitre de plus dans une carrière exceptionnelle, marquée par un palmarès étourdissant. Mais aussi par une trajectoire personnelle singulière, où la maternité occupe une place centrale.

Athéna, moteur et point d’équilibre

En juin 2022, Clarisse Agbegnenou devient maman d’une petite fille, Athéna. Un bouleversement total dans sa vie de femme comme d’athlète. « Si je ne fais pas un enfant à ce moment-là, le judo m’apparaît fade », confie-t-elle a Libération. L’envie de donner la vie redonne du sens à sa pratique. Et loin d’amoindrir sa motivation, cette nouvelle maternité nourrit une énergie inédite. « Je suis davantage motivée aujourd’hui qu’il y a 3 ans et demi », affirme-t-elle.

Son sixième titre mondial, décroché à Doha en mai 2023, 10 mois après son accouchement, en témoigne. Une performance que Clarisse Agbegnenou place tout en haut de ses réussites. Vient ensuite son septième sacre au Grand Chelem de Paris en février 2024, acquis au prix de combats intenses et d’une ténacité sans faille.

Une athlète qui a appris à lâcher prise

La maternité n’a pas seulement transformé son emploi du temps, elle a modifié en profondeur sa manière d’être sur le tatami. Clarisse explique avoir « développé une force mentale nouvelle pour faire face à la fatigue, à l’organisation quotidienne et aux nuits entrecoupées ». Elle dit aussi avoir appris à faire preuve de calme, à gérer les désaccords, y compris avec sa propre fédération. En un mot : elle a grandi.

Et même si la médaille d’or lui échappe à Paris, elle préfère aujourd’hui relativiser. Avec 3 participations olympiques à son actif, Clarisse Agbegnenou arbore désormais une collection complète de médailles : argent à Rio, or à Tokyo, bronze à Paris. Une forme d’accomplissement, malgré les attentes et la déception passagère.

En route vers Los Angeles, avec une parenthèse en tête

La suite ? C’est à la fois la compétition, avec un rendez-vous européen à Podgorica, mais aussi la perspective d’une pause. Clarisse Agbegnenou souhaite avoir un deuxième enfant. Elle n’en fait pas mystère, même si cette volonté vient bousculer les plans de la fédération.

D’autres jeunes judokates, comme Manon Deketer ou Melkia Auchecorne, émergent sur la scène. Clarisse prend le soin d’en parler directement avec leurs entraîneurs, pour éviter toute tension inutile. Avec Melkia Auchecorne, le dialogue est franc, empreint de respect mutuel. Elles se passent symboliquement le flambeau d’un championnat à l’autre, dans un esprit d’émulation.

Une voix pour toutes les mères du sport

Clarisse Agbegnenou n’est pas seule dans ce combat pour concilier haut niveau et parentalité. Lors des JO de Paris, 6 autres judokates mères de famille étaient également engagées, certaines avec deux enfants, d’autres dans des situations personnelles complexes. Clarisse s’affiche fièrement en mère allaitante, jusqu’en janvier 2025, montrant pleinement cette double identité. Elle milite ainsi, par l’exemple, pour une meilleure reconnaissance des mères dans le sport.

Une nouvelle dynamique à inventer

À Podgorica, Clarisse Agbegnenou disputera son premier grand rendez-vous sans Ludovic Delacotte, son entraîneur historique. Désormais épaulée par Gianni Locarini, un technicien aux méthodes innovantes, elle « espère imposer cette collaboration, malgré les réticences institutionnelles ». Elle veut du sur-mesure, comme Teddy Riner avant elle, pour continuer à performer en toute liberté.

Les États-Unis, de leur côté, ont bien saisi l’inspiration que peut représenter Clarisse Agbegnenou. Dès mai 2025, elle y multipliera les masterclasses et les conférences. Une manière de transmettre, de préparer l’avenir, tout en laissant mûrir son projet personnel. Si tout s’aligne, Clarisse Agbegnenou espère revenir à la compétition à l’automne 2026. Juste à temps pour viser, à 35 ans, un dernier exploit à Los Angeles 2028.

Olivia Rodrigo éblouit en robe multicolore

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L’auteure-compositrice-interprète, musicienne et actrice américaine Olivia Rodrigo a récemment captivé ses fans en partageant sur Instagram des clichés de ses vacances à Marrakech, au Maroc. Dans ces photos, elle arbore une robe multicolore éclatante, accompagnée d’une manucure assortie, créant un ensemble vibrant et estival.

Une robe éclatante signée Rixo

La robe portée par Olivia est une création de la marque londonienne Rixo. Ce modèle midi en crêpe de soie présente un imprimé de tulipes aux teintes vives de rose, violet, orange et bleu. Le design est complété par un col licou et un foulard détachable à pois noir et blanc, ajoutant une touche rétro à l’ensemble. Cette tenue colorée reflète parfaitement l’ambiance ensoleillée de Marrakech.

 

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Une manucure « Moroccan Bloom »

Pour compléter son look, Olivia a opté pour une manucure dans des tons rouge-rose, rappelant les bougainvilliers en fleurs présents sur les photos. Ses ongles courts et arrondis ajoutent une touche naturelle et décontractée à son style. Bien que la teinte exacte du vernis ne soit pas connue, des alternatives comme « Red Hot Rio » d’OPI ou « Watermelon » d’Essie peuvent reproduire cet effet.

Une pause bien méritée

En légende de son post, Olivia a écrit : « Everywhere but that damn studio » (« Partout sauf dans ce fichu studio »), suggérant qu’elle profite d’une pause loin de ses obligations professionnelles. Cette escapade semble lui offrir une parenthèse de détente et d’inspiration, loin du tumulte de l’industrie musicale.

Avec ce look estival et coloré, Olivia Rodrigo continue d’inspirer ses fans, non seulement par sa musique, mais aussi par son sens du style. Sa capacité à associer des pièces audacieuses avec des éléments classiques démontre une fois de plus son influence dans le monde de la mode.

Cette golfeuse répond aux critiques sur sa tenue

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Paige Spiranac, ancienne golfeuse professionnelle devenue influenceuse suivie par plus de 4 millions de personnes sur Instagram, a récemment fait parler d’elle.

« C’était l’une de mes tenues les plus conservatrices »

Alors qu’elle partageait une séance de practice en ligne (terrain permettant aux personnes qui font du golf de s’entraîner), certains internautes ont vivement critiqué ses choix vestimentaires. La réponse de l’athlète ne s’est pas fait attendre.

Dans une série de photos postées sur son compte Instagram, Paige Spiranac apparaît dans une combinaison moulante à dos ouvert, tenue qu’elle juge elle-même « très sage ». Pourtant, elle confie dans sa légende : « Les gens sont tellement énervés par cette tenue. Le plus drôle, c’est que je pensais vraiment que c’était l’un de mes looks les plus conservateurs ».

 

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Un lieu symbolique pour elle

Certaines critiques lui reprochaient une tenue « inappropriée pour le golf ». Ce à quoi Paige Spiranac a rétorqué qu’elle ne jouait pas dans un club privé comme Augusta National, mais sur un simple practice public – celui où elle avait frappé sa toute première balle de golf. Un endroit chargé d’émotion, qu’elle décrit comme « spécial », et propice à une approche détendue du sport.

Une défense constante de son image

Ce n’est pas la première fois que Paige Spiranac doit faire face à ce type de remarques. Régulièrement, elle prend la parole pour défendre ses choix, son corps, et son droit à s’habiller comme elle le souhaite. Elle a expliqué avoir travaillé dur pour retrouver la forme, et ne pas avoir à s’excuser de vouloir le montrer. « Bien sûr que je vais le montrer ! », a-t-elle répondu aux personnes qui critiquaient son apparence dans une vidéo d’entraînement.

 

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Une dénonciation des doubles standards

Au-delà des critiques personnelles, Paige Spiranac soulève une question plus large : celle des standards de genre dans le sport. Elle souligne que « les hommes peuvent exposer leur corps sans être jugés aussi sévèrement ». Par ailleurs, elle a rappelé que, lorsqu’elle a débuté dans le golf, elle portait des vêtements simples faute de moyens – ce qui a aussi contribué à son style, devenu aujourd’hui sa signature.

En publiant ces réponses, Paige Spiranac revendique une liberté d’expression corporelle pour toutes les sportives. Elle utilise son compte Instagram pour questionner les normes esthétiques imposées aux femmes dans le sport, et encourager l’acceptation de soi.

Le mouvement de 30 secondes qui soulage immédiatement votre dos​

Le mal de dos est devenu le mal du siècle, affectant des millions de personnes à travers le monde. Heureusement, il existe des solutions pour soulager ces douleurs. Parmi elles, un exercice de 30 secondes, recommandé par les kinésithérapeutes, se distingue par son efficacité et sa simplicité.​

L’exercice du « Sphinx »

L’exercice du « Sphinx » est une posture de yoga qui consiste à s’allonger sur le ventre, les avant-bras posés au sol, les coudes alignés sous les épaules, et à relever doucement le buste en gardant le bassin au sol. Cette position permet une extension douce de la colonne vertébrale, soulageant ainsi les tensions accumulées dans le bas du dos.​

Selon les experts de Weasyo, cet exercice est particulièrement efficace pour les personnes souffrant de douleurs lombaires. Il est recommandé de maintenir la position pendant 20 à 30 secondes, en respirant profondément, puis de répéter l’exercice plusieurs fois par jour pour des résultats optimaux. ​

Pourquoi cet exercice est-il efficace ?

Le « Sphinx » agit en étirant les muscles abdominaux et en renforçant les muscles du bas du dos. Il aide à améliorer la posture, à augmenter la flexibilité de la colonne vertébrale et à réduire la pression sur les disques intervertébraux. De plus, cette posture favorise la circulation sanguine dans la région lombaire, accélérant ainsi le processus de guérison.​ Des études ont montré que des exercices d’extension du dos, comme le « Sphinx », peuvent réduire significativement les douleurs lombaires et améliorer la qualité de vie des patients. ​

Comment intégrer cet exercice dans votre routine quotidienne ?

L’un des avantages majeurs de l’exercice du « Sphinx » est sa simplicité. Il ne nécessite aucun équipement particulier et peut être réalisé n’importe où. Voici quelques conseils pour l’intégrer facilement dans votre quotidien :​

  • Au réveil : commencez votre journée par 2 à 3 répétitions de l’exercice pour détendre votre dos après une nuit de sommeil.​
  • Pendant les pauses au travail : si vous travaillez assis pendant de longues heures, prenez quelques minutes pour effectuer cet exercice et soulager les tensions accumulées.​
  • Avant de dormir : terminez votre journée par quelques répétitions pour détendre votre dos et favoriser un sommeil réparateur.​

Précautions à prendre

Bien que l’exercice du « Sphinx » soit généralement sûr pour la plupart des personnes, il est important de prendre certaines précautions :​

  • Écoutez votre corps : si vous ressentez une douleur aiguë pendant l’exercice, arrêtez immédiatement et consultez un professionnel de santé.​
  • Adaptez la durée : commencez par des sessions courtes de 20 secondes et augmentez progressivement la durée en fonction de votre confort.​
  • Consultez un professionnel : si vous avez des antécédents de problèmes de dos ou des conditions médicales spécifiques, il est recommandé de consulter un kinésithérapeute ou un médecin avant de commencer cet exercice.​

Le mal de dos ne doit pas être une fatalité. Avec des exercices comme le « Sphinx », il est possible de soulager les douleurs. En intégrant cet exercice de 30 secondes dans votre routine quotidienne, vous prenez une mesure proactive pour la santé de votre dos.​

Simba et Nala : la révélation sur leur lien de parenté qui va bousculer votre enfance

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Ils sont l’un des couples les plus iconiques du cinéma d’animation. Simba et Nala, les deux lions stars du film « Le Roi lion », incarnent l’amour, la loyauté, et la renaissance après le chaos. Et ils étaient en réalité frère et sœur ?

Une romance qui défie les lois de la biologie ?

Une observation attentive du comportement réel des lions dans la nature pourrait bien changer votre regard sur l’histoire de Simba et Nala, les deux lions stars du film « Le Roi lion ». Car dans la vraie vie… ces deux personnages seraient probablement issus de la même famille.

Dans le célèbre long-métrage signé Disney, Simba, fils du roi Mufasa, grandit au sein de la savane après avoir fui le royaume suite à la mort de son père. Une fois adulte, il revient défier son oncle Scar, prend sa revanche… et tombe amoureux de son amie d’enfance, Nala. Ensemble, ils reprennent le trône et donnent naissance à la génération suivante. Sauf qu’en se penchant sur les véritables dynamiques sociales des lions, la logique biologique vient mettre en doute cette romance parfaite. En effet, Simba et Nala, dans un contexte réaliste, auraient de fortes chances d’être frère et sœur.

Comprendre les fiertés : un système familial complexe

Contrairement à la majorité des félins, les lions sont des animaux sociaux. Ils vivent en groupe, appelés « fiertés », formés de plusieurs lionnes (souvent apparentées), de quelques mâles dominants, et de leurs petits. Ces groupes familiaux sont soudés, parfois composés de 15 à 40 individus, et obéissent à une organisation bien établie.

Les lionnes, piliers de la fierté, restent généralement ensemble toute leur vie. Elles sont souvent sœurs, cousines ou tantes les unes des autres. Ce sont elles qui chassent, éduquent les lionceaux et maintiennent l’unité du groupe.

Les mâles, eux, ont un rôle différent : ils protègent la fierté des menaces extérieures, notamment d’autres lions. Leur règne sur un groupe est cependant temporaire : il dépasse rarement les 5 années. Une fois évincés, ils sont remplacés par de nouveaux mâles dominants, parfois issus d’une coalition de jeunes frères venus défier leurs aînés.

Et Simba dans tout ça ?

Dans « Le Roi lion », Mufasa règne seul sur la fierté. Aucune mention d’un autre mâle dominant. Cela suggère que Mufasa est le seul reproducteur du groupe. Si Nala fait partie de cette même fierté – ce que laisse entendre le film, puisqu’elle grandit aux côtés de Simba dès l’enfance – alors biologiquement, Mufasa pourrait être son père également. Ce qui ferait de Simba et Nala… des demi-frères et sœurs.

Une hypothèse confortée par la structure réelle des groupes de lions, où un même mâle féconde la majorité, voire la totalité, des femelles du groupe.

Pourquoi cette proximité génétique n’est pas un tabou chez les lions ?

Chez les lions, les liens familiaux sont complexes mais bien réels. Une certaine consanguinité n’est pas rare, en particulier dans des fiertés où les mâles dominants règnent seuls. Toutefois, la nature a prévu un mécanisme d’évitement : les jeunes mâles quittent la fierté vers l’âge de 3 ans, devenant nomades jusqu’à ce qu’ils puissent fonder leur propre groupe.

C’est ce qui aurait pu sauver Simba et Nala d’une telle situation dans la vraie vie : en partant très tôt et en rejoignant une autre fierté, Simba aurait évité de s’accoupler avec une sœur potentielle. Dans le scénario du film, il revient dans la même troupe et fonde sa famille avec celle qu’il connaissait enfant.

Un « Roi lion » à revoir à travers le prisme de la biologie

Ce que cette découverte souligne avant tout, c’est la manière dont la fiction simplifie – ou ignore – la complexité du monde animal. Disney n’a bien sûr jamais présenté « Le Roi lion » comme un documentaire. Le film reste une œuvre de fiction, avec ses choix narratifs et ses métaphores.

Cette relecture sous l’angle de l’éthologie révèle néanmoins un contraste fascinant entre narration romancée et réalité biologique. Derrière la magie, le dessin animé repose tout de même sur des comportements observés dans la nature : hiérarchie, territoire, transmission du pouvoir, importance du groupe…

Alors, même si Simba et Nala vous faisaient rêver, cette petite parenthèse scientifique ne devrait pas trop gâcher vos souvenirs d’enfance. Après tout, la nature elle-même est pleine de paradoxes.

Ce geste que vous faites tous les jours et qui vous vieillit de presque 10 ans

Il y a fort à parier que vous chouchoutez votre visage, peut-être même votre cou et votre décolleté… mais vos mains ? Ces fidèles compagnonnes qui affrontent quotidiennement le froid, les produits ménagers, les gels hydroalcooliques et les lavages à répétition ? Souvent, elles sont les grandes oubliées de nos soins.

Les mains : un miroir sincère de l’âge

Ce n’est pas pour rien que l’on dit que les mains ne mentent pas. Leur peau, fine et peu pourvue en glandes sébacées, est une des premières zones à accuser les signes du temps. Et contrairement à notre visage, que l’on bichonne à coups de sérums, d’huiles, de masques et de SPF 50, les mains sont souvent reléguées au second plan, comme si elles n’avaient pas droit, elles aussi, à un petit moment de tendresse cosmétique.

Résultat ? Elles s’assèchent, se marquent, perdent en fermeté, arborent des taches pigmentaires… Et finissent par trahir notre âge – voire nous en ajouter un peu, comme un filtre inversé.

Une étude qui met les mains à nu

La marque britannique Harvey Water Softeners s’est penchée sur cette injustice cutanée à travers une étude étonnante. Le principe ? Montrer des photos de mains à un panel de volontaires, puis leur demander d’estimer l’âge de la personne photographiée. Et les résultats sont plutôt très révélateurs.

Selon l’étude, 69 % des participants ont estimé que les mains sèches, marquées ou abîmées appartenaient à des personnes bien plus âgées qu’elles ne l’étaient en réalité. L’écart moyen entre l’âge réel et l’âge perçu ? 9 ans. Et pour certaines mains très abîmées – peau rugueuse, craquelures, rougeurs – certains participants ont même parlé de 80 ans… alors que la personne n’en avait que 30.

En revanche, les mains bien hydratées ont produit l’effet inverse : dans plusieurs cas, les volontaires ont estimé que la personne était plus jeune de 1 à 2 ans que son âge réel.

Pourquoi vos mains vieillissent-elles plus vite que vous ?

La réponse est assez simple : les mains sont en première ligne. Chaque jour, elles subissent une attaque en règle. Savons, gels hydroalcooliques, détergents, expositions répétées aux UV, au froid, à la chaleur, au vent… Sans oublier les frottements constants.

Et comme leur peau est pauvre en glandes sébacées, elle produit peu de sébum, cette précieuse huile naturelle qui aide à maintenir l’hydratation et l’élasticité. Le film hydrolipidique – sorte de bouclier protecteur – est donc plus fragile, plus facilement rompu. Résultat : sécheresse, perte de fermeté, rides précoces, taches pigmentaires. Et tout cela, bien plus vite que sur d’autres zones du corps.

Et si on arrêtait de diaboliser les signes de l’âge ?

Bien sûr, ce n’est pas une question de cacher son âge. Vieillir est une chance, et votre corps – vos mains y compris – est le reflet de votre parcours. Les taches, les rides, les plis, ce sont des souvenirs. Des témoignages de votre vécu, de votre énergie, de vos gestes tendres, de vos coups durs, de vos créations.

Alors non, il ne s’agit pas de courir après une « jeunesse éternelle » ou de se sentir coupable si vos mains montrent des signes du temps. Si vous avez envie de leur offrir un peu plus de soin, de douceur, de reconnaissance, alors faites-le pour vous. Pas pour paraître plus jeune, mais pour vous sentir mieux. Parce que vous le méritez ! Prenez soin d’elles, elles vous le rendront au centuple.

Cette mannequin grande taille pose en lingerie !

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Ashley Graham continue de briller là où on ne l’attend pas. Icône du body positive et mannequin dite grande taille la plus influente de sa génération, elle électrise Instagram avec un nouveau cliché en lingerie signé Victoria’s Secret. Résultat : une pluie de likes et de compliments venus du monde entier.

Un parcours emblématique

Repérée à l’âge de 12 ans dans un centre commercial au Nebraska (États-Unis), Ashley Graham débute sa carrière de mannequin très jeune. C’est en 2016 qu’elle entre dans l’histoire en devenant la première mannequin dite grande taille à faire la couverture du célèbre Sports Illustrated Swimsuit Issue. Une apparition symbolique, qui marque un tournant dans l’industrie de la mode, encore trop souvent centrée sur des normes restrictives.

Depuis, elle enchaîne les collaborations avec des marques de renom, les campagnes de sensibilisation autour de l’acceptation de soi, et multiplie les prises de parole inspirantes sur les plateaux télé, dans ses livres ou sur ses réseaux sociaux. Loin de se limiter à son apparence, Ashley Graham est également animée par une volonté profonde de faire évoluer les mentalités. Elle parle ouvertement de son rapport au corps, de la maternité, des complexes, et de ce que signifie être une femme libre dans un milieu encore très codifié.

Une apparition qui électrise Instagram

Le 22 avril 2025, Ashley Graham a partagé un cliché sur son compte Instagram, la montrant posant en lingerie fine signée Victoria’s Secret. Sur la photo, elle est radieuse, arborant un body noir qui allie délicatesse et puissance. Les lignes sont épurées, le regard déterminé, le corps mis en valeur sans artifice.

Le cliché a rapidement généré une vague d’admiration : plus de 92 400 likes en moins de 48 heures, et des centaines de commentaires saluant sa beauté naturelle et son charisme. Parmi les réactions des internautes, on retrouve des éloges simples mais éloquents : « magnifique », « wow », « resplendissante », « une déesse ». Des mots qui reflètent l’impact émotionnel que suscite Ashley Graham auprès de sa communauté touchées par son authenticité.

Victoria’s Secret et l’ère de la diversité

Ce choix de lingerie n’est pas anodin. Victoria’s Secret, longtemps critiquée pour sa vision très étroite des corps, amorce depuis quelques années un virage stratégique vers plus d’inclusivité. Le fait qu’Ashley Graham prête son image à la marque illustre ce changement de cap. À travers cette collaboration, ce sont de nouveaux modèles de beauté qui s’imposent, plus représentatifs, plus réels, plus proches des femmes d’aujourd’hui.

En posant ainsi, sans filtre, Ashley Graham rappelle qu’il est possible d’être soi-même et d’être célébrée pour cela. Elle offre à ses abonnés une image forte, à la croisée de l’intime et du politique, où la lingerie devient un outil d’empowerment plutôt qu’un simple accessoire esthétique.

Ashley Graham n’est pas qu’un visage ou un corps : elle est une voix. Une voix qui porte les messages de nombreuses femmes invisibilisées par les diktats de la mode. Son influence va bien au-delà des podiums ou des campagnes publicitaires. Elle incarne un changement de regard, un renversement des normes, une affirmation de soi pleine de panache. En posant fièrement en lingerie, elle véhicule un message clair : la beauté ne connaît pas de taille unique.

Le détail caché sur vos jeans que vous n’aviez jamais remarqué​

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Ils sont là, discrets, presque invisibles à force d’habitude. Ces petits boutons en métal, nichés aux coins des poches de vos jeans, sont pourtant bien plus qu’un simple ornement. Derrière leur apparente simplicité se cache une histoire fascinante.

Une invention née de la nécessité

Au début des années 1870, Jacob Davis, un tailleur basé à Reno, Nevada, faisait face à une problématique récurrente : les pantalons de travail de ses clients, notamment des mineurs, se déchiraient fréquemment au niveau des poches, soumises à rude épreuve par le transport de lourdes charges comme des pépites d’or ou d’argent. Pour remédier à ce problème, Davis eut l’idée d’utiliser des rivets en cuivre, initialement employés pour renforcer les couvertures de chevaux, afin de consolider les points de tension des pantalons.

Cette innovation s’avéra si efficace que Davis décida de breveter son idée. Ne disposant pas des fonds nécessaires, il s’associa à Levi Strauss, un fournisseur de tissus basé à San Francisco. Le 20 mai 1873, ils obtinrent ensemble le brevet n°139121 pour l’« amélioration du mode de fixation des ouvertures de poches » . C’est ainsi que naquit le premier jean riveté, une pièce désormais emblématique du vestiaire mondial.​

Les rivets : petits mais costauds

Les rivets, ces petits boutons en métal, sont stratégiquement placés aux coins des poches et à d’autres points de tension du jean. Leur rôle principal est de renforcer les coutures, empêchant ainsi les déchirures dues à une utilisation intensive. À l’époque, cette innovation répondait aux besoins des travailleurs manuels, tels que les mineurs et les ouvriers, qui sollicitaient fortement leurs vêtements.​

Au fil du temps, les rivets sont devenus une signature esthétique du jean, symbolisant à la fois robustesse et authenticité. Même si leur fonction pratique est moins cruciale aujourd’hui, ils demeurent un élément distinctif du design denim.​

Une évolution au gré des époques

Si les rivets ont traversé les décennies, leur présence a parfois été remise en question. Durant la Seconde Guerre mondiale, par exemple, la pénurie de métal a conduit à la suppression temporaire de certains rivets sur les jeans.

De même, les rivets des poches arrière ont été recouverts de tissu en 1937 pour éviter d’endommager les meubles, avant d’être complètement supprimés dans les années 1950 au profit de coutures renforcées.​ Malgré ces ajustements, les rivets ont conservé leur place dans l’imaginaire collectif, incarnant l’esprit du jean : un vêtement à la fois fonctionnel et emblématique.​

La prochaine fois que vous enfilerez votre jean préféré, prenez donc un moment pour observer ces petits boutons en métal. Derrière leur discrétion se cache une histoire riche, témoignant de l’ingéniosité de Jacob Davis et de l’évolution du jean au fil des siècles. Un détail, certes, mais qui en dit long sur l’alliance entre fonctionnalité et style qui caractérise le denim depuis plus de 150 ans.

Ce prénom très rare signifie « noble et fidèle »

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Dans l’univers foisonnant des prénoms anciens et poétiques, Elvire se distingue par sa rareté et la noblesse de sa signification. Dérivé de racines germaniques, ce prénom porte une signification précieuse.

Une histoire ancienne et européenne

Le prénom Elvire tire ses origines des langues germaniques, plus précisément du vieux haut allemand. Il est composé des éléments « alb » (noble) et « wer » (vrai, fidèle). Son usage s’est développé en Espagne sous la forme Elvira, notamment à l’époque des Wisigoths, avant de gagner progressivement d’autres régions d’Europe, dont la France.

Porté par quelques figures historiques et littéraires, Elvire a conservé une aura classique. On se souvient notamment d’Elvire dans la pièce « Dom Juan » de Molière, femme bafouée mais digne, ou encore de la comtesse Elvire dans certaines œuvres romantiques du XIXe siècle. Un prénom à la résonance théâtrale et raffinée.

Un prénom rare et discret

Selon les données de l’INSEE, moins de 80 petites filles ont reçu ce prénom en France depuis 2010. Un chiffre qui confirme la rareté extrême d’Elvire, et sa capacité à se démarquer avec délicatesse. Il séduit les fans de prénoms peu communs, riches de sens et porteurs d’une certaine élégance d’un autre temps.

Un retour possible ?

Alors que les prénoms anciens reviennent en force – Louise, Joséphine, Léon ou encore Augustin – Elvire pourrait bien s’inscrire dans cette tendance rétro chic. Son charme réside dans son équilibre entre sobriété phonétique et profondeur historique. Son potentiel de renaissance est aussi lié à un engouement pour les prénoms uniques, ancrés dans une symbolique forte. Noble, fidèle, rare… trois adjectifs qui dessinent le portrait d’un prénom à redécouvrir.

Elvire, c’est ainsi le prénom que vous ne croiserez peut-être pas tous les jours, mais que vous n’oublierez jamais. Il respire la fidélité, la force douce, l’élégance sans chichi. C’est un prénom rare, mais qui n’a pas dit son dernier mot. Peut-être qu’un jour, dans une cour de récréation, on entendra une petite voix répondre « Je m’appelle Elvire », avec assurance et malice. Et ce jour-là, on saura qu’un petit bout d’histoire vient de renaître.

Pourquoi les relations longues distances sont plus solides qu’on ne le pense

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À première vue, vivre une relation amoureuse à distance peut sembler synonyme de difficulté, de manque, voire d’échec annoncé. Loin des clichés de solitude et de frustration, ces relations développent parfois des mécanismes de communication, de confiance et de résilience qui leur donnent une force particulière. Et si, contrairement aux idées reçues, l’éloignement nourrissait l’amour au lieu de le fragiliser ?

La distance renforce la communication

L’un des fondements d’une relation saine, c’est la communication. Dans une relation longue distance, l’échange devient non seulement central, mais aussi plus intentionnel. Les partenaires ne peuvent pas compter sur la présence physique pour exprimer leur affection ou désamorcer les tensions. Ils doivent mettre les mots justes sur ce qu’ils ressentent, poser des questions, prendre le temps d’écouter vraiment.

Des études ont montré que les couples à distance développent une communication plus approfondie et émotionnellement riche. Une recherche publiée dans le Journal of Communication indique que « les partenaires éloignés ont tendance à partager davantage sur eux-mêmes et à exprimer leurs sentiments avec plus de clarté que les couples vivant ensemble ».

L’indépendance comme moteur de solidité

Être séparé physiquement oblige chaque personne du couple à conserver une part d’autonomie dans son quotidien. Cela peut sembler contre-intuitif, mais cette indépendance renforce la relation. Chacun peut continuer à s’épanouir personnellement, poursuivre ses projets, cultiver ses passions, tout en nourrissant le lien à distance.

Cette liberté contribue à maintenir l’équilibre entre vie personnelle et vie de couple, et évite parfois les dynamiques de dépendance affective. L’absence physique laisse aussi place à un désir plus vif, une attente qui intensifie les retrouvailles.

Une confiance mise à l’épreuve… et souvent consolidée

La question de la fidélité et de la jalousie revient fréquemment quand on parle de relations à distance. Et pourtant, nombre de couples développent une confiance particulièrement solide. Pourquoi ? Parce qu’elle devient une nécessité. On ne peut pas surveiller ou vérifier l’autre : on est obligé de faire confiance, de s’engager dans une dynamique saine et honnête.

Cette confiance se construit sur des habitudes (appels réguliers, messages, partages du quotidien), mais aussi sur des valeurs communes. Les partenaires apprennent à se rassurer mutuellement sans envahir l’espace de l’autre. Une base solide qui peut parfois manquer dans des relations de proximité.

Un amour réfléchi et construit dans la durée

Quand on ne partage pas le même espace, chaque décision de rester ensemble devient un choix réaffirmé. Contrairement à certaines relations « par confort », les relations longues distances exigent un véritable investissement émotionnel. On ne reste pas ensemble par habitude : on le décide activement, encore et encore.

De nombreux couples affirment que cette situation les a obligés à poser des bases solides, à parler de l’avenir plus tôt, à mieux se connaître. La distance agit comme un filtre : elle met à l’épreuve la solidité du lien, mais lorsqu’il résiste, il devient extrêmement stable.

Les retrouvailles : des moments intenses et précieux

Contrairement aux couples qui se voient tous les jours, les couples à distance vivent leurs retrouvailles comme des moments uniques, chargés d’émotion et de complicité. Ces instants permettent de recharger la relation en énergie, en tendresse, en rires. Savoir que chaque rencontre est précieuse rend le lien plus vivant. Ces moments, bien qu’espacés, permettent souvent de créer des souvenirs forts et d’enraciner la relation dans des expériences intenses.

Bien sûr, les relations longues distances ne sont pas faciles. Elles demandent de la patience, de l’engagement, et une capacité à maintenir le lien malgré l’éloignement. Mais elles ne sont pas nécessairement vouées à l’échec. Au contraire, elles révèlent souvent des forces insoupçonnées : une communication plus sincère, une confiance solide, une autonomie respectée et un amour construit sur des bases réfléchies. Alors non, la distance n’est pas forcément un obstacle.

Faites-vous la différence entre anxiété et intuition ?

Nous avons tous déjà ressenti ce malaise intérieur avant de prendre une décision importante : changer de travail, déménager, ou encore s’engager dans une relation. Cette sensation peut ressembler à un pressentiment, mais est-ce vraiment de l’intuition ou est-ce plutôt de l’anxiété qui se manifeste ? La frontière entre ces deux états est parfois floue, mais il est crucial de comprendre laquelle de ces deux réactions nous habite pour prendre des décisions éclairées et sereines.

L’intuition et l’anxiété : des sensations très différentes

Lorsque nous ressentons un malaise, il est souvent difficile de déterminer s’il s’agit d’une intuition nous indiquant que quelque chose ne va pas, ou si c’est l’anxiété qui nous envahit, pleine de doutes et de peurs. Selon Natalie Moore, thérapeute familiale, « il est fréquent que les personnes anxieuses éprouvent des difficultés à distinguer l’intuition et l’anxiété ». Pour elles, écouter leur intuition peut sembler impossible, car cette dernière se mélange souvent à des pensées irrationnelles alimentées par l’anxiété.

Pourtant, comme l’explique la coach spirituelle Tammy Adams, dans un article du Huffpost, il existe bien une différence fondamentale entre ces deux états. Apprendre à reconnaître cette différence est essentiel pour renforcer la confiance en soi et faire des choix plus conscients.

L’intuition : calme et stabilité. L’anxiété : agitation et urgence

La première étape pour distinguer l’intuition de l’anxiété est de ralentir et de respirer profondément. « Prenez une pause, respirez profondément », conseille la coach Tammy Adams. L’intuition, selon elle, se fait plus clairement sentir dans des moments de calme et de réflexion, alors que l’anxiété, elle, s’accompagne souvent d’une urgence, d’un besoin d’action immédiate.

L’intuition se manifeste généralement de manière douce et stable. Elle est un « savoir » intérieur, sans crainte ni urgence. C’est une sensation calme, claire et neutre, qui nous invite à considérer une option sans pression ni panique. En revanche, l’anxiété se fait entendre de manière bruyante, souvent caractérisée par des pensées chaotiques et une peur de l’avenir. « L’anxiété est envahissante et souvent liée à des scénarios catastrophes », ajoute la thérapeute Natalie Moore.

Lorsque l’anxiété prend le dessus, on se trouve souvent projeté dans un futur incertain, imaginant des scénarios catastrophiques. Il est difficile de se concentrer sur le présent, car l’esprit est emporté par les « et si… » et les inquiétudes. L’intuition, quant à elle, reste ancrée dans le présent et n’impose aucune pression.

Comment reconnaître l’anxiété dans votre corps

Un autre indice pour différencier l’anxiété de l’intuition réside dans les sensations corporelles. L’anxiété se manifeste souvent par des symptômes physiques intenses tels que des problèmes digestifs, un cœur qui s’emballe, ou encore une respiration courte et superficielle. L’intuition, bien qu’elle puisse aussi être ressentie dans le corps sous forme de « malaise au ventre », reste généralement plus subtile et moins envahissante.

La thérapeute Natalie Moore recommande de prendre un moment pour nommer les émotions et sensations que l’on ressent. Par exemple, dire « je me sens submergée » ou « je sens une tension dans ma poitrine » permet de mieux comprendre ce qui se passe dans notre corps et d’apaiser l’anxiété. À l’inverse, lorsque l’intuition se manifeste, on se sent généralement plus stable et centré, même si le message qu’elle apporte est inattendu ou difficile à entendre.

L’importance de la pleine conscience

Pour mieux discerner entre anxiété et intuition, la pratique de la pleine conscience peut être extrêmement utile. Que ce soit par quelques minutes de méditation ou simplement en prêtant attention à sa respiration, ces techniques permettent de calmer les pensées anxieuses et d’ouvrir l’espace nécessaire pour entendre son intuition. « Plus vous pratiquez l’instant présent, plus il devient facile de faire la différence entre les deux », affirme la coach spirituelle Tammy Adams.

L’intuition, selon elle, se présente souvent sous forme de petits « instants » ou de « signes » subtils qui nous accompagnent dans nos décisions. L’anxiété, en revanche, reste dans un flux constant de pensées répétitives et souvent angoissantes.

Écoutez et posez-vous les bonnes questions

Une fois que vous avez pris une pause et que vous avez pris le temps de comprendre ce que vous ressentez, il est important de poser les bonnes questions. D’où vient ce ressenti ? Est-ce lié à une situation concrète ou est-ce une peur nourrie par des scénarios imaginés ?

L’anxiété est souvent alimentée par des pensées catastrophiques et des « et si ». Si vos pensées suivent un schéma du type « Si je ne fais pas cela maintenant, quelque chose de terrible va arriver », il est probable que ce soit de l’anxiété qui parle.

En revanche, l’intuition est plus directe et ancrée dans l’instant présent. Elle peut surgir sous forme d’un simple ressenti, d’une petite idée qui semble juste, même sans explication immédiate. Elle est moins liée à des préoccupations sur le futur ou le passé.

Visualisation et intuition

Tammy Adams recommande également d’utiliser la visualisation pour différencier ces deux états. Imaginez-vous en train de prendre la décision vers laquelle votre intuition semble vous guider. Cette décision vous apporte-t-elle un sentiment de paix et d’expansion, ou vous semble-t-elle plutôt oppressante, comme si vous étiez coincé derrière une porte ?

Cela peut être un excellent moyen de faire la distinction entre l’anxiété et l’intuition : si la décision vous semble fluide et naturelle, c’est probablement votre intuition qui vous parle. Si elle vous donne une sensation de blocage, c’est peut-être l’anxiété qui prend le dessus.

Savoir faire la différence entre l’anxiété et l’intuition est ainsi un processus qui nécessite de la pratique et de l’auto-observation. En prenant le temps de respirer, de vous recentrer et d’écouter vos sensations corporelles, vous pouvez mieux comprendre quel mécanisme est à l’œuvre. Et en apprenant à écouter cette voix intérieure calme, vous serez mieux équipée pour faire des choix qui sont véritablement alignés avec vos désirs.

Funérailles du pape : un donateur anonyme prend en charge les frais

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Alors que le monde catholique pleure la disparition du pape François, une information inattendue a retenu l’attention.

Un testament qui en dit long

Les funérailles du souverain pontife, décédé le 21 avril 2025 à l’âge de 88 ans, seront intégralement financées par un donateur anonyme. Un choix en cohérence avec la vision de simplicité défendue tout au long de son pontificat. C’est dans son testament que le pape François a en effet exprimé sa volonté que ses obsèques soient réglées grâce au soutien d’un bienfaiteur anonyme.

Le texte mentionne explicitement que « les frais de préparation de [sa] sépulture seront couverts par la somme prévue par le bienfaiteur que [j’ai] désigné ». L’identité de ce dernier reste inconnue, mais les versements ont été supervisés par l’archevêque Rolandas Makrickas, commissaire extraordinaire de la basilique Sainte-Marie-Majeure.

Ce choix illustre la volonté du pape de s’écarter des pratiques fastueuses parfois associées à la mort des figures religieuses. Il avait déjà à plusieurs reprises exprimé son désir « d’une Église plus sobre, plus proche des pauvres, et d’un clergé exemplaire dans sa simplicité ».

Une cérémonie empreinte de sobriété

Les funérailles du pape François auront lieu le 26 avril 2025 à 10 heures, sur le parvis de la basilique Saint-Pierre (au Vatican). Elles seront présidées par le cardinal Giovanni Battista Re, doyen du Collège des cardinaux, conformément aux traditions en l’absence d’un successeur déjà en fonction.

Au-delà de la liturgie elle-même, c’est bien le style choisi pour la sépulture qui marque une rupture. Le pape a souhaité être enterré dans un simple cercueil en bois, renonçant aux trois cercueils successifs en cyprès, plomb et chêne, utilisés habituellement pour les papes. Sa tombe, située dans la basilique Sainte-Marie-Majeure, portera une inscription unique et dépouillée : « Franciscus ».

En refusant la grandiloquence, le pape François semble avoir voulu adresser un dernier message. Jusqu’au bout, il aura incarné un pontificat tourné vers l’humilité, la réforme de l’Église, et l’attention aux plus vulnérables. Que ses funérailles soient financées par un inconnu, dans le respect de sa volonté de discrétion, prolonge cette ligne spirituelle et éthique.

« La beauté naît du confort d’être… » : Demi Moore partage sa vision

Dans un entretien intime, l’actrice Demi Moore se confie sur son rapport au corps, au temps et à l’acceptation de soi. Un récit inspirant où acceptation et liberté prennent toute la lumière. Découvrez sa vision de la beauté.

L’acceptation au cœur de la beauté

« Je trouve que la beauté, c’est l’authenticité et la positivité. La beauté naît du confort d’être exactement qui l’on est », explique Demi Moore. Une phrase qui résume à elle seule l’état d’esprit dans lequel elle semble désormais évoluer.

Après une carrière marquée par des rôles iconiques – de G.I. Jane à Ghost, en passant par sa couverture culte et nue pour Vanity Fair en 1991 – Demi Moore offre aujourd’hui une nouvelle facette d’elle-même, à la fois apaisée et assumée. Loin des stéréotypes que Hollywood impose aux femmes dites mûres, elle célèbre désormais son corps non plus pour ce qu’il montre, mais pour ce qu’il a traversé.

 

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Une performance marquante et un retour en force

Son dernier rôle dans « The Substance », un film d’horreur acclamé, marque une étape majeure dans sa carrière. Demi Moore y incarne une star du fitness vieillissante, obsédée par la jeunesse, un personnage miroir qui met en lumière les pressions internes et sociales liées à l’apparence.

Ce rôle, salué à Cannes en mai 2024, lui a valu son premier Golden Globe et un Screen Actors Guild Award – une reconnaissance tardive mais méritée pour une actrice longtemps sous-estimée dans son registre dramatique. Pour Demi Moore, le film a touché une corde universelle : « Je pense que ce qui a résonné, c’est cette violence que l’on peut avoir envers soi-même, ce jugement intérieur si dur ».

Maternité, héritage et transmission

Derrière l’icône hollywoodienne se cache une mère profondément investie. Maman de trois filles, Rumer, Scout et Tallulah, qu’elle a eues avec Bruce Willis, Demi Moore évoque la naissance de sa petite-fille Louetta comme un moment de grâce partagé avec ses filles. Une transmission générationnelle pleine de tendresse et de puissance féminine.

« Voir Rumer accoucher, c’était extraordinaire. La voir entrer dans sa propre force, c’était un moment magnifique », raconte-t-elle. Ces expériences ont profondément nourri sa vision de la parentalité et de l’amour inconditionnel. Demi Moore confie aussi avoir appris à faire la paix avec son propre passé, notamment avec sa mère, marquée par l’alcoolisme : « Comment attendre de mes enfants qu’ils aient de la compassion pour moi si je n’en avais pas pour ma mère ? ».

Une relation apaisée avec son corps

Dans sa jeunesse, Demi Moore confesse avoir infligé des traitements extrêmes à son corps, mus par un besoin de contrôle et une quête de perfection. « Je faisais des choses folles, comme faire du vélo de Malibu jusqu’à Paramount », se souvient-elle. Aujourd’hui, elle parle d’un rapport plus intuitif et apaisé : « J’écoute mon corps, je n’ai plus cette peur. J’ai évolué vers une plus grande gentillesse envers moi-même ».

Son rituel bien-être inclut désormais méditation, alimentation végétarienne et journaling. Elle accorde une importance particulière au sommeil, et même si un petit plaisir comme un Red Bull de temps en temps subsiste, l’essentiel pour elle est de cultiver l’harmonie de l’intérieur.

En paix avec elle-même

Demi Moore accepte désormais pleinement ce qu’elle est et ce qu’elle devient. Elle repousse les diktats sur l’apparence : « On disait qu’à un certain âge, il ne fallait plus avoir les cheveux longs. Mais ça doit être ce qui nous va, ce qui nous fait nous sentir bien ».

Sur la possibilité d’embrasser ses cheveux gris un jour ? « Oh, 100 %. Je trouve cela magnifique ». Elle se dit aussi plus libre que jamais : « Je ne pense pas avoir vraiment suivi les règles. Aujourd’hui, je vis selon ce qui me fait du bien ». Et lorsqu’on lui demande ce que la célébrité lui a appris, la réponse est limpide : « Elle m’a mise à rude épreuve. Elle m’a obligée à affronter mes jugements intérieurs et mon manque d’estime ».

 

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Demi Moore se définit désormais comme une femme en paix, entourée d’amour – de ses enfants, de ses proches, et même de sa chienne, Pilaf, qu’elle décrit affectueusement comme « une poignée d’amour au quotidien ». Son conseil à la jeune Demi de 15 ans ? « Prends des risques. N’aie pas peur. C’est OK de faire des erreurs ». Et à elle-même à 80 ans ? « Il s’agit peut-être de savoir ce que mon moi de 80 ans a besoin de me dire, c’est-à-dire de prendre soin de moi. Prend soin de ce corps. Ne le prend pas pour acquis ». Son mot de la fin : « Ma vie aujourd’hui est paisible – et libre ».

Ces méthodes inattendues pourraient vous faire aimer les tâches ménagères

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Les tâches ménagères ne sont pas vraiment une partie de plaisir. Vous les accomplissez toujours à contre-coeur, en râlant et en traînant des pieds. Même avec la musique « nettoyé, balayé » dans les oreilles, vous n’avez pas plus d’entrain. Entre les lessives, la vaisselle, le ménage et le redoutable changement de draps, il ne reste plus beaucoup d’énergies pour le reste. Pourtant, il existe des méthodes insolites pour transformer ces corvées contraignantes en un moment presque agréable. Oui, vous avez bien lu. Les tâches ménagères, aussi pénibles soient-elles, peuvent prendre une tournure plus plaisante. Voici comment vous faciliter la vie et arrêter de vous battre avec le balais et la couette.

Mettre la couette en deux temps, trois mouvements

C’est l’une des tâches les plus détestées. Pour cause, à chaque fois que vous changez les draps, vous en ressortez avec des traces de sueur sur le front et essoufflée comme après un marathon. Vous avez testé tous les tutoriels pour enfiler votre couette dans votre drap, sans succès. Vous finissez toujours par perdre patience et par laisser votre lit en vrac. Finalement, vous préférez presque dormir dans des draps qui sentent le fauve plutôt que de vous adonner à ce délicat exercice. Avec Hopoli, ce qui s’apparente à un éreintant challenge devient une simple formalité. Par quel miracle ? Grâce à une innovation Made in France récompensée de la médaille d’or au concours Lépine.

Avec ses deux pinces en acier brevetées, l’enfile-couette Hopoli vous assiste comme une seconde paire de mains. Vous ne risquez plus de vous emmêler dans le tissu ou de rester bloquée à l’intérieur du drap. Plus besoin non plus d’être à deux pour mettre le lit au propre. Bien loin d’être un simple gadget, c’est un accessoire qui vous fait gagner de précieuses minutes et qui vous « ménage ». Il vous suffit de suspendre l’enfile-couette Hopoli à une porte, d’y insérer la housse, puis de glisser facilement la couette à l’intérieur. En quelques gestes simples, votre lit est fait sans effort. Également adapté aux personnes porteuses de handicaps ou en proie aux douleurs articulaires, cet enfile-couette Made in France va vite se rendre indispensable au quotidien.

Hopoli
Hopoli

La méthode du ménage méditatif

Inspirée du concept japonais du souji, cette méthode consiste à faire le ménage en pleine conscience. Pas de podcast en fond ni de téléphone dans la poche. Juste vous, votre balai, et l’instant présent. Respirez profondément, concentrez-vous sur les gestes, sur les sons, sur la texture des objets que vous nettoyez. Profitez de cette séance pour vous reconnecter à vous et nettoyer votre mental (en même temps que le sol). Résultat : un esprit plus clair, un cœur plus léger, et un appartement tout propre. Le ménage prend tout de suite une tournure plus « feng shui ».

Placer du papier journal au-dessus des meubles

Ce geste peut sembler anodin. Pourtant, le dessus des meubles est généralement une partie que vous oubliez. Le plumeau n’en voit presque jamais la couleur. Résultat : quand vous y passez le doigt, il en ressort gris, recouvert de poussières et de reste de toile d’araignée. En recouvrant le dessus de vos meubles hauts de papier journal, vous n’avez presque plus à vous en soucier. Nul besoin de vous percher sur un escabeau pendant des heures pour faire le ménage. Vous avez juste à changer le papier. Un véritable gain de temps.

Porter des chaussures chiffon

Au lieu de vous casser le dos avec un balai ou une serpillère, plongez plutôt vos pieds dans des chaussures chiffon. À chaque pas dans la maison, vous décrassez le sol sans même vous en rendre compte. Vous pouvez même vous adonner à quelques déhanchés et reproduire les chorégraphies de Beyoncé. Votre carrelage ou votre parquet sera plus brillant que jamais. C’est ce qui s’appelle allier l’utile à l’agréable.

La technique du « ménage-cadeau »

Pourquoi ne pas lier une tâche désagréable à une récompense sympathique ? Après avoir lavé les vitres, désencombré le placard ou plié les trente paires de chaussettes, offrez-vous un petit luxe : un bain moussant, une infusion spéciale, ou ce masque hydratant que vous gardez pour « une grande occasion ». En créant un rituel positif, vous changez totalement votre rapport aux tâches ménagères. Vous compensez le côté pénible avec un cadeau qui vous réconforte et vous fait du bien.

Mobiliser toute la famille avec des jeux ludiques

La répartition des tâches ménagères n’est pas toujours très équitable. Malgré un planning minutieux accroché en évidence sur le frigo, les membres de la famille trouvent toujours une bonne excuse. « Je vais chez un copain ». « J’ai trop de devoirs ». Vous connaissez la chanson à force. Les tâches ménagères, quand elles prennent la forme d’un jeu, peuvent devenir un vrai moment de complicité familiale.

Transformez les corvées en olympiades amusantes. Même les ados grognons y prendront part ! Convertissez la séance de rangement en une trépidante chasse au trésor, par exemple. Sur un carton ou une appli dédiée, créez une roue avec les différentes tâches de la semaine. Chaque jour, tour de roue : chacun découvre sa « mission du jour ». C’est beaucoup plus engageant, non ? C’est surtout un soulagement pour les mamans, qui ont tendance à jongler entre le panier de linge et les casseroles.

Alors non, vous n’allez peut-être pas sauter de joie à l’idée de récurer la baignoire… Cependant avec ces méthodes, les tâches ménagères seront plus faciles à exécuter. Vous pourrez investir les minutes économisées dans des activités qui vous réjouissent vraiment.

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Entre tradition et audace : ce que 2025 vous réserve côté parfums

Ouvrez grands vos narines, cette année 2025 ne fait pas les choses à moitié ! Les tendances olfactives vous promettent un véritable tourbillon de sensations. Entre gourmandises revisitées, cerise sur le gâteau (littéralement), nature réinventée et innovations futuristes, les parfums font leur révolution en douceur… et avec panache.

Vanille, caramel : le retour en force des plaisirs gourmands

Si vous pensiez que la vanille allait s’essouffler, détrompez-vous. Elle reste en 2025 la star incontestée des fragrances. Mais attention, elle ne vient plus seule : elle s’entoure désormais d’un casting 5 étoiles de notes gourmandes pour titiller votre côté épicurien. Caramel fondant, noix craquantes, beurre doux ou chocolat noir intense… les maisons de parfum concoctent de véritables recettes de plaisir. Parmi les parfums printemps 2025, on retrouve une avalanche de douceurs assumées, portées avec chic et caractère

Prenez « Vanilla Haze » de Fugazzi : un nuage sucré presque addictif. « Burberry Goddess » ? Un hommage à une féminité puissante et résolument libre. Sans oublier « BOSS Alive Absolu » de Hugo Boss, une déclaration d’énergie et de joie, ou encore « Idôle Nectar » de Lancôme qui ajoute une touche de popcorn caramélisé à une rose vibrante. Et si vous aimez la pêche, « Pêche Mirage » de Guerlain vous invite à une rêverie fruitée et ensoleillée. Ce qui change en 2025 ? La gourmandise ne rime plus avec légèreté sucrée, mais avec profondeur et audace. On ose, on savoure !

La cerise sur le flacon : sensualité fruitée et élégance boisée

Autre grande révélation de cette année : la cerise, fruit de la tentation, s’invite dans les parfums et les fait vibrer d’une nouvelle intensité. Loin d’être un simple clin d’œil fruité, elle devient un ingrédient capable de jouer avec les épices, les bois et même les notes fumées. La cerise se fait mystérieuse, élégante, parfois même un brin rebelle.

Dans « Sweet » de Lolita Lempicka, elle s’enlace au chocolat noir pour un effet bonbon très affirmé. « Irrésistible Nude Velvet » de Givenchy la joue plus discret mais tout aussi sensuel, avec une alliance florale subtilement poudrée. Et « Audace » de Rochas porte bien son nom : entre framboise, mandarine, fève tonka et santal, c’est un parfum qui embrasse toutes vos facettes, même les plus secrètes.

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Le retour aux sources : nature, mer et conscience écologique

Les parfums se mettent également au vert. Et pas juste pour faire joli. L’heure est à la durabilité, à la rechargeabilité et aux ingrédients naturels. Vos flacons deviennent plus responsables, parfois rechargeables, souvent conçus à partir de matériaux recyclés. Et la conscience écologique ne s’arrête pas à l’emballage : elle se glisse aussi dans la composition même des fragrances.

Les accords aquatiques, floraux et boisés reviennent en force, porteurs d’un message de fraîcheur et de retour à l’essentiel. « AQUA ALLEGORIA » de Guerlain vous emmène dans un jardin infini, « Rose Naturelle » de Chloé vous cueille une rose délicate à l’aube, et « Acqua di Gioia » d’Armani vous offre une bouffée marine qui fait du bien au corps comme à l’esprit.

Et si votre parfum vous comprenait ?

2025, c’est aussi l’année où la technologie entre dans la danse. On parle de plus en plus de parfums créés à l’aide de l’intelligence artificielle, capables d’évoquer une émotion ou une ambiance précise. Fini le simple « je veux sentir bon », place à « je veux ressentir quelque chose ». Vous voulez vous sentir apaisée ? Dynamisée ? Inspirée ? Des parfums sur-mesure pourraient bien voir le jour dès ce printemps-été 2025, ajustés à votre humeur ou à votre environnement. On s’éloigne du marketing genré et on se rapproche de vous, de vos envies, de votre bien-être.

Un parfum pour toutes, un parfum pour tous

Enfin, comment parler de 2025 sans évoquer la montée en puissance des parfums mixtes ? Car oui, qu’importe votre genre ou le code couleur du flacon, le parfum se choisit au nez et au cœur. Les créations unisexes s’installent ainsi durablement dans les rayons, avec des senteurs boisées, ambrées, hespéridées ou même florales qui n’appartiennent à personne… si ce n’est à vous. En 2025, vous êtes libre d’être vous-même, tout simplement.

Cette année 2025 vous invite à vous réapproprier votre parfum comme un accessoire identitaire, gourmand et profondément personnel. Un peu de tradition, une bonne dose d’audace, et toujours cette touche de plaisir irrésistible qui fait toute la différence. Alors, quel sera votre sillage jusqu’à la fin de l’année ?

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« Je refuse de me cacher à la plage » : ses tenues d’été sans complexes éblouissent

Sur le sable chaud, les complexes sont parfois brûlants. Les femmes dotées de rondeurs ne lâchent pas leur paréo et s’enveloppent fermement dans leur serviette. Elles sacrifient la baignade par crainte que les regards se posent trop longuement sur leur silhouette. La mannequin Tana Habibi, elle, fait ce que de nombreuses femmes plantureuses s’interdisent : elle attire le soleil sur ses courbes et se pavane à la plage dans des tenues qui laissent peu de place à l’imaginaire.

Des tenues de plage qui révèlent tout de son corps

Qui dit été, dit tenues légères et matière fluide en transparence. Dans les looks de bord de mer, il y a plus de peau que de tissus. Cependant, même par temps caniculaire, les femmes aux courbes affirmées plébiscitent une garde-robe obscure qui descend jusqu’aux coudes et qui ne délivre aucun indice sur la silhouette. Sur le front de mer, elles ne font qu’un avec leur serviette et ne montrent presque pas un centimètre de leur bikini. Leur drap de bain se mue en bouclier visuel et camoufle ce que la société juge « inacceptable ». Avec l’injonction du summer body, les corps voluptueux s’enferment sous les vêtements.

Si vous aussi vous avez l’impression que votre corps n’est pas assez bien pour se « montrer » ou se dévêtir en public, Tana Habibi, elle, va vous donner envie de faire tomber le paréo. Pendant la saison estivale, les corps se dévoilent et ceux qui affichent des bourrelets ou de la cellulite ne devraient pas faire exception ou suffoquer juste pour le « bien-être des yeux ». La mannequin aux cheveux texturés et à la peau caramélisée célèbre son corps à travers le tissu. Chacune de ses apparitions sous le soleil s’apparente à un défilé de mode audacieux. Elle ne cherche pas à se dissimuler derrière une bouée ou un sac en osier, elle fait tout pour rayonner.

Oubliez les paréos noués vulgairement dans le dos. Tana Habibi possède des basiques de plage bien plus élogieux et sophistiqués. Elle adore les vêtements avec des ouvertures ou des incisions stratégiques. Une jupe taille basse en crochet fendue sur la cuisse, un mini short bohème qui couvre à peine son bikini ou une micro robe à fleurs qui donne pleine vue sur son décolleté. Tana Habibi provoque un véritable tsunami dans la garde-robe estivale des femmes rondes.

Loin de se faire discrète, elle a un vestiaire de plage qui donnerait des sueurs froides à tous les grossophobes. Bretelles fines, robes ajourées, ensemble en voilage qui donne sur son ventre… l’ambassadrice de la marque FashionNova fait de l’ombre aux diktats de minceur.

Une confiance palpable sur le sable chaud

Qu’elle soit dans un ensemble tropical moulant qui ne tient qu’à un fil ou une robe près du corps coupée à l’emporte-pièce. Qu’elle soit à côté d’une piscine privative à Santorin ou sur une plage paradisiaque bondée. Tana Habibi fait comme si les autres n’existaient pas. La mannequin, qui fait de Miami Beach son plus beau terrain de jeu et son meilleur podium, ose toutes les fantaisies. Elle s’autorise ce que de nombreuses femmes de sa taille s’interdisent chaque été.

Avec son style à la fois féérique et vintage, elle ne repousse pas les regards, elle les attire comme des aimants et éblouit tout le monde sur son passage. Il faut dire que Tana Habibi a l’habitude d’être exposée et de marcher la tête haute. Elle a déjà défilé pour la marque Elomi lors de la Miami Swim Week et pour Lascana. Lorsqu’elle écume le catwalk, elle n’a presque rien sur le dos, juste ce qu’il faut pour couvrir les parties intimes. D’où cette confiance rafraîchissante.

Après tout, nul besoin d’avoir un corps en sablier, des hanches affûtées et des jambes qui avancent sans se toucher pour porter un ensemble de plage vaporeux ou une robe dans l’esprit « filet de pêche ». Il n y a pas une silhouette plus légitime qu’une autre pour enfiler des tenues aérées sous 40°C.

Des maillots de bain sulfureux qui en imposent

Certes, les tenues de plage de Tana Habibi sont bien trop soignées et luxueuses pour finir en boule dans un panier mouillé. Mais elles donnent déjà un bel aperçu de ce qui se cache en dessous. Tana Habibi n’est pas du genre à les garder éternellement sur ses courbes. Elle s’en déleste aussi pour laisser apparaître des bikinis échancrés qui font décoller la température.

Adepte des maillots de bain deux pièces, elle sait ce qui lui va. Haut bustier surmonté de bijoux, ensemble parsemé de cerises ou de fleurs rétro mais aussi bikini ponctué de coquillages ornementaux, Tana Habibi fait toujours trempette avec style. Loin de plébisciter des modèles ultra emboîtants qui emprisonnent la poitrine ou de culottes taille haute qui ont un effet gainant, elle s’approprie des bikinis qui laissent vraiment libre court à son anatomie.

Sous l’impulsion de Tana Habibi, une vague de liberté va déferler sur votre valise d’été. Plus question d’embarquer uniquement des vêtements « discrets ». Il est temps d’apporter un peu de piquant à vos tenues de plage. PS : pour avoir un summer body, il faut juste avoir un corps en été. Rien de plus.

Ce mot décrit les liens complexes qui existent après une séparation

On se quitte, on tourne la page… mais pas toujours complètement. Car même une fois l’histoire terminée, il reste souvent quelque chose : des souvenirs, une affection confuse, une connexion persistante, une gêne, ou parfois même une tendresse qui survit aux disputes. Et pourtant, dans la langue française, un seul mot : « ex ». Court, sec, pratique… mais terriblement réducteur. C’est que les relations post-séparation sont rarement claires. Elles peuvent être distantes, cordiales, douloureuses, ou ambiguës. Parfois les deux à la fois, parfois tout ça en même temps. Alors, existe-t-il un mot, quelque part, pour dire ces liens qui continuent à exister après la fin d’une histoire d’amour ?

“Ex” : un mot qui clôt sans expliquer

En français, dire “mon ex” suffit à situer l’autre : un.e ancien.ne partenaire. Le terme marque la fin du lien amoureux, mais il ne dit rien de ce qu’il en reste : affection, tension, résidus émotionnels, complicité qui persiste ou froideur assumée. Bref, un monde entier que trois lettres ne sauraient contenir.

La relation post-rupture est pourtant un espace à part entière, ni vraiment intime, ni totalement étrangère. On n’est plus ensemble, mais on n’est pas totalement détaché. C’est cette zone grise — entre passé amoureux et présent affectif — que plusieurs langues tentent de mieux capturer.

Quand les autres langues trouvent (parfois) les mots

Certaines langues ou cultures ont su nommer ces sentiments ou ces situations que la nôtre peine à exprimer :

  • « Koi no yokan » (Japonais) : ce n’est pas un mot pour l’après, mais il mérite d’être cité. Il décrit la sensation de savoir qu’on tombera amoureux de quelqu’un, sans que ce soit encore le cas. Une sorte d’intuition amoureuse. Appliqué à une relation passée, cela peut refléter cette étrange sensation de presque encore quelque chose.
  • « Naz » (Persan) : cette attitude douce-amère entre deux personnes qui s’aiment ou se sont aimées, faite de séduction retenue et de pudeur affective. Un mot qui peut illustrer certaines dynamiques post-rupture, où le lien perdure dans le non-dit.
  • « Gemütlichkeit » (Allemand) : ce mot désigne un sentiment de confort émotionnel, de chaleur relationnelle. Dans le contexte des ex, il pourrait refléter une relation apaisée, sans tension, où les souvenirs ont été digérés sans rancune.
  • « Estrenar » (Espagnol) : encore un mot détourné ici, mais qui désigne le fait d’utiliser ou de vivre quelque chose pour la première fois. Pour certaines personnes, retrouver un lien nouveau avec un.e ex — amical, complice ou neutre — pourrait être vu comme une manière d’estrenar une nouvelle forme de relation.

Bref, autant d’expressions qui révèlent ce que le français ne dit pas clairement : l’après-rupture est rarement une absence de relation. C’est une autre forme de lien, souvent plus floue, parfois inconfortable, mais bien réelle.

Pourquoi ces liens persistent ?

D’un point de vue psychologique, l’attachement ne disparaît pas dès qu’une relation se termine. Les connexions émotionnelles, les habitudes, les souvenirs partagés… tout cela tisse un lien invisible mais résistant. Même après la fin du désir ou de l’amour romantique, il peut rester une forme d’affection ou de loyauté implicite.

Dans certains cas, le lien perdure parce qu’il est utile (coparentalité, travail en commun, amis partagés). Dans d’autres, c’est plus inconscient : l’autre reste une figure importante, un repère, un miroir.

Sociologiquement, nos sociétés modernes — notamment à l’heure des réseaux sociaux — entretiennent la proximité entre ex : on se voit, on se like, on se recroise. Autant d’occasions de raviver des sentiments dormants… ou de rendre le détachement plus difficile.

Et si ce lien n’était ni à fuir, ni à idéaliser ?

Toutes les relations post-rupture ne se ressemblent pas. Certaines méritent d’être préservées, d’autres doivent être coupées net. Mais il peut être libérateur de reconnaître qu’un lien n’a pas besoin d’entrer dans une case.

Aimer, puis ne plus aimer, puis peut-être continuer à apprécier… Cela fait aussi partie des trajectoires humaines. Il n’y a pas un seul scénario “réussi” après une séparation : il y a autant de chemins que d’histoires.

Ce qui compte, c’est de respecter ses émotions, celles de l’autre, et de poser des limites claires. Une relation nouvelle peut naître du passé, différente, parfois même plus apaisée.

Alors, existe-t-il un mot pour désigner ces liens complexes qui persistent après une séparation ? Pas vraiment, pas en français en tout cas. Mais peut-être est-ce une bonne chose. Car ce flou dit quelque chose de vrai : les relations humaines ne se résument pas à une seule étiquette. Amour, amitié, attachement, tendresse : parfois, les sentiments se mêlent, et c’est moins un problème à résoudre qu’un mystère à apprivoiser.

Endométriose : que manger pour atténuer les douleurs ?

C’est une maladie chronique qui affecte au moins 10% des femmes en l’âge de procréer à travers le monde. L’endométriose, encore trop souvent sous-diagnostiquée, s’accompagne de douleurs parfois intenses : règles invalidantes, maux de dos, troubles digestifs… Et si certains gestes du quotidien pouvaient aider à en apaiser les effets ? L’alimentation, sans prétendre guérir, pourrait bien faire partie de l’arsenal à envisager.

Quand manger devient un levier pour mieux vivre la maladie

Face à une pathologie hormonodépendante et inflammatoire comme l’endométriose, le contenu de l’assiette prend tout son sens. Plusieurs études récentes, dont un essai iranien relayé par le Dr Karan Rajan dans sa newsletter, montrent que certains aliments contribuent à réduire les douleurs pelviennes et les désagréments liés aux cycles menstruels.

Deux ingrédients, en particulier, ont retenu l’attention : les graines de lin et la camomille. Pris sous forme de compléments alimentaires pendant deux mois, ces deux éléments ont permis à plus d’un tiers des participantes à l’étude de constater une amélioration notable de leurs symptômes. Certaines femmes ont même ressenti les bénéfices jusqu’à deux mois après l’arrêt de la supplémentation.

Graines de lin et camomille : duo gagnant ?

Les graines de lin sont reconnues pour leur richesse en fibres solubles, en oméga-3 et en lignanes. Ces composés aux propriétés anti-inflammatoires et œstrogéniques agiraient sur la régulation hormonale, tout en apaisant les ballonnements et en facilitant le transit. Le Dr Rajan conseille une consommation simple et quotidienne : deux cuillères à soupe de graines moulues, à intégrer dans un porridge ou une boisson.

La camomille, quant à elle, a été administrée dans l’étude à raison d’un gramme trois fois par jour — une quantité bien plus élevée que celle d’une infusion classique. Attention donc à ses effets sédatifs puissants à forte dose. En usage domestique, commencer par une ou deux tasses de tisane concentrée peut être un bon compromis, à ajuster selon la tolérance de chacune.

Une alimentation anti-inflammatoire comme socle

Au-delà de ces deux produits, c’est tout un régime alimentaire adapté qui peut contribuer à mieux vivre avec l’endométriose. Le mot d’ordre ? Réduire l’inflammation. Cela passe par des aliments riches en antioxydants, oméga-3, vitamines et minéraux :

  • Poissons gras (sardines, maquereaux, harengs)
  • Légumes verts cuits (épinards, brocolis, fenouil)
  • Fruits rouges, raisins, fruits à coque
  • Thé vert, grenade, curcuma, gingembre

Des habitudes simples, mais puissantes. Boire suffisamment d’eau (filtrée si possible), privilégier le fait-maison, éviter les cuissons trop agressives et opter pour des aliments bruts, bio et de saison sont aussi des conseils de base.

Ce qu’il vaut mieux éviter

Certains aliments sont en revanche suspectés d’aggraver les douleurs ou l’inflammation. En tête de liste :

  • Le gluten (blé, seigle, orge)
  • Les produits laitiers d’origine animale
  • Les aliments riches en sucres raffinés
  • Les viandes rouges et graisses saturées
  • L’alcool et la caféine

Des substituts existent pour ne pas renoncer au plaisir de manger : laits végétaux (hors soja), sucres naturels comme le miel ou le sirop de coco, ou encore alternatives sans gluten comme le sarrasin ou le riz complet.

Observer, adapter, ajuster

Chaque corps réagit différemment. Tenir un journal alimentaire peut s’avérer précieux pour repérer les produits qui aggravent ou soulagent les symptômes. Il permet de noter les repas, les boissons, les douleurs ressenties et d’ajuster son alimentation progressivement.

La prudence reste de mise : certaines recommandations peuvent ne pas convenir à toutes, notamment si l’endométriose est associée à des troubles digestifs. Par exemple, les crucifères sont anti-inflammatoires mais parfois difficiles à digérer. D’où l’importance d’une approche personnalisée, à construire idéalement avec un professionnel de santé.

S’il n’existe pas de régime miracle, de nombreuses femmes atteintes d’endométriose constatent que mieux manger peut signifier moins souffrir. La camomille et les graines de lin, selon les études récentes, sont deux pistes intéressantes, accessibles et naturelles. Mais au-delà de ces produits, c’est une alimentation globale anti-inflammatoire, digeste et adaptée qui peut véritablement améliorer le quotidien.

Ces signes montrent que votre animal ressent vos émotions

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Votre chien vient poser sa tête sur vos genoux quand vous pleurez ? Votre chat semble vous coller un peu plus que d’habitude lorsque vous êtes à plat ? Vous vous demandez s’il s’agit d’un simple hasard ou si, en réalité, votre animal ressent ce que vous traversez. Bonne nouvelle : la science apporte aujourd’hui des réponses claires, nuancées… et souvent émouvantes.

Les animaux, sensibles à nos humeurs

Oui, votre compagnon à quatre pattes capte vos émotions. Mais attention à ne pas trop lui prêter des intentions humaines. Pour bien comprendre ce lien fascinant entre humains et animaux, il faut d’abord faire la part entre émotions authentiques et interprétations subjectives, autrement dit l’anthropomorphisme.

Longtemps, les scientifiques ont été frileux à l’idée de reconnaître des émotions aux animaux. Les mentalités évoluent, et les études récentes confirment que de nombreuses espèces domestiques – chiens et chats en tête – sont capables de percevoir certaines de nos émotions. Les chiens, par exemple, sont d’incroyables décodeurs. Ils analysent nos expressions faciales, le ton de notre voix, mais aussi… notre odeur. Leur flair, jusqu’à 100 000 fois plus puissant que le nôtre, leur permet même de détecter les changements hormonaux associés au stress ou à l’anxiété. Une étude a montré qu’ils reconnaissaient l’odeur d’une personne stressée avec une précision de 93,7 %. Bluffant, non ?

Le chat, souvent perçu comme plus indépendant, n’est pas en reste. S’il est parfois plus subtil dans ses réactions, il n’en reste pas moins attentif aux changements d’humeur de son humain. Certains chats se rapprochent spontanément de leurs propriétaires tristes, d’autres ronronnent plus ou apportent leurs jouets préférés. Une manière bien à eux de dire : « Je suis là ».

Les signes qui ne trompent pas

Voici quelques comportements fréquents chez les animaux qui pourraient indiquer qu’ils ressentent votre état émotionnel :

  • Ils se rapprochent physiquement de vous sans raison apparente.
  • Ils adoptent un comportement plus calme ou plus joueur, selon votre humeur.
  • Ils vous observent avec insistance, comme s’ils attendaient une réaction.
  • Ils modifient leur routine habituelle, deviennent collants ou plus silencieux.
  • Ils bâillent en même temps que vous, un phénomène de contagion émotionnelle.

Une expérience marquante menée par des chercheurs a montré que les chiens séparés de leurs maîtres tentaient de les rejoindre plus vite lorsque ces derniers faisaient semblant de pleurer. Le lien est donc fort, instinctif, et basé sur des signaux que nous ne contrôlons pas toujours.

Attention à l’anthropomorphisme

S’il est tentant d’interpréter les réactions de nos animaux comme on le ferait avec un ami humain, la prudence est de mise. C’est ce qu’on appelle l’anthropomorphisme : attribuer à un animal des pensées ou des émotions humaines.

Par exemple, un chat qui vient se frotter contre vous n’est pas nécessairement en train de vous consoler. Il peut simplement réclamer son repas ou marquer son territoire. De même, un chien qui a l’air « coupable » après une bêtise n’exprime pas de remords comme un humain le ferait, mais réagit à votre ton ou à votre posture. Cela ne veut pas dire que leurs émotions sont fausses – simplement qu’elles s’expriment différemment, et qu’il est essentiel de respecter leur nature propre.

Un lien bénéfique… dans les deux sens

Ce lien émotionnel que nous partageons avec nos animaux n’est pas à sens unique. Plusieurs recherches montrent que vivre avec un animal peut améliorer notre bien-être émotionnel. Leur simple présence réduit l’anxiété, apaise la solitude et peut même atténuer les pensées noires.

Des études ont par exemple prouvé que les personnes qui promènent régulièrement leur chien sont moins anxieuses que celles qui marchent seules. La routine, le contact physique, l’absence de jugement… tout concourt à créer une relation profondément réconfortante. Et si cette relation fonctionne si bien, c’est aussi parce qu’elle s’ancre dans l’instant présent. Nos compagnons ne s’encombrent ni du passé, ni du futur : ils sont là, maintenant, avec vous.

Ce que la science dit aujourd’hui

Les connaissances scientifiques sur l’empathie animale progressent à grands pas. Les chiens, par exemple, sont capables d’associer des expressions faciales à des tonalités vocales, un signe de compréhension émotionnelle avancée. Mieux encore : ils distinguent la joie de la colère, la peur de la sérénité, en croisant plusieurs indices sensoriels (vue, ouïe, odorat).

Chez les chats, bien que moins étudiés, des expériences montrent qu’ils perçoivent également les signaux non verbaux et modifient leur comportement en fonction de l’état émotionnel de leur humain. Ce que toutes ces études confirment : les animaux sont des êtres sensibles, réceptifs à notre monde émotionnel, mais à leur façon, avec leurs codes et leurs langages.

Oui, votre animal ressent probablement que vous êtes triste, stressé ou joyeux. Il peut y réagir, parfois avec une tendresse désarmante. Mais gardons à l’esprit que leur monde émotionnel n’est pas une copie du nôtre. Plutôt que de projeter nos émotions sur eux, apprenons à les observer, à décoder leur langage, et à leur répondre avec respect et bienveillance. C’est ainsi que le lien se renforce – jour après jour.

Heures de sommeil après 65 ans : voici ce que recommandent cet expert

On a longtemps cru – et entendu – que dormir huit heures par nuit était la norme absolue pour bien se reposer. Cette idée largement répandue est aujourd’hui remise en question, notamment pour les personnes de plus de 65 ans. Et cette fois, ce n’est ni une tendance TikTok, ni un énième mythe bien-être : c’est l’avis d’un expert reconnu en médecine du sommeil.

Moins dormir… mais mieux : un nouveau rythme à adopter

Pourquoi ce changement de perspective ? Tout simplement parce que les besoins du corps évoluent avec l’âge. Après 65 ans, l’organisme ralentit, les sollicitations cognitives sont souvent moindres, l’activité physique diminue : autant de facteurs qui influencent nos rythmes biologiques.

« À partir de 65 ans, nous avons besoin de moins de sommeil car nous bougeons moins et apprenons moins de choses », explique le Dr Estivill dans une interview accordée au média La Vanguardia.

Sa recommandation : viser six heures de sommeil nocturne, pas plus. Ce qui compte, ce n’est pas la durée, mais la qualité. Et pour compléter ce repos plus court la nuit, une ou deux siestes courtes dans la journée peuvent suffire à recharger les batteries efficacement.

Un sommeil fragmenté n’est pas un mauvais sommeil

Beaucoup de seniors s’inquiètent de leur sommeil : réveils nocturnes fréquents, nuits plus courtes, endormissements devant la télévision… Ces changements sont souvent interprétés comme des troubles, alors qu’ils sont tout à fait naturels.

« Les personnes âgées pensent souvent mal dormir alors qu’elles dorment exactement comme leur corps le nécessite », explique le Dr Estivill. Résultat : elles consultent à tort, et se voient prescrire des somnifères qui, sur le long terme, peuvent perturber encore davantage le sommeil.

Le médecin met donc en garde contre le réflexe médicamenteux : « Beaucoup consomment des somnifères en pensant que dormir 8 ou 9 heures est indispensable. Or, ce n’est pas le cas ».

La recette d’un sommeil sain et réaliste après 65 ans

Plutôt que de s’accrocher à des normes qui ne correspondent plus à cette tranche d’âge, le Dr Estivill propose une hygiène du sommeil adaptée. Voici ses principales recommandations :

  • Dormir environ 6 heures par nuit, si le sommeil est continu et réparateur.
  • Faire une ou deux siestes dans la journée, de courte durée, pour compléter le repos.
  • Garder une routine régulière : se lever et se coucher à heures fixes.
  • Éviter les écrans et les excitants en fin de journée.
  • Ne pas culpabiliser si l’on dort moins longtemps qu’avant : ce n’est ni un problème, ni une pathologie.

Et surtout, ne jamais réveiller un senior qui pique du nez devant la télévision ! Cette somnolence légère, loin d’être un signe de fatigue excessive, fait partie intégrante du nouveau cycle de sommeil naturel après 65 ans.

Dormir selon son âge, pas selon un mythe

Cette nouvelle approche du sommeil a de quoi rassurer de nombreuses personnes âgées, souvent angoissées à l’idée de ne pas dormir « comme avant ». Le Dr Estivill résume cette réalité avec une phrase pleine de bon sens : « Quand on est jeune, on a besoin de beaucoup de sommeil et peu de temps pour dormir. Quand on est vieux, on a beaucoup de temps, mais moins besoin de sommeil ».

Changer de regard sur son sommeil, c’est aussi accepter que nos besoins évoluent avec le temps. Mieux les comprendre, c’est mieux les respecter. Et au final, c’est retrouver un repos plus paisible, sans pression ni médicament.

Ce que votre façon de croiser les bras dit de votre ouverture aux autres

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Croiser les bras est un geste courant, souvent interprété comme un signe de fermeture ou de désaccord. Cependant, cette posture peut avoir des significations variées selon le contexte, la culture et les individus. Des recherches universitaires récentes apportent un éclairage nuancé sur ce comportement non verbal.

Une posture aux interprétations multiples

Traditionnellement, croiser les bras est perçu comme une attitude défensive ou de retrait. Cette interprétation trouve son origine dans l’idée que cette posture crée une barrière physique entre soi et les autres, symbolisant une protection ou une réserve. Cependant, cette lecture peut être trop simpliste.

Selon une analyse, croiser les bras peut également refléter un besoin de concentration ou une manière de se recentrer sur soi, notamment en situation de stress ou de réflexion intense. Dans ce cas, la posture n’exprime pas une fermeture aux autres, mais plutôt une introspection ou une focalisation sur une tâche spécifique.

De plus, une étude suggère que cette position pourrait favoriser une analyse plus sérieuse et critique d’un problème, indiquant une implication cognitive plutôt qu’une distance émotionnelle.

Le contexte et la culture : des facteurs déterminants

Il est essentiel de considérer le contexte dans lequel les bras sont croisés. Dans un environnement professionnel, cette posture peut être adoptée pour se concentrer ou pour écouter attentivement, sans intention de se fermer aux échanges. À l’inverse, lors d’une discussion conflictuelle, elle peut effectivement signaler une résistance ou un désaccord.

La culture joue également un rôle crucial dans l’interprétation des gestes. Dans certaines cultures, croiser les bras est une posture neutre, voire courante, tandis que dans d’autres, elle peut être perçue comme impolie ou distante. Il est donc important de ne pas tirer de conclusions hâtives sans tenir compte des différences culturelles et individuelles.

L’importance de la congruence et de l’observation globale

Pour interpréter correctement le langage corporel, il est recommandé d’observer l’ensemble des signaux non verbaux et de les comparer au discours verbal. Une posture de bras croisés accompagnée d’un sourire sincère et d’un contact visuel peut indiquer une attitude ouverte, malgré la posture. À l’inverse, si cette posture s’accompagne d’un regard fuyant et d’un ton sec, elle peut effectivement signaler une fermeture.

La congruence entre les différents signaux – verbaux et non verbaux – est un indicateur clé de l’état émotionnel et de l’attitude d’une personne. Une incohérence entre ces signaux peut révéler une dissonance ou un inconfort.

Croiser les bras est un geste aux significations multiples, qui ne doit pas être interprété de manière univoque. Il peut refléter une concentration, une introspection, une réserve ou un désaccord, selon le contexte, la culture et les autres signaux non verbaux. En développant une observation attentive et en évitant les jugements hâtifs, nous pouvons améliorer notre compréhension des autres et favoriser des interactions plus empathiques et efficaces.

Quelle frange choisir pour sublimer la forme de votre visage ?

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La frange est un atout capillaire qui peut transformer votre visage en un clin d’œil. Pour qu’elle remplisse parfaitement son rôle, il est essentiel de choisir la coupe qui mettra en valeur vos traits. Voici nos conseils pour trouver la frange idéale en fonction de la forme de votre visage.

Visage rond : optez plutôt pour une frange effilée ou asymétrique

Les visages ronds se caractérisent par des lignes douces et peu anguleuses. Pour allonger les traits, préférez une frange effilée, légère et aérée. Une frange asymétrique, balayée sur le côté, est également une excellente option car elle crée une impression de longueur.

Visage ovale : une frange en fonction de votre style

Frange droite, épaisse, effilée ou encore longue et balayée, pour mettre en valeur vos traits harmonieux, choisissez une frange en fonction de votre style personnel et de votre texture capillaire.

 

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Visage carré : préférez une frange longue et méchée

Les visages carrés, avec des mâchoires marquées et des traits anguleux, sont particuliérement adoucis par une frange longue et légèrement effilée. Une frange en biais ou bien une frange méchée apporte ainsi de la douceur à vos lignes tout en valorisant vos atouts.

Visage en cœur : préférez une frange légère et effilée

Les visages en cœur, avec un front large et un menton fin, sont particuliérement sublimés par une frange légère et aérée. Cela permet d’équilibrer les proportions du visage. Une frange rideau, qui sépare les mèches en deux sur le front, est aussi une excellente alternative.

Visage allongé : optez plutôt pour une frange droite et épaisse

Si votre visage est plus long que large, une frange droite, épaisse et qui descend juste au niveau des sourcils est idéale. Elle permet de raccourcir visuellement votre front et d’apporter plus d’équilibre à vos traits.

 

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Visage en diamant : préférez une frange rideau ou méchée

Les visages en diamant, caractérisés par des pommettes saillantes et un menton fin, sont parfaitement valorisés par une frange rideau ou une frange légère et méchée. Ces styles encadrent le visage avec douceur.

Quelques conseils supplémentaires

  • Prenez en compte votre texture capillaire : les cheveux fins préféreront une frange légère et aérée, tandis que les cheveux épais peuvent opter pour une frange plus fournie.
  • Consultez votre coiffeur : un professionnel pourra adapter la frange à votre style de vie et à vos habitudes capillaires.
  • N’oubliez pas l’entretien : certaines franges demandent plus de soin que d’autres, notamment en termes de coiffage et de coupe régulière.

À noter : l’essentiel, c’est de se faire plaisir ! Quelle que soit la forme de votre visage, toutes les franges sont permises : osez celle qui vous fait envie, pas celle que les normes vous dictent.

La frange peut transformer votre look et sublimer vos traits si elle est bien choisie. En tenant compte de la forme de votre visage et de la nature de vos cheveux, vous pourrez trouver la frange qui vous mettra le plus en valeur.

Voici pourquoi il est important de prendre son temps pour manger

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Avaler son déjeuner en dix minutes top chrono est devenu une habitude banale pour beaucoup. Entre les réunions qui s’enchaînent, les emplois du temps surchargés et les pauses déjeuner écourtées, de nombreuses personnes passent à table sans réellement prendre le temps… de manger.

Pourtant, ce rythme effréné a un coût — et pas seulement celui d’un sandwich mal digéré. Plusieurs études, appuyées par des spécialistes en santé comportementale et nutrition, pointent du doigt les risques concrets liés aux repas trop rapides. Problèmes digestifs, grignotages compulsifs, prise de poids… Prendre son temps à table ne relève pas seulement du confort, mais aussi d’un véritable enjeu de santé.

Moins de 20 minutes, un seuil critique pour votre organisme

Le chiffre peut surprendre, mais il est scientifiquement établi que l’estomac met environ 20 minutes à signaler au cerveau qu’il est rassasié. Avant ce délai, les hormones de la satiété n’ont pas encore eu le temps d’agir. Résultat : en mangeant trop vite, on court le risque de dépasser ses besoins sans même s’en rendre compte.

« Il est très facile de continuer à manger au-delà de la sensation de satiété simplement parce que le corps n’a pas eu le temps de réagir », explique Leslie Heinberg, spécialiste en santé comportementale à la Cleveland Clinic (États-Unis). Cette déconnexion entre la faim réelle et la quantité consommée favorise la suralimentation — et avec elle, un risque accru de surpoids, voire d’obésité.

Digestion en accéléré = digestion perturbée

Manger vite n’impacte pas seulement la sensation de satiété : cela peut aussi perturber le processus digestif lui-même. En engloutissant les aliments sans prendre le temps de bien mâcher, on avale aussi beaucoup d’air. Ce phénomène, appelé aérophagie, est souvent responsable de ballonnements, douleurs abdominales et inconfort digestif.

Autre conséquence : des aliments mal mastiqués sont plus difficiles à digérer, ce qui peut nuire à l’absorption des nutriments et sursolliciter l’appareil digestif. Cela peut entraîner des inconforts, voire des troubles digestifs plus chroniques à long terme.

Pourquoi mange-t-on si vite ?

Pour beaucoup, manger rapidement est devenu une seconde nature. Cela commence souvent dès l’enfance ou se renforce à l’âge adulte par manque de temps. Regarder un écran pendant les repas, répondre à ses mails en grignotant, ou finir son assiette entre deux trajets : l’acte de manger devient automatique, presque secondaire.

Mais ce mode de consommation ultra-rapide a un effet pervers : il rend l’alimentation moins consciente. On savoure moins, on repère plus difficilement les signaux de satiété, et on risque, par automatisme, d’en faire trop — ou trop peu.

Ralentir à table : les astuces qui changent tout

La bonne nouvelle ? Il est tout à fait possible de réapprendre à manger lentement. Plusieurs experts recommandent des gestes simples pour réinstaurer une relation plus consciente à l’alimentation :

  • Éteindre les écrans pendant les repas : on mange plus vite quand on ne fait pas attention à ce qu’on consomme.
  • Utiliser sa main non dominante pour manger : cela oblige à ralentir le geste.
  • Boire une gorgée d’eau entre chaque bouchée, ou poser ses couverts régulièrement.
  • Mastiquer plus longtemps : cinq à dix fois par bouchée peut déjà faire la différence.
  • Choisir des aliments moins transformés : les textures plus denses comme les légumes crus, les protéines ou les céréales complètes nécessitent naturellement plus de mastication.

Ces astuces permettent de se reconnecter à ses sensations alimentaires et de redécouvrir le plaisir de manger… en toute conscience.

Prendre son temps, c’est aussi mieux ressentir

Les bienfaits d’un repas plus lent ne se limitent pas à la digestion. En mangeant plus doucement, on retrouve souvent le plaisir des saveurs, la texture des aliments et un sentiment de satiété plus stable dans le temps. Cela permet aussi de se sentir plus en phase avec son corps, et de mieux écouter ses besoins — sans tomber dans la restriction ni l’excès.

« Être pleinement présent pendant le repas permet non seulement de manger moins, mais aussi de profiter davantage de l’expérience », souligne Sarah Berry, scientifique en nutrition au sein de l’entreprise britannique ZOE.

Dans un monde qui valorise la productivité à tout prix, ralentir à table peut sembler anodin, voire inutile. Pourtant, cette simple habitude pourrait transformer en profondeur votre rapport à l’alimentation, votre digestion et même votre silhouette. Prendre le temps de manger, c’est aussi (re)prendre soin de soi — en douceur et sans régime.

source : https://www.ksl.com/article/51281849/do-you-eat-a-meal-in-20-minutes-or-less-it-might-be-time-to-slow-down