Pourquoi les jeunes ont les cheveux blancs de plus en plus tôt

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Hier encore, vous admiriez votre crinière brillante sous la lumière du matin. Et puis, un jour, en passant devant le miroir… surprise ! Un cheveu blanc. Puis un autre. Et encore un autre. Vous n’avez même pas atteint la trentaine que vos cheveux commencent déjà à virer au gris ? Pas de panique, vous n’êtes pas seule. De plus en plus de jeunes adultes constatent l’apparition précoce de cheveux blancs. Décryptons ensemble ce phénomène capillaire.

La mélanine, chef d’orchestre de la couleur des cheveux

Derrière chaque teinte capillaire se cache un pigment magique : la mélanine. Produite par des cellules spécialisées appelées mélanocytes, elle est responsable des nuances allant du blond platine au noir profond. Seulement voilà, ces cellules ne sont pas éternelles. Avec le temps, elles s’épuisent et cessent de produire de la mélanine, entraînant ainsi l’apparition de cheveux blancs. En temps normal, ce phénomène, appelé canitie, survient autour de 40 ou 50 ans. Parfois, il se manifeste beaucoup plus tôt, dès la vingtaine, voire même l’adolescence.

Hérédité : quand la génétique s’en mêle

Premier coupable potentiel : votre ADN. Si vos parents ou vos grands-parents ont connu une canitie précoce, il y a de fortes chances que vous suiviez le même chemin. Les gènes influencent la longévité des mélanocytes et leur capacité à produire de la mélanine. Certaines mutations génétiques peuvent même accélérer ce processus. Donc si votre père avait déjà les tempes poivre et sel à 25 ans, inutile de chercher plus loin : votre chevelure suit simplement la tradition familiale.

Le stress, un accélérateur capillaire

On sait qu’il est mauvais pour la peau, pour le sommeil, pour le moral, mais saviez-vous qu’il peut aussi jouer sur la couleur de vos cheveux ? Des études ont montré qu’un stress intense ou chronique peut détruire les cellules souches des mélanocytes, accélérant ainsi la dépigmentation des cheveux.

Le lien entre stress et cheveux blancs a longtemps été un mythe, mais des chercheurs de l’Université de Harvard ont confirmé qu’un trop-plein de cortisol (l’hormone du stress) peut littéralement épuiser les cellules pigmentaires. Voilà pourquoi certaines personnes voient apparaître des cheveux blancs après une période particulièrement éprouvante.

Un manque de nutriments essentiels

Votre alimentation a un impact direct sur votre peau, vos ongles et… vos cheveux. Une carence en vitamines et minéraux peut perturber la production de mélanine et accélérer l’apparition des cheveux blancs. Les principaux nutriments à surveiller sont :

  • La vitamine B12 : essentielle pour la production de globules rouges et la santé des cheveux. Une carence peut provoquer une dépigmentation précoce.
  • Le fer : un déficit peut entraîner une chute des cheveux et une altération de leur pigmentation.
  • Le sélénium et le zinc : des antioxydants naturels qui protègent les cellules des dommages oxydatifs.
  • La vitamine D : un élément clé pour la régénération des cellules, y compris celles qui pigmentent vos cheveux.

Donc, si votre assiette manque de légumes verts ou encore d’aliments riches en fer, il pourrait être temps de revoir votre alimentation.

Pollution, UV et autres agressions extérieures

Votre environnement joue aussi un rôle dans la santé de votre chevelure. La pollution, les rayons UV, les produits chimiques agressifs et même une eau trop calcaire peuvent abîmer les follicules pileux et accélérer l’apparition des cheveux blancs. Les radicaux libres (ces molécules instables responsables du vieillissement prématuré) attaquent les mélanocytes, réduisant leur durée de vie. Résultat : votre chevelure perd plus vite sa couleur naturelle.

Le tabac : un poison pour les cheveux

Fumer est mauvais pour la santé, ça, on le sait déjà. Saviez-vous que le tabac accélère aussi l’apparition des cheveux blancs ? Les substances toxiques contenues dans la cigarette génèrent du stress oxydatif, ce qui altère la production de mélanine et favorise la dépigmentation des cheveux. Les études montrent que les fumeurs ont 2,5 fois plus de risques d’avoir les cheveux blancs avant 30 ans par rapport aux non-fumeurs.

Les hormones en pagaille

Les hormones influencent tout, y compris la couleur de vos cheveux. Les déséquilibres hormonaux, notamment ceux liés à la thyroïde, peuvent provoquer une dépigmentation soudaine. Une hypothyroïdie, par exemple, peut perturber le cycle des cheveux et accélérer leur blanchissement. Si vous constatez une apparition rapide de cheveux blancs accompagnée d’autres symptômes (fatigue intense, prise de poids, peau sèche), consulter un médecin peut être une bonne idée.

Les cheveux blancs, c’est beau aussi !

Maintenant que vous savez pourquoi vos cheveux deviennent blancs plus tôt que prévu, voici une vérité essentielle : ce n’est pas grave du tout ! Pendant longtemps, avoir les cheveux gris ou blancs était perçu comme un signe de vieillissement. Aujourd’hui, les mentalités évoluent.

De nombreuses célébrités et créatrices de contenus affichent fièrement leurs cheveux argentés, et les teintures grises et blanches sont même devenues tendance. Alors pourquoi se cacher ou se sentir mal ? Vos cheveux blancs ne sont pas un problème à corriger, mais une expression naturelle de votre beauté. Peu importe votre âge, ils font partie de vous, et vous avez le droit de les aimer tels qu’ils sont.

Les cheveux blancs précoces peuvent être influencés par la génétique, le stress, l’alimentation, l’environnement, le tabac et les hormones. Mais au lieu de les voir comme un problème, pourquoi ne pas les considérer comme une signature unique ? Plutôt que de vous battre contre eux, vous pouvez les entretenir avec des soins adaptés et les sublimer.

La période de l’année la plus risquée pour votre couple

On pensait que l’hiver était la saison la plus redoutable pour les couples, avec son cocktail de grisaille, de fatigue et de rendez-vous familiaux potentiellement explosifs. Pourtant, chaque année, c’est à la sortie de l’hibernation que les ruptures amoureuses explosent. Le printemps, saison des amours ? Pas pour tout le monde. Selon plusieurs études et observations sociologiques, les mois de mars à mai enregistrent en effet une hausse marquée des séparations. Et si l’on pensait que l’arrivée des beaux jours ramenait légèreté et tendresse dans les couples, il semblerait qu’elle pousse aussi, chez beaucoup, à un grand ménage émotionnel…

Le printemps : saison du renouveau… et des séparations

C’est un phénomène largement observé par les psychologues et les plateformes de rencontres : le taux de ruptures augmente significativement au printemps. Les moteurs de recherche enregistrent un pic de requêtes liées aux séparations entre mars et mai. Sur les applications de dating, les inscriptions repartent à la hausse, portées par un vent de liberté printanier. Cette période marque une transition mentale : la fin de l’hiver est vécue comme une libération, une reprise d’énergie. C’est aussi une saison où les projets refleurissent, où l’on se projette à nouveau vers l’extérieur et donc vers soi.

Quand la lumière éclaire les doutes

En hiver, on se serre les coudes. Il fait froid, on sort peu, on cocooning à deux. Même si des tensions existent, elles sont souvent mises de côté, camouflées sous les couvertures épaisses. Au printemps, tout s’éveille : le corps, les envies, les frustrations aussi. Psychologiquement, cette période pousse à faire le tri : dans ses affaires… mais aussi dans ses relations. On réalise parfois que ce qui nous convenait pour « tenir l’hiver » ne nous nourrit plus pour la suite. Le syndrome du printemps, c’est ainsi cette impulsion qui pousse à rompre avec ce qui semble ne plus faire sens – y compris une relation.

Un phénomène amplifié par les cycles sociaux

D’un point de vue sociologique, la saisonnalité des ruptures n’est pas un hasard. Les changements de saison rythment aussi nos repères culturels et sociaux : rentrée scolaire, Nouvel An, vacances d’été… Autant de moments où l’on prend du recul, où l’on réévalue ses choix. Le printemps a justement une symbolique particulière : il marque la sortie de la torpeur, la réouverture au monde. On y ressent une pression (parfois inconsciente) de retrouver une forme d’authenticité ou d’alignement avec soi-même. Et dans ce contexte, certains couples n’y survivent pas. La plupart des ruptures sont moins liées à des conflits violents qu’à une prise de conscience progressive : celle que la relation ne correspond plus à nos besoins actuels.

Un besoin de renouveau plus qu’un rejet

La séparation au printemps n’est pas toujours synonyme de drame ou de rupture brutale. Elle peut être le résultat d’une évolution naturelle, d’un besoin d’espace, d’un appel au changement. Et ce n’est pas forcément une mauvaise chose. Beaucoup de couples se forment à l’automne ou en hiver – période du fameux « cuffing season« , où l’on cherche la chaleur d’un foyer. Le printemps est, à l’inverse, la saison du recentrage sur soi. On veut sortir, respirer, renaître. Ce mouvement peut révéler des déséquilibres dans la relation… ou simplement le désir de redémarrer ailleurs.

Terminons par préciser que ce n’est pas parce que le printemps est là que votre relation est condamnée. C’est peut-être simplement le bon moment pour faire un point sincère à deux, se demander ce que l’on veut vivre ensemble pour la suite, et s’écouter sans détour. Certains couples ressortent renforcés de cette phase de mise à nu. D’autres choisissent de se quitter avec respect. Dans tous les cas, mieux vaut voir cette période non comme une menace… mais comme une invitation à la clarté.

Ces pays où les toilettes sont installées dans la salle de bain

C’est un détail d’aménagement qui peut sembler anodin. Et pourtant, il suffit de voyager un peu ou d’accueillir un ami étranger chez soi pour découvrir qu’en matière de toilettes, les habitudes varient autant que les recettes de pâtes au pesto. Séparées ou réunies ? Dans la salle de bain ou dans une pièce dédiée ? Cette question du quotidien révèle, mine de rien, de vraies différences culturelles. Tour d’horizon des pays où les WC n’ont pas peur de partager l’espace avec la baignoire.

France : les irréductibles du petit coin séparé

En France, il est courant et souvent même attendu que les toilettes soient installées dans une pièce séparée. C’est ce que les Anglo-saxons appellent le « WC à la française », et cela peut surprendre les visiteurs habitués à voir les WC intégrés dans la salle de bain. Pourquoi cette séparation ? Elle vient à la fois de préoccupations hygiéniques, historiques et culturelles. Dès le XIXe siècle, les Français considèrent les toilettes comme un lieu intime, à l’écart, presque tabou. Résultat : les sanitaires isolés sont devenus la norme dans beaucoup de logements… même si les studios parisiens en ont parfois décidé autrement.

Allemagne : la salle de bain multi-tâches

Chez nos voisins allemands, c’est souvent l’inverse : les toilettes sont fréquemment intégrées à la salle de bain, dans une logique d’efficacité et de centralisation de la plomberie. Une approche que certains Français jugeront peu pratique, mais qui s’explique par un rapport plus pragmatique à l’espace. Les Allemands privilégient la fonctionnalité : une seule pièce à ventiler, à chauffer, à équiper en tuyauterie. Pas de tabou particulier autour de l’intimité sanitaire : c’est la pièce de l’hygiène, point.

États-Unis : l’empire du tout-en-un

Aux États-Unis, les toilettes dans la salle de bain sont la norme, et souvent, elles y occupent une place bien visible. Même dans les grands logements, il est rare d’avoir des WC séparés sauf peut-être dans les maisons très haut de gamme. Dans la culture américaine, l’idée d’avoir plusieurs salles de bain complètes (avec douche, toilettes, lavabo) est considérée comme un vrai confort. La salle de bain devient un espace multifonction, privé, souvent accolé à la chambre. Le concept de WC isolé ? Inconnu au bataillon ou jugé… un brin étrange.

Japon : l’art de la séparation raffinée

À l’opposé, le Japon fait figure d’exception très codifiée. Dans la plupart des foyers japonais, les toilettes sont systématiquement séparées de la salle de bain, et même parfois du lavabo. L’hygiène y est une priorité absolue, et les Japonais considèrent que les fonctions « sales » ne doivent pas cohabiter avec celles liées à la propreté du corps. Résultat : on trouve souvent 3 espaces distincts dans un même appartement :

  • Une pièce pour les WC (souvent high-tech, chauffés, avec jets et musiques relaxantes),
  • Une pièce pour se laver le visage ou se brosser les dents,
  • Et enfin, une salle de bain pour la douche ou le bain, dans un espace totalement imperméabilisé.

Pratique ? Oui. Spacieux ? Pas forcément. Culturellement logique ? Absolument.

Scandinavie : place au minimalisme fonctionnel

En Suède, en Norvège ou au Danemark, les toilettes dans la salle de bain sont très répandues. Les intérieurs nordiques misent sur la rationalité et le gain de place, en cohérence avec une philosophie minimaliste : tout ce qui concerne l’eau, ensemble. Le plus souvent, les salles de bain scandinaves sont bien conçues, bien ventilées et pensées pour être simples, propres et esthétiques. Pas de gêne particulière à y regrouper plusieurs fonctions. L’intimité se vit autrement, avec des portes qui ferment bien et une confiance collective dans l’organisation du quotidien.

Royaume-Uni : entre deux eaux

Au Royaume-Uni, la question est plus nuancée. Historiquement, les WC étaient souvent à l’extérieur des maisons (les fameux « outhouses ») – une tradition rurale qui a marqué les générations. Aujourd’hui, on trouve des WC dans la salle de bain, mais aussi parfois à part. Le mélange des deux systèmes reflète une ambivalence culturelle : volonté de modernité, mais attachement à certaines traditions. La norme varie selon les générations, les régions et les types de logements.

Et ailleurs ?

Dans les pays du Maghreb, par exemple, les toilettes sont souvent séparées, dans une logique de propreté inspirée de préceptes religieux ou culturels. Même principe dans beaucoup de pays d’Asie du Sud, où l’eau et la pureté jouent un rôle central dans l’organisation des espaces sanitaires. À l’inverse, dans de nombreuses régions d’Amérique latine, les WC dans la salle de bain sont tout à fait normaux, sans que cela ne suscite de débat particulier. Une question d’habitude, encore une fois.

Derrière cette question très concrète – toilettes dans la salle de bain ou non ? – se cache une véritable grille de lecture culturelle. Ce n’est pas seulement une affaire de plomberie ou de superficie : c’est aussi une façon de penser l’intimité, le confort, l’hygiène et même la pudeur. La prochaine fois que vous entrez dans une salle de bain à l’étranger, jetez un œil autour de vous : vous y verrez peut-être un reflet discret de la culture locale.

En maillot, cette influenceuse inspire toutes les silhouettes

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Sur Instagram, elles sont nombreuses à poser en maillot de bain, sourire radieux et corps sculpté par la lumière dorée du soleil. Rares sont celles qui, par leur simple présence, changent le regard du monde sur la beauté et la mode. Gabi Gregg, alias @gabifresh, fait partie de ces pionnières qui redéfinissent les standards et célèbrent toutes les morphologies avec assurance.

Une icône du body positive

Depuis plus d’une décennie, Gabi Gregg prouve que le style n’a pas de taille et que le bien-être en maillot appartient à tout le monde. En 2012, elle publie une série de photos d’elle en bikini sur son blog. Un geste simple en apparence, mais qui, à l’époque, tient de la révolution. À une époque où les standards de beauté dominants laissent peu de place aux corps dits « hors normes », elle s’affiche avec fierté, sans chercher à cacher ses courbes ni à s’excuser d’exister.

Mieux encore, elle transforme ce moment en un mouvement : le fatkini. Un mot qui claque comme une revendication joyeuse, un pied de nez aux diktats qui voudraient que seuls certains corps aient le droit de s’exposer sur le sable chaud.

 

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Une mode qui s’adapte aux corps, et non l’inverse

Gabi Gregg ne se contente pas de défier les stéréotypes : elle façonne une nouvelle vision de la mode. À travers ses collaborations avec des marques comme Swimsuits For All, ELOQUII et plus récemment sa propre marque Villa Fresca, elle conçoit des collections pensées pour toutes les silhouettes.

Ici, pas question de cacher ou de « mincir visuellement ». Ses maillots de bain sont taillés pour mettre en valeur les formes, du 36 au 60, avec des bonnets adaptés aux poitrines dites généreuses, des tissus confortables et des coupes à la fois flatteuses et audacieuses. Elle le dit et le répète : chaque corps mérite d’être célébré. Ses créations ne sont finalement pas de simples vêtements, ce sont des outils d’empowerment. Porter un maillot Villa Fresca by Gabi Fresh, c’est se sentir bien dans sa peau, sans chercher à correspondre à un idéal imposé.

 

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Des collections qui respirent la confiance

Inspirées des tropiques, du streetwear ou encore de l’élégance vintage, les maillots Villa Fresca by Gabi Fresh brillent par leur audace. Couleurs éclatantes, coupes modernes, détails sophistiqués : chaque pièce reflète une énergie solaire et une envie de liberté. Ces maillots embrassent toutes les identités, affirmant une mode sans restrictions, où chaque personne peut se sentir puissante dans son corps. Son but ? Que personne ne se sente exclue de la fête estivale.

 

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Une influence qui dépasse la mode

Gabi Fresh, c’est bien plus que des collections de maillots tendance. C’est une voix forte qui secoue les mentalités et offre un espace de représentation à des milliers de personnes trop longtemps invisibilisées. Sur ses réseaux, elle parle confiance en soi, acceptation, plaisir de s’habiller pour soi. Elle rappelle que le regard des autres ne devrait jamais dicter la façon dont on se perçoit. À travers chaque post, chaque collaboration, chaque défilé, elle insuffle un message simple mais essentiel : « Votre corps mérite d’être célébré, tel qu’il est, ici et maintenant ».

 

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Gabi Fresh n’inspire pas seulement les garde-robes. Elle inspire une révolution douce mais puissante, où la mode devient un espace de liberté et non de contrainte. Parce que la beauté n’est pas une question de taille !

Le « test de la cuillère », l’astuce surprenante pour mesurer votre fatigue

Vous vous sentez fatiguée, mais est-ce une simple impression ou un véritable manque de repos ? Inutile d’investir dans des gadgets high-tech, une simple cuillère en métal et un peu de calme suffisent pour obtenir une réponse. Devenu viral sur les réseaux sociaux, le « test de la cuillère » est une méthode scientifique imaginée il y a plusieurs décennies par Nathaniel Kleitman, surnommé « le père de la recherche moderne sur le sommeil ». Cet exercice simple permet d’évaluer votre niveau de fatigue de manière surprenante… et efficace.

Une méthode simple, mais révélatrice

Le principe est astucieux : il s’agit de mesurer le temps que met votre corps à sombrer dans le sommeil lorsque vous êtes placée dans des conditions favorables au repos. Plus vous vous endormez rapidement, plus votre besoin de sommeil est important.

Matériel nécessaire :

  • Une cuillère en métal
  • Une assiette ou un plateau métallique
  • Un canapé ou un lit confortable, dans une pièce calme et sombre
  • Une montre ou un chronomètre

Comment procéder ?

  1. Allongez-vous confortablement sur le lit ou le canapé.
  2. Tenez la cuillère du bout des doigts, en laissant votre main dépasser du bord du lit.
  3. Placez l’assiette au sol, juste en dessous de la cuillère.
  4. Fermez les yeux et essayez de vous détendre.
  5. À mesure que vous vous endormez, vos muscles vont se relâcher naturellement, lâchant la cuillère.
  6. La cuillère tombe sur l’assiette, produisant un bruit métallique qui vous réveille.
  7. Regardez votre montre ou votre chronomètre : combien de temps s’est-il écoulé depuis que vous avez fermé les yeux ?

Que révèlent vos résultats ?

Le temps mis à s’endormir est un indicateur de votre dette de sommeil :

  • Moins de 5 minutes : votre corps manque sérieusement de repos. Vous avez un besoin urgent de sommeil.
  • Entre 5 et 10 minutes : vous êtes légèrement fatiguée, une bonne nuit réparatrice ferait du bien.
  • Plus de 15 minutes : votre niveau de vigilance est bon, vous êtes bien reposée.

Ce test ne remplace évidemment pas un diagnostic médical, mais il est un bon indicateur de votre niveau de fatigue réel. Dans une société qui valorise la productivité et où le manque de sommeil est souvent banalisé, il est facile d’oublier que notre corps, lui, n’est pas dupe.

@levitex Sleep deprivation test with a spoon – are you sleep deprived? #sleep #sleepdeprivation #sleepdeprived ♬ original sound – Levitex

Le sommeil : une priorité, pas un luxe

Nous avons tendance à sous-estimer l’impact du sommeil sur notre bien-être. Pourtant, un manque de repos prolongé peut provoquer une baisse de concentration, une irritabilité accrue, une diminution des défenses immunitaires et même des troubles métaboliques. Si votre « test de la cuillère » indique une dette de sommeil, il est peut-être temps de réajuster vos habitudes.

Quelques gestes simples pour mieux dormir :

  • Respectez un horaire de coucher régulier, y compris le week-end.
  • Limitez l’exposition aux écrans au moins une heure avant de dormir.
  • Créez un environnement propice au repos : chambre sombre, fraîche et silencieuse.
  • Évitez les excitants (café, thé, sodas) en fin d’après-midi.
  • Pratiquez une activité physique régulière, mais pas trop tard le soir.

Dans un monde ultra-connecté, où les montres intelligentes et les applications de suivi du sommeil pullulent, il est rassurant de voir que des méthodes simples et accessibles permettent toujours d’écouter son corps. Le test de la cuillère, bien qu’imaginé il y a plusieurs décennies, reste une manière originale de prendre conscience de l’état réel de notre sommeil. Peut-être que ce soir, avant de scroller une dernière fois sur votre téléphone, vous devriez plutôt prendre une cuillère et écouter ce que votre corps a à vous dire.

Voici le classement des pains selon leurs calories

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Le pain est l’un des aliments les plus présents dans notre quotidien, que ce soit au petit déjeuner, au déjeuner ou même au dîner. Mais tous les pains ne se valent pas sur le plan calorique. Certains sont plus riches en fibres et en nutriments, d’autres contiennent davantage de sucres ou de matières grasses. Alors, quel type de pain est le plus léger ? Et lequel est à consommer avec modération si l’on surveille son apport calorique ? Voici un classement clair et sourcé pour faire les bons choix.

Les pains les moins caloriques : des alliés nutritionnels

Certains types de pain se démarquent par leur faible teneur en calories, mais aussi par leur richesse en fibres, ce qui favorise la satiété et limite les fringales. Voici les plus intéressants d’un point de vue nutritionnel.

Pain de seigle complet (210 à 230 kcal / 100 g)

Le pain de seigle complet est l’un des moins caloriques. Il contient une bonne dose de fibres et possède un index glycémique plus bas que le pain blanc, ce qui en fait un excellent choix pour les personnes cherchant à contrôler leur poids ou leur glycémie. Sa texture dense et son goût prononcé peuvent surprendre, mais il est très rassasiant.

Pain complet (220 à 240 kcal / 100 g)

Fabriqué à partir de farine intégrale, ce pain conserve les éléments nutritifs du grain : fibres, minéraux, vitamines du groupe B. Il est plus calorique que le pain blanc, mais ses apports nutritionnels le rendent beaucoup plus intéressant.

Pain au levain (230 à 250 kcal / 100 g)

Le pain au levain est fermenté naturellement, ce qui améliore sa digestibilité et diminue son index glycémique. Il est souvent fabriqué à partir de farines variées (seigle, blé, épeautre), et reste un bon compromis entre plaisir et équilibre.

Les pains les plus caloriques : à consommer avec modération

À l’autre extrémité du spectre, certains pains affichent une teneur calorique élevée, notamment en raison des matières grasses, du sucre ajouté ou d’une forte densité énergétique.

Brioche et pain de mie industriel (300 à 340 kcal / 100 g)

Ces pains, souvent moelleux et sucrés, sont riches en matières grasses (huile, beurre) et parfois en sucres ajoutés. Ils peuvent faire partie d’un petit déjeuner occasionnel, mais ils sont à éviter dans le cadre d’une alimentation équilibrée au quotidien.

Bagel (270 à 300 kcal / 100 g)

Le bagel, avec sa pâte dense et parfois enrichie, se situe dans la catégorie des pains plus caloriques. Sa charge énergétique est d’autant plus élevée lorsqu’il est garni de fromage, de charcuterie ou de condiments.

Pain aux graines et céréales (250 à 280 kcal / 100 g)

S’il est souvent perçu comme “sain”, le pain aux céréales peut être assez riche en calories. Les graines de tournesol, de lin ou de courge, bien que pleines de bons lipides, augmentent la densité énergétique. Cela reste néanmoins un pain intéressant pour sa richesse en fibres et en acides gras essentiels.

Faut-il vraiment éviter le pain ?

Non, bien au contraire. Le pain reste une excellente source de glucides complexes, surtout lorsqu’il est choisi avec soin. Il vaut mieux privilégier un pain complet ou au levain, riche en fibres et en nutriments, qu’un pain blanc très raffiné, rapidement digéré, et source de pics de glycémie. La clé réside dans la modération et le choix de la qualité.

Quelques conseils pour bien choisir son pain

  1. Regarder la composition : un bon pain ne devrait contenir que farine, eau, levain ou levure, et sel.
  2. Éviter les pains industriels : souvent plus sucrés, plus gras et avec des additifs.
  3. Privilégier l’artisanal ou le fait maison, quand c’est possible.
  4. Varier les farines : seigle, épeautre, petit épeautre, sarrasin… pour diversifier les apports.

Conclusion

Tous les pains n’ont pas le même profil calorique, mais il serait injuste de les juger uniquement sur ce critère. Le pain peut être un excellent allié dans une alimentation équilibrée, à condition de faire les bons choix. Miser sur les pains riches en fibres, peu transformés, et les consommer avec des garnitures saines (légumes, protéines maigres) permet d’en profiter sans excès ni culpabilité.

Les visages des Beatles révélés pour les biopics de Sam Mendes

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Quatre films, quatre points de vue, un seul mythe : les Beatles. Le réalisateur, scénariste et producteur de cinéma britannique Sam Mendes, oscarisé pour « American Beauty » et salué pour la fresque immersive « 1917 », voit grand pour raconter l’histoire du plus célèbre groupe de musique de tous les temps. À l’horizon 2028, il réalisera non pas un, mais quatre biopics interconnectés, chacun dédié à un membre des Fab Four. Et le casting vient tout juste d’être révélé.

Un casting générationnel pour incarner une légende

Pour donner vie à cette saga hors normes, Sam Mendes a misé sur la relève du cinéma britannique et irlandais, des visages déjà bien connus du public, mais qui s’apprêtent à entrer dans une toute nouvelle dimension.

  • Harris Dickinson sera John Lennon. Vu dans « Beach Rats » et plus récemment dans « The King’s Man : Première Mission », l’acteur londonien de 27 ans prêtera ses traits au fondateur iconoclaste, engagé et parfois tourmenté du groupe. Un rôle complexe, à la hauteur de son intensité dramatique.
  • Paul Mescal, révélé par « Normal People » et nommé aux Oscars pour « Aftersun », incarnera Paul McCartney. Charismatique, créatif, stratège… Paul Mescal aura la lourde tâche de capturer la sensibilité et la rigueur du compositeur de « Yesterday » ou « Let It Be ».
  • Barry Keoghan, l’un des comédiens les plus fascinants de sa génération (« The Banshees of Inisherin », « The Killing of a Sacred Deer », « Les Éternels »), sera Ringo Starr. Une occasion pour lui de briller dans un registre plus solaire, incarnant le batteur discret mais indispensable, connu pour son humour et sa loyauté.
  • Joseph Quinn, propulsé au rang de star après son rôle d’Eddie Munson dans « Stranger Things », prêtera ses traits à George Harrison, le « Beatle silencieux », spirituel et introspectif. Un personnage idéal pour cet acteur à la fois intense et magnétique.

Le choix de ces acteurs jeunes, mais déjà confirmés, laisse présager un mélange d’énergie brute et de profondeur émotionnelle, à l’image des Beatles eux-mêmes à leurs débuts.

 

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Une approche narrative inédite

Ce qui rend ce projet absolument unique, c’est le parti pris de raconter l’histoire des Beatles à travers quatre films distincts, chacun du point de vue d’un membre du groupe. Une manière de déconstruire le mythe collectif pour plonger dans les expériences individuelles, les tensions, les amitiés, les blessures et les triomphes vécus par chacun.

Selon le réalisateur, scénariste et producteur de cinéma britannique Sam Mendes, « cette construction permettra de montrer les mêmes événements sous différents angles, révélant les nuances et les zones d’ombre de cette épopée musicale ». Un pari audacieux, presque littéraire, qui évoque les récits croisés du « Rashomon » d’Akira Kurosawa ou les intrigues entremêlées des grandes sagas contemporaines.

Autre nouveauté : les quatre films sortiront simultanément en avril 2028. Un dispositif inédit dans l’industrie du cinéma, qui permettra aux spectateurs de choisir leur ordre de visionnage, ou de vivre une véritable immersion en marathon. Un projet à la hauteur de la démesure des Beatles, qui eux aussi, ont toujours repoussé les frontières du possible.

Le soutien des ayants droit

Autre gage de crédibilité : les héritiers des Beatles ont tous validé le projet, donnant un accès total au catalogue musical du groupe. Paul McCartney et Ringo Starr, encore en vie, auraient salué l’approche narrative et la volonté de respecter les singularités de chacun.

L’accompagnement de Sony et Apple Corps Ltd., détenteurs des droits, garantit également une fidélité historique dans la reconstitution des époques, des concerts, des looks et surtout de la musique, qui sera omniprésente.

Une attente déjà immense

L’annonce de ce projet a immédiatement enflammé les réseaux sociaux. Cinéphiles et fans de musique se réjouissent de voir une légende aussi riche traitée avec autant d’ampleur et d’originalité. Les critiques, eux, saluent la prise de risque artistique d’un Sam Mendes toujours en quête de nouvelles formes.

En misant sur une narration éclatée, des jeunes talents prometteurs et une sortie coordonnée, le réalisateur britannique fait le pari de renouveler l’art du biopic tout en rendant hommage à un groupe qui a bouleversé le monde. On a hâte de voir ça !

Réalisez le brushing de Sabrina Carpenter avec seulement 3 produits !

Sabrina Carpenter, l’auteure du tube « Espresso », a une identité vocale bien à elle mais aussi une véritable signature stylistique. Fidèle à son esthétique rétro-glam, elle apparaît sur scène coiffée d’un brushing volumineux digne des pin up d’antan. Ses cheveux d’un blond éclatant sont rebondis à la racine et bouclés sur les pointes. Le plus surprenant c’est que cette coiffure iconique reste intacte malgré des heures de show, à se déhancher et à suivre des chorégraphies millimétrées. Vous vous dites certainement que cette création capillaire nécessite de nombreuses heures de travail en backstage. Détrompez-vous ! Vous pouvez ressembler à Sabrina Carpenter en quelques minutes, avec des produits à la portée de toutes les bourses.

Un brushing signature à la portée de toutes les têtes

Sabrina Carpenter incarne l’équilibre parfait entre le glamour old school et la fraîcheur moderne. La chanteuse à succès s’affiche devant le micro avec une coiffure vintage inspirée des 60’s. Une mise en beauté qui aurait pu appartenir à Marylin Monroe ou d’autres icônes d’époque. Loin de succomber à la tendance des cheveux plaqués et de la raie parfaitement dessinée, Sabrina Carpenter ne jure que par le brushing.

Cette coupe aux racines relevées et aux boucles affûtées est désormais indissociable de l’artiste à la chevelure d’or. Le brushing est à Sabrina Carpenter ce que les lèvres vermillon sont à Taylor Swift. Grâce à une coupe bien pensée – un dégradé rond subtil qui maximise le volume sans sacrifier la densité – son brushing tient bien en place, y compris après des heures de performance vocale. Même après avoir mis la tête en bas pour s’adonner à la sulfureuse « juno position », son brushing est toujours comme neuf.

Sur TikTok, le hashtag #sabrinacarpenterhair regorge de vidéos où ses fans tentent d’imiter son style capillaire. À première vue, la coiffure sculpturale de Sabrina Carpenter a de quoi décourager. Pourtant, nul besoin d’avoir fait un CAP coiffure ou de sacrifier des heures devant le miroir pour réussir ce brushing d’anthologie.

 

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Étape 1 : préparer les cheveux avec un shampooing volumateur

Si vous regardez bien, le brushing de Sabrina Carpenter ne fait pas « superficiel ». Le risque avec cette coupe, c’est d’avoir un rendu « figé » comme les perruques ou de ressembler à un caniche. Alors, la base de ce brushing, c’est une chevelure légère et aérienne. Pour cela, commencez par un shampooing et un après-shampooing volumateur, qui apporteront du corps et de la texture sans alourdir les cheveux.

Notre recommandation : Revlon Professional Restart Volume Shampoo & Conditioner. Le duo parfait pour purifier la fibre capillaire tout en lui apportant du volume. Vos cheveux seront souples et prêts à être travaillés.

Étape 2 : appliquer une mousse texturisante pour fixer le volume

Le secret des boucles souples et bien définies de Sabrina Carpenter réside dans la préparation. Une mousse coiffante à fixation forte va structurer les cheveux et assurer un maintien longue durée. C’est grâce à cette petite potion magique que la chanteuse peut bouger à sa guise sans craindre de dénaturer ou de ruiner son brushing.

Notre recommandation : Revlon Professional Restart Volume Mousse. Elle apporte du volume dès la racine et aide à fixer les boucles sans effet cartonné. Appliquez-la sur cheveux humides avant le séchage.

Étape 3 : réaliser les boucles avec une brosse soufflante et fixer le tout

Pour obtenir ce mouvement glamour, utilisez un Dyson Airwrap, une brosse ronde chauffante ou un fer à boucler de grand diamètre. L’astuce de pro ? Enroulez chaque mèche sur elle-même et fixez-la avec une pince le temps qu’elle refroidisse. Cela permettra aux boucles de conserver leur ressort et leur joli galbe.

Une fois les boucles relâchées, brossez-les délicatement avec une brosse en poils naturels pour un rendu doux et aérien. Terminez par une brume fixatrice pour assurer une tenue impeccable tout au long de la journée.

Notre recommandation : L’Oréal Elnett Satin Fixation Forte. Un spray culte qui maintient la coiffure tout en laissant les cheveux souples et brillants.

Le secret ultime : une touche de spray brillance

Les cheveux de Sabrina ont aussi des reflets nacrés sous les projecteurs. Son blond est éclatant et tape sur la rétine. Et ce n’est pas seulement grâce à un shampooing soigneusement exécuté. Pour donner du relief à votre brushing, ajoutez un voile de spray brillance en dernière touche.

Notre recommandation : Moroccanoil Glimmer Shine Spray. Quelques pschitts suffisent pour un effet glossy irrésistible.

Avec ces trois produits essentiels et un peu d’entraînement, vous pouvez facilement obtenir la chevelure phare de Sabrina Carpenter. En soirée ou pour une grande occasion, vous allez vous attirer de nombreux compliments.

À quelle occasion porter une robe noire ? On vous dit tout

La robe noire est une pièce iconique de la garde-robe. Chic, intemporelle et facile à accessoiriser, elle s’adapte à toutes les situations. Que ce soit pour une soirée mondaine, un rendez-vous professionnel ou encore une sortie entre amies, la robe noire sait se rendre indispensable. Quelles sont les meilleures occasions pour la porter et comment la choisir selon l’événement ? On vous dit tout.

La robe noire : l’alliée de toutes les occasions

Que vous cherchiez une tenue élégante pour une cérémonie ou un look casual mais chic pour une journée de travail, la robe noire pour femme est un must-have. Elle se décline en une multitude de coupes et de styles pour s’adapter à toutes les envies et toutes les morphologies.

Une robe noire et blanche pour un look sophistiqué

Vous avez un dîner ou un cocktail important ? Osez la robe noire et blanche, une combinaison qui respire l’élégance. Le noir apporte de la profondeur tandis que le blanc crée un contraste chic et lumineux. Ajoutez une paire d’escarpins ou de babies et quelques bijoux raffinés, et vous serez prête à faire sensation !

La robe noire col blanc : un clin d’œil rétro ultra tendance

Si vous voulez plutôt une tenue à la fois originale et intemporelle, la robe noire col blanc est parfaite. Inspirée du style preppy, elle se porte aussi bien au bureau qu’en soirée. Associez-la à une paire de bottines et un trench beige pour un look irrésistiblement chic.

La robe noire hiver : votre atout style contre le froid

L’hiver n’est pas une excuse pour ranger votre petite robe noire au placard ! Optez pour une robe noire manche longue, qui allie élégance et confort. En maille, en velours ou en laine, la robe noire hiver vous permet d’affronter le froid avec style. Portée avec des collants opaques et des bottes, elle vous assure une silhouette ultra-stylée tout en vous tenant bien au chaud.

La robe noire boutonnée devant : un détail mode qui fait la différence

Pour une touche d’originalité plus marquée, misez sur une robe noire boutonnée devant. Avec ses boutons qui structurent la silhouette, elle est parfaite pour un look à la fois tendance et chic. Idéale pour un brunch entre copines par exemple ou une balade en ville, elle s’associe parfaitement à des baskets pour un effet casual chic.

La robe noire moulante : parfaite pour une soirée glamour

Qui dit soirée dit look glamour et élégant. La robe noire moulante est alors votre meilleure alliée. En mettant en valeur vos courbes avec finesse, elle vous garantit une allure irrésistible. Ajoutez des talons hauts, une pochette assortie et un rouge à lèvres flamboyant pour un effet waouh garanti.

Une robe noire d’hiver pour un mariage ou une occasion spéciale

Vous êtes invitée à un mariage en hiver et vous ne savez pas quoi porter ? La robe noire femme hiver peut tout à fait convenir à condition de bien l’accessoiriser. Optez pour un modèle élégant, ajoutez une belle veste en fausse fourrure et des bijoux scintillants, et vous serez la parfaite robe d’invitée à un mariage.

La robe noire, une alliée de tous les jours !

Qu’elle soit courte ou longue, minimaliste ou agrémentée de détails originaux, la robe noire est une pièce incontournable qui s’adapte à toutes les situations. Peu importe la saison ou l’occasion, il y a toujours une robe noire faite pour vous. Alors, prête à trouver la vôtre ?

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Ce trait physique étonnant pourrait révéler un psychopathe

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Quand on pense à la psychopathie, on imagine souvent des traits de caractère bien précis : froideur émotionnelle, manque d’empathie, impulsivité… Selon certaines recherches récentes, un indice bien plus visible – et étonnamment physique – pourrait aussi être révélateur. Il s’agirait de la longueur des doigts, un détail apparemment anodin qui, à en croire certains scientifiques, pourrait avoir un lien avec des tendances comportementales sombres.

Des traits de personnalité, mais pas seulement

Traditionnellement, les signes de la psychopathie sont surtout comportementaux. Le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM) décrit notamment « un mépris persistant pour les droits d’autrui, souvent observé dès l’adolescence ». Certaines équipes de recherche, comme celle du Dr Serge Brand, se sont demandé si des éléments corporels pouvaient aussi en dire long.

Leur travail, publié dans le Journal of Psychiatric Research, a alors analysé un panel d’individus en étudiant le rapport entre l’index (le 2e doigt) et l’annulaire (le 4e doigt), un marqueur utilisé depuis plusieurs années pour explorer des liens entre biologie prénatale et traits de personnalité.

L’annulaire plus long que l’index : un indicateur possible

Les résultats suggèrent une corrélation : chez les participants présentant des traits associés à ce qu’on appelle la Triade Sombre – narcissisme, machiavélisme, et psychopathie – on retrouvait plus fréquemment un index plus court que l’annulaire. Ce type de configuration digitale, déjà étudié dans le cadre de recherches sur l’exposition prénatale à la testostérone, pourrait refléter une prédisposition à certains comportements plus dominateurs, impulsifs ou insensibles.

Attention : ce n’est en aucun cas un diagnostic. Avoir un annulaire plus long que l’index ne signifie pas être psychopathe. Ce type de trait est d’ailleurs présent aussi chez des personnes sans aucun trouble de la personnalité.

Un sujet encore en exploration

La Triade Sombre reste un sujet complexe. Introduite en 2002 par les chercheurs Delroy L. Paulhus et Kevin Williams, cette théorie regroupe trois tendances de personnalité socialement problématiques. L’idée de leur associer des indicateurs physiques peut sembler séduisante, mais elle nécessite encore beaucoup de prudence et de recherches approfondies.

Ce que ces études révèlent surtout, c’est que la psychopathie, loin d’être un « profil type », est un trouble multifactoriel, influencé par la biologie, l’environnement, l’éducation… et peut-être aussi, dans une certaine mesure, par notre corps.

À 42 ans, cette chanteuse se dévoile sans maquillage

À 42 ans, la chanteuse Kelly Clarkson a récemment fait sensation en apparaissant sans maquillage lors du podcast « Not Gonna Lie » animé par Kylie Kelce. Vêtue d’un sweat-shirt gris et d’une casquette assortie, ses cheveux tirés en queue de cheval, l’artiste a affiché un look naturel qui a conquis ses fans.

Une authenticité saluée par les fans

Les réactions ne se sont pas fait attendre. Sur les réseaux sociaux, nombreux sont ceux qui ont exprimé leur admiration pour cette simplicité. Un internaute a par exemple commenté : « Kelly sans maquillage, c’est génial ! Merci d’être normale de tant de façons malgré ta célébrité ». Quelqu’un d’autre a ajouté : « C’est tellement réconfortant et rassurant de voir que les femmes célèbres sont comme nous ». Cette vague de soutien souligne l’importance de la représentation authentique dans l’industrie du divertissement.

@nglwithkylie @kellyclarkson is not gonna lie: schools need to stop hosting kids’ performance during the day. 🙃 Full episode drops on 3/27! #kellyclarkson ♬ original sound – Not Gonna Lie with Kylie Kelce

Une philosophie de beauté assumée

Ce n’est pas la première fois que Kelly Clarkson affiche une attitude décomplexée vis-à-vis des standards de beauté. En 2018, lors d’une interview, elle déclarait : « Mon mantra beauté, c’est ‘Je m’en fiche de l’avis des autres !' ». Elle a également partagé que, pour elle, la véritable beauté réside dans la gentillesse et la bienveillance, des valeurs inculquées par sa mère. ​

L’influence de la maternité

Mère de deux enfants, River Rose et Remington Alexander, issus de son union avec son ex-mari Brandon Blackstock, Kelly Clarkson attribue en partie son approche détendue de la beauté à ses enfants. Elle a mentionné dans un article du média People que l’innocence et la joie de vivre de ses filles lui rappellent l’importance de rester fidèle à soi-même et de ne pas se laisser submerger par les attentes sociétales. ​

Un message positif pour tout le monde

En choisissant d’apparaître sans maquillage, Kelly Clarkson envoie un message fort : il est essentiel de s’accepter telle que l’on est et de célébrer sa beauté naturelle. Cette démarche s’inscrit dans un mouvement plus large de body positivisme, encourageant chaque personne à embrasser son apparence sans artifice.​

L’authenticité de Kelly Clarkson rappelle que la véritable beauté réside dans l’acceptation de soi. Son choix d’apparaître sans maquillage inspire ses fans à embrasser leur propre naturel et à remettre en question les standards de beauté souvent irréalistes imposés par la société.

« J’ai appris qu’on peut ressentir de la joie même en souffrant » : Shakira se confie

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Trois ans après sa séparation très médiatisée avec le footballeur Gerard Piqué, Shakira continue d’avancer, entre douleurs persistantes et instants de lumière. Dans un entretien accordé à la chaîne mexicaine N+, l’artiste colombienne est revenue avec sincérité sur cette période charnière de sa vie, marquée par la peine mais aussi par des découvertes intimes profondes.

Une guérison qui prend du temps

Si leur rupture date de 2022, les cicatrices sont encore là. « Le processus de guérison prend des années », confie-t-elle simplement, consciente qu’il ne s’agit pas d’un chemin linéaire. Malgré la douleur toujours présente, Shakira partage une forme de résilience surprenante : « J’ai appris qu’on peut ressentir de la joie même en souffrant, même avec une blessure qui ne guérit pas complètement ». Une phrase forte, illustrée par une image très personnelle : « C’est comme quand on est à une fête, qu’on a mal aux pieds, mais qu’on continue à danser quand même ».

Un soutien indispensable

Au cœur de cette épreuve, la chanteuse souligne le rôle essentiel de ses proches. Sa famille, ses amis, mais aussi les personnes qui sont restées fidèles dans la tempête ont été pour elle un véritable pilier. « Dans ces moments-là, les personnes qui comptent vraiment font toute la différence », dit-elle. Leur présence lui a permis de garder confiance en elle, de se sentir capable d’aller plus loin, malgré les fragilités du moment.

 

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La musique comme exutoire

Pour Shakira, l’écriture a été une véritable échappatoire. Elle raconte avoir trouvé un soulagement profond en transformant ses émotions en chansons. « Écrire m’a libérée d’un poids énorme », confie-t-elle. Un acte thérapeutique, presque vital : « C’est un processus cathartique ». Sa musique, désormais teintée d’une intensité nouvelle, résonne auprès de toutes les personnes qui ont vécu une rupture ou une perte douloureuse.

Shakira ne prétend pas être totalement remise. Elle avance, un pas après l’autre, avec authenticité et force. Son témoignage, loin des clichés de la célébrité, parle à toutes les personnes qui, un jour, ont aimé, perdu, souffert… et continuent malgré tout à se lever, à sourire, et à danser.

À 53 ans, elle éblouit en mini-jupe !

À 53 ans, Charlotte Gainsbourg continue d’illuminer les tapis rouges avec une audace et une élégance qui lui sont propres. Récemment, lors d’une soirée en l’honneur d’Amy Sherman-Palladino à Hollywood, l’actrice et chanteuse a captivé l’assistance en arborant une mini-jupe assortie d’une longue traîne, fusionnant ainsi le chic intemporel et l’esprit rock qui la caractérisent.

Un style qui défie les conventions

Charlotte Gainsbourg n’est pas étrangère aux choix vestimentaires dits audacieux. Sa récente apparition en mini-jupe à Hollywood témoigne de sa capacité à mêler sophistication et décontraction, défiant ainsi les normes traditionnelles de la mode. Ce look, à la fois glamour et rebelle, reflète une confiance en soi et une acceptation de son corps qui inspirent de nombreuses femmes, quel que soit leur âge.​

Une carrière riche et éclectique

Fille de l’icône britannique Jane Birkin et de Serge Gainsbourg, Charlotte a su tracer sa propre voie dans les univers du cinéma et de la musique. Dès l’âge de 12 ans, elle fait ses débuts au cinéma aux côtés de Catherine Deneuve dans « Paroles et Musique » (1984). Sa performance remarquée dans « L’Effrontée » (1985) lui vaut le César du meilleur espoir féminin, confirmant ainsi son talent précoce.​

Sa filmographie éclectique inclut des collaborations avec des réalisateurs de renom tels que Lars von Trier, avec qui elle tourne « Antichrist » (2009), rôle pour lequel elle reçoit le Prix d’interprétation féminine au Festival de Cannes. Elle poursuit avec « Melancholia » (2011) et « Nymphomaniac » (2013), consolidant sa réputation d’actrice prête à explorer des rôles complexes et intenses.

Parallèlement à sa carrière cinématographique, Charlotte Gainsbourg s’impose dans le monde de la musique. Après un premier album en collaboration avec son père, elle revient sur la scène musicale avec « 5:55 » en 2006, suivi de « IRM » en 2009. Son style musical, mêlant pop alternative et influences électroniques, est salué par la critique et le public.​

Une icône de mode à la française

Au fil des années, Charlotte Gainsbourg est devenue une véritable muse pour le monde de la mode. Son allure naturelle et son penchant pour des pièces à la fois simples et audacieuses en font une figure emblématique du chic parisien. Collaborant régulièrement avec la maison Saint Laurent, elle incarne une élégance décontractée qui transcende les générations.

Charlotte Gainsbourg démontre avec brio que l’âge n’est en rien un frein à l’expression de soi et à l’audace stylistique. Son apparition récente en mini-jupe à Hollywood est une célébration de la confiance en soi et de la liberté vestimentaire, rappelant à toutes les femmes que le véritable glamour réside dans l’authenticité et l’acceptation de soi.

Vous l’ignorez, mais ces stars ont un QI plus élevé que la moyenne

Le cliché de l’artiste superficiel persiste encore dans les mentalités. Pourtant, les stars de la chanson ou du petit écran sont loin d’être pauvres en matière grise. Certaines personnalités mondialement connues ont un esprit de génie, qui rivalise avec celui des plus grands savants de tous les temps. Derrière les paillettes et l’opulence, ces célébrités renferment un QI supérieur à la moyenne et prouvent qu’elles ne se résument pas seulement à un physique. Qui a dit que les intellectuels avaient tous des cheveux en bataille et des lunettes sur le nez ?

Lady Gaga : une pop star au cerveau affûté

Ne vous laissez pas avoir par les apparences. Derrière son excentricité et son univers décalé, Lady Gaga est un véritable « cerveau ». La chanteuse de « Bad Romance » aurait un QI de 166. Un chiffre qui la place au même niveau que certains génies reconnus. En comparaison, un QI moyen se situe entre 90 et 110.

Avant d’empoigner le micro et de rythmer vos playlists, Stefani Germanotta (de son vrai nom) a fréquenté l’université de New York, dans un programme spécial dédié aux jeunes talents, la Tisch School of the Arts. Passionnée de littérature et de philosophie, elle a étudié des auteurs comme Nietzsche, Freud et Shakespeare, ce qui transparaît dans l’écriture sophistiquée de ses chansons.

Kesha : bien plus qu’une party girl

Même si Kesha s’est surtout illustrée avec ses morceaux festifs, propices au déhanché, son talent dépasse la musique. L’interprète de « Tik Tok » possède un QI de 140, un chiffre impressionnant qui la classe parmi les personnes à haut potentiel intellectuel. Issue d’une famille d’artistes, elle excellait à l’école et a obtenu un score exceptionnel au SAT, l’examen d’entrée aux universités américaines. Kesha était même pressentie pour intégrer l’université de Columbia, l’une des plus prestigieuses des États-Unis. Sa passion pour la musique l’a finalement emporté sur son parcours académique.

Shakira : une surdouée qui jongle avec les langues

À l’évocation de la chanteuse Shakira, beaucoup ne retiennent que l’image de la Latina sulfureuse et ne gardent en mémoire que des clips aguicheurs. Pourtant, l’interprète de « Waka Waka » qui fait tourner les têtes et qui s’impose comme un « idéal de beauté », est bien plus qu’un simple « physique ». Derrière son sourire éclatant et ses déhanchés légendaires, Shakira est une gardienne du savoir.

Avec un QI estimé à 140, la chanteuse colombienne ne se contente pas de composer des tubes planétaires : elle parle couramment six langues (espagnol, anglais, portugais, italien, catalan et arabe). Son intelligence se manifeste aussi dans sa capacité à gérer une carrière internationale avec une précision chirurgicale. À seulement 18 ans, elle négociait elle-même ses contrats avec les maisons de disques et supervisait son image et ses tournées.

Natalie Portman : la génie d’Harvard

Actrice oscarisée, Natalie Portman ne brille pas seulement sur les tapis rouges, mais aussi dans le monde académique. Ce n’est pas pour rien si elle a commencé sa carrière de bonne heure. Celle qui a fait ses débuts dans le film culte « Léon » est une « cérébrale ». Elle ne pense pas comme tout le monde. Dotée d’un QI de 140 et diplômée en psychologie de Harvard, elle a même publié des articles scientifiques. Polyglotte, elle maîtrise cinq langues et a étudié les neurosciences dès son adolescence. Une véritable Hermione Granger dans la vraie vie !

Madonna : sous les apparences un QI à en faire pâlir Einstein

Madonna est réputée pour son style extravagant, ses looks anticonformistes et ses tubes entêtants. Or, beaucoup sous-estiment ses capacités mentales et pensent qu’elle est « simple d’esprit ». Pourtant l’auteure de « Hung Up », qui se plaît dans la lumière, a un QI de 140. Passionnée de mathématiques et de logique, elle gère elle-même sa carrière depuis des décennies. Elle contredit brillamment ce cliché de la « blonde nunuche ».

Quentin Tarantino : le prodige du 7e art

Le génie de Quentin Tarantino saute aux yeux et se remarque dans ses œuvres cinématographiques. Nul besoin de tests pour prouver le savoir illimité du cinéaste. Le réalisateur, à l’origine des films les plus marquants du 7e art, excelle dans son art et bien au-delà. Ses productions font partie de celles qu’il faut voir au moins une fois dans sa vie pour se « faire bien voir » en société.

De « Pulp Fiction » à « Inglorious Basterds », Quentin Tarantino ne doit pas son succès au hasard. Tous ses films sont des prouesses narratives. Muni d’un QI de 160, il a commencé sa carrière en autodidacte et  n’a jamais suivi d’études supérieures. Gâté par la nature, il a une capacité d’analyse hors du commun et une manière de raconter les histoires qui lui est propre.

Rowan Atkinson, un Mr.Bean pas si naïf

C’est difficile à croire, pourtant Rowan Atkinson, qui prête ses traits à l’incorrigible Mr.Bean est un puits de science. Son QI de 178 contraste avec le personnage qu’il porte à l’écran, réputé pour ses gaffes et son côté simplet. Si à la télévision, l’acteur incarne un homme british crédule et facile à berner, dans la vraie vie, il est tout l’inverse. Il réfléchit à une vitesse folle et possède une intelligence aiguë.

Même si certaines stars se plaisent dans les artifices et le show, ça n’enlève rien à leur intelligence. Après ce bref tour d’horizon, ces célébrités au QI élevé vont forcément remonter dans votre estime.

Seuls 50 % des étudiants de Harvard trouvent la bonne réponse à cette énigme

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Cela ressemble à une devinette anodine, presque trop simple pour être prise au sérieux. Pourtant, elle a mis en difficulté des étudiants parmi les plus brillants de la planète. À Harvard, au MIT ou encore à Princeton, une question de logique, en apparence basique, ne laisse qu’un étudiant sur deux sur la bonne voie. Ce petit test, devenu célèbre dans le monde académique, révèle bien plus qu’un simple niveau en mathématiques : il met à l’épreuve notre façon de penser.

Un test de réflexion plus qu’un problème de chiffres

L’exercice en question a été imaginé par Shane Frederick, chercheur à Yale, dans le cadre de son Test de Réflexion Cognitive (Cognitive Reflection Test, ou CRT). Ce test n’est pas conçu pour mesurer votre capacité à calculer vite, mais pour observer si vous êtes capable de freiner votre première impulsion. Car la clé ici, c’est de ne pas se fier à son intuition.

Voici la fameuse question : « Une batte de baseball et une balle coûtent 1,10 $. La batte coûte 1 $ de plus que la balle. Combien coûte la balle ? ». La majorité des gens répondent spontanément : 10 centimes. C’est logique à première vue. Mais c’est aussi… faux.

Pourquoi 10 centimes n’est pas la bonne réponse

Prenons un instant pour vérifier : si la balle coûte 10 centimes, alors la batte devrait coûter 1,10 $ (car elle est censée coûter 1 $ de plus), ce qui ferait un total de 1,20 $. Or, on nous dit que le prix total est 1,10 $. Il y a donc une erreur quelque part.

La bonne réponse, c’est 5 centimes. Car si la balle coûte 0,05 $, alors la batte, qui est 1 $ plus chère, coûte 1,05 $. Ensemble, cela fait bien 1,10 $.

Une question simple qui révèle beaucoup

Ce test ne cherche pas à vous piéger, mais à observer un mécanisme mental : celui qui vous pousse à accepter une réponse trop rapide, sans l’examiner. Daniel Kahneman, psychologue et prix Nobel d’économie, en parle dans son livre « Système 1 / Système 2 : Les deux vitesses de la pensée ». Selon lui, ce genre d’énigme active d’abord notre « système 1 », rapide et intuitif, alors qu’il faudrait prendre le temps d’activer le « système 2 », plus lent, mais plus rigoureux.

Ce n’est pas parce que vous répondez mal que vous êtes « moins bon ». Même dans les universités les plus réputées, les étudiants se laissent prendre. En dehors de Harvard, d’autres établissements ont testé leurs élèves avec ce type d’énigmes : dans des universités moins élitistes, le taux de réussite tombe parfois en dessous de 20 %. Ce test montre surtout une chose : réfléchir avant de répondre, ça change tout.

La robe fendue de Brigitte Macron fait sensation

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À l’occasion d’un dîner d’État à l’Élysée en l’honneur du roi Frederik X et de la reine Mary de Danemark, le 31 mars 2025, Brigitte Macron a une nouvelle fois attiré tous les regards. Connue pour son élégance et son goût affirmé en matière de mode, la Première dame a brillé dans une tenue sophistiquée, mêlant sobriété et glamour avec subtilité.

Une robe scintillante

Pour cette soirée protocolaire, Brigitte Macron a opté pour une robe longue bleu nuit, signée Louis Vuitton, maison dont elle est une fidèle ambassadrice depuis plusieurs années. Ce modèle fluide mettait en valeur sa silhouette élancée tout en jouant sur les contrastes de matières et de textures. Des sequins argentés ornaient le buste de la robe, évoquant une voûte céleste étincelante, tandis que les manches transparentes apportaient une touche de délicatesse.

Le bas de la robe, agrémentée de motifs argentés et d’un ourlet coordonné, comportait une légère fente à l’arrière. Ce détail discret mais sophistiqué permettait d’apercevoir ses escarpins métallisés, soulignant l’élégance de l’ensemble.

 

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Une mise en beauté maîtrisée

Côté coiffure, Brigitte Macron a choisi de relever ses cheveux en un chignon haut au style bohème, dégageant son visage et mettant en lumière une paire de boucles d’oreilles argentées serties de cristaux bleu nuit. Ce choix d’accessoires venait parfaitement compléter les tonalités de sa tenue. Fidèle à son maquillage signature, elle arborait un regard légèrement charbonneux, rehaussant l’intensité de ses yeux.

Une figure politique à l’élégance remarquée

Depuis son arrivée sur la scène publique, Brigitte Macron est régulièrement saluée pour son sens du style. À 71 ans, elle incarne une élégance moderne qui séduit autant le grand public que les observateurs du monde de la mode.

Chacune de ses apparitions est soigneusement étudiée, et ses choix vestimentaires sont fréquemment cités comme sources d’inspiration. Cette robe scintillante portée lors du dîner d’État n’a pas fait exception : elle illustre une nouvelle fois sa capacité à conjuguer protocole et sophistication avec justesse.

Une journée sous le signe du style

Un peu plus tôt dans la journée, Brigitte Macron avait déjà marqué les esprits en accueillant le couple royal danois dans un tailleur mocha, lui aussi signé Louis Vuitton. Orné de larges boutons dorés et accompagné d’une jupe mettant en valeur ses jambes, cet ensemble témoigne de son aisance à adapter son style aux différentes étapes d’un événement diplomatique.

 

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Que ce soit en robe de soirée ou en tailleur chic, la Première dame confirme son statut d’icône mode de la scène politique française.

Ces petits gestes qui renforcent les liens familiaux

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Dans un quotidien souvent rythmé par des horaires chargés, des responsabilités incessantes et une omniprésence des écrans, il est facile de se laisser happer par la routine. Pourtant, au cœur de chaque foyer, ce sont souvent les gestes les plus simples qui entretiennent et renforcent les liens familiaux. Inutile d’attendre les grandes vacances ou les fêtes pour nourrir les relations : ce sont les petites attentions du quotidien qui tissent les liens les plus durables. Des gestes sincères, réguliers, parfois discrets, mais toujours porteurs de sens. Voici quelques gestes simples, mais puissants, pour renforcer les liens familiaux.

Dire « je t’aime », sans raison particulière

Exprimer son affection au quotidien, sans attendre un événement particulier, est un puissant vecteur de connexion émotionnelle. Un « je t’aime » au détour d’un couloir, un câlin avant de partir, un mot tendre sur un post-it : ces gestes rappellent à chacun sa valeur et sa place dans la famille. Rien n’est plus précieux qu’un « je t’aime » dit spontanément, sans obligation, mais avec tout le cœur.

Ces mots apportent une sensation de sécurité affective, de réconfort, et créent un climat de confiance. Quand on se sent aimé de manière inconditionnelle, on est plus fort face aux défis extérieurs. Le simple fait de dire « je t’aime » sans attendre de circonstance particulière est ainsi un geste profond qui nourrit l’âme.

Cuisiner ou manger ensemble, un moment de partage

La cuisine est un lieu de transmission, mais aussi de partage. Préparer un repas ensemble, même s’il est simple, permet de se retrouver autour d’un objectif commun. C’est un moment où la convivialité et la complicité se mêlent naturellement. Un peu de farine, des légumes coupés, des rires partagés en attendant que le dîner soit prêt : c’est un moyen de renforcer les liens, d’échanger sur sa journée, de rire ensemble.

Le repas en lui-même, pris sans écrans et dans une ambiance calme, devient aussi un moment privilégié pour échanger sur la journée, les projets, les émotions. Que ce soit le petit-déjeuner, un déjeuner improvisé ou un dîner en famille, cuisiner et manger ensemble sont des moments parfaits pour se reconnecter et renforcer les liens familiaux.

Se poser des questions qui comptent

Dans le tourbillon du quotidien, il est facile de se laisser emporter sans vraiment savoir ce que traverse l’autre. Pourtant, prendre le temps de poser des questions sincères sur la journée de chaque personne, ce qui l’a fait sourire, ce qui l’a contrarié, ou encore ce qu’il a ressenti, est un geste fondamental. Ces petites questions montrent une écoute active et bienveillante, un véritable intérêt pour l’autre.

Ce genre de conversations, qu’elles se déroulent à table, au coucher ou même en voiture, crée des moments d’intimité qui permettent de déceler des signaux faibles, des émotions non dites. Ces échanges réguliers renforcent la complicité et la confiance, et permettent à chaque membre de se sentir écouté et compris.

Offrir son attention pleine et entière

L’un des cadeaux les plus précieux qu’on puisse offrir à ses proches, c’est une attention totale. Éteindre son téléphone, poser son ordinateur, et regarder son interlocuteur dans les yeux pendant qu’il parle : un geste simple mais puissant. Cela signifie : « Je suis là pour toi, maintenant ». Cet acte de présence crée une connexion véritable.

Parfois, quelques minutes d’écoute de qualité suffisent d’ailleurs pour réparer une journée difficile ou pour renforcer une complicité fragile. Quand un membre de la famille sait qu’il peut compter sur une écoute attentive, il se sent valorisé et respecté.

Créer des rituels familiaux

Les rituels familiaux sont des repères affectifs qui structurent le lien familial. Ils apportent une forme de stabilité et d’attachement. Que ce soit un film du dimanche soir, une balade hebdomadaire ou un jeu de société du vendredi soir, ces habitudes renforcent les liens. Ces moments partagés, même très simples, offrent à chaque membre de la famille un sentiment d’appartenance et de sécurité.

Les rituels ont en effet cette capacité de tisser une toile d’habitudes rassurantes, où l’on sait à quoi s’attendre et où l’on se sent aimé et important. De plus, ils permettent de créer des souvenirs communs qui nourrissent la mémoire collective de la famille.

Dire « merci », même pour les choses ordinaires

Exprimer sa reconnaissance, même pour les tâches les plus quotidiennes, est un geste qui renforce l’estime et le respect mutuel. Dire « merci pour le dîner », « merci de m’avoir attendu », ou encore « merci pour ton aide » donne de la valeur aux efforts de chaque personne et établit un climat de gratitude. Cela montre à quel point chaque action, même la plus banale, est appréciée. Cette reconnaissance quotidienne contribue à la création d’une dynamique positive et à un climat familial où chacun se sent respecté et apprécié.

Respecter les moments d’intimité

Prendre soin de la relation, c’est aussi respecter les besoins de solitude ou de calme de chaque membre de la famille. Tout le monde n’a pas besoin des mêmes interactions en même temps, et parfois, le plus grand geste d’amour est de donner à l’autre l’espace qu’il souhaite. Offrir un moment de calme, sans intrusion, montre un respect profond pour l’individualité de l’autre. Cela permet à chaque personne de se ressourcer avant de revenir dans la sphère familiale, prêt à partager de nouveau.

Surprendre avec des petites attentions

Les petites attentions inattendues sont généralement les bienvenues dans une famille. Un message glissé dans un cartable, un chocolat posé sur un oreiller, une petite note dans le sac du déjeuner : ces surprises suscitent la joie et l’émotion, même si elles ne prennent que quelques secondes. Elles montrent un amour actif et créatif, qui se renouvelle dans les gestes du quotidien. Ces attentions, souvent simples, témoignent d’un amour profond et sont un moyen de rappeler à l’autre qu’il est spécial.

Se demander pardon, quand c’est nécessaire

Reconnaître ses torts et s’excuser sincèrement est un geste réparateur essentiel dans toute relation familiale. Dire « je suis désolé », même en tant qu’adulte ou parent, est une preuve d’humilité et de respect. Cela permet de réparer les petites blessures et de renforcer la confiance. Les excuses sincères montrent l’exemple aux enfants et solidifient les bases d’une relation saine et équilibrée.

Renforcer les liens familiaux ne nécessite pas de grands moyens ni d’occasions exceptionnelles. Ce sont souvent les gestes simples, sincères et réguliers qui nourrissent le lien d’amour, de respect et de confiance entre les membres d’une famille. Dans un monde où tout va vite, prendre le temps d’un mot, d’un regard ou d’une attention devient un acte fort. Ces petits gestes, répétés jour après jour, façonnent une relation solide, tendre et durable.

Piercing d’oreille : quelles combinaisons sont les plus stylées ?

Le piercing d’oreille est aujourd’hui devenu un véritable accessoire de mode, un moyen d’affirmer sa personnalité et de sublimer son visage. Si vous avez décidé de sauter le pas et d’ajouter quelques piercings à vos oreilles, la question de la combinaison des bijoux se pose rapidement. Comment choisir les bonnes pièces pour créer un look à la fois harmonieux et tendance ? Voici quelques conseils pour vous aider à trouver la combinaison qui vous ressemble le plus.

Comment bien choisir ses combinaisons de piercings ?

Choisir la bonne combinaison de piercings pour vos oreilles peut sembler une tâche intimidante, mais c’est avant tout une question d’équilibre et d’harmonie. Voici quelques éléments clés à considérer avant de vous lancer dans l’aventure du piercing.

L’importance de la morphologie de l’oreille

Avant de se lancer dans l’accumulation de piercings aux oreilles, il est essentiel de prendre en compte la forme de vos oreilles. Chaque oreille est unique et la manière dont vous allez disposer vos bijoux dépendra largement de ses spécificités. Par exemple, si vous avez une oreille plutôt petite, il est préférable d’opter pour des piercings fins, plutôt que pour des pièces imposantes qui risquent de surcharger la zone. À l’inverse, pour une oreille plus large ou allongée, n’ayez pas peur d’oser des bijoux un peu plus volumineux qui viendront équilibrer les proportions.

Il est également important de réfléchir à l’emplacement des piercings : l’hélix (haut de l’oreille), le tragus (zone devant l’oreille), ou encore le lobes sont des zones différentes qui permettent des jeux de contrastes. L’harmonisation des différents piercings, tout en respectant la morphologie naturelle de l’oreille, garantit un rendu visuel équilibré.

Trouver le bon équilibre

Le principal défi pour une combinaison de piercings réussie est de trouver le juste milieu entre « discrétion et originalité ». Si vous aimez les accessoires qui se remarquent, vous pouvez bien entendu opter pour des piercings plus visibles et plus grands.

Si vous êtes plutôt du genre à privilégier un look subtil, il existe des combinaisons qui permettent de jouer avec la simplicité tout en ajoutant une touche d’originalité. Par exemple, un petit piercing à l’hélix associé à un anneau délicat sur le lobe peut créer une belle harmonie tout en restant discret. Le secret réside dans l’équilibre : un petit piercing discret associé à une pièce un peu plus grande ou originale peut suffire à donner du caractère à votre look sans tomber dans l’excès.

Associer les matériaux et couleurs pour un rendu harmonieux

Le choix des matériaux et des couleurs de vos piercings est tout aussi crucial pour obtenir une combinaison réussie. Vous pouvez opter pour des métaux classiques comme l’or ou l’argent, les bijoux en acier chirurgical offrent également un éventail de possibilités. Pensez à jouer avec les couleurs pour créer des contrastes intéressants.

Si vous optez pour des pièces en or, n’hésitez pas à ajouter une touche de couleur avec des pierres précieuses ou semi-précieuses. Des pierres bleues, rouges ou vertes, par exemple, peuvent apporter une certaine fraîcheur et un joli jeu de lumière à vos piercings. Pour un look chic et élégant, un piercing en or blanc ou en argent associé à des pierres dans des tons neutres, comme le cristal ou le diamant, peut parfaitement convenir. Le but est d’obtenir un ensemble cohérent et esthétique qui reflète votre style personnel.

Kimia Zarifi/Unsplash

Les tendances actuelles en matière de combinaisons de piercings

Si vous êtes à la recherche des dernières tendances en matière de piercings d’oreilles, vous serez ravie de savoir que les combinaisons audacieuses sont à l’honneur cette année 2025. Et il y en a pour tous les goûts. Voici quelques tendances incontournables à suivre.

Le look minimaliste : finesse et élégance

Le minimalisme n’a jamais été aussi tendance. De plus en plus de personnes choisissent d’opter pour des piercings fins et discrets. Ce look se compose généralement d’anneaux délicats, parfois associés à un petit piercing à l’hélix pour un effet encore plus subtil.

Le principal avantage de cette tendance réside dans son côté intemporel et élégant. En optant pour des bijoux fins, vous pouvez facilement jouer avec différentes combinaisons tout en conservant une certaine sobriété. Un petit piercing au lobe associé à un petit anneau à l’hélix peut créer un contraste subtil, mais raffiné.

L’accumulation audacieuse : mix de tailles et de styles

À l’opposé du minimalisme, l’accumulation audacieuse est la tendance idéale pour les personnes qui aiment les bijoux imposants et les styles variés. Il s’agit de cumuler plusieurs piercings de différentes tailles, formes et matériaux, en les disposant de manière équilibrée sur l’oreille. L’accumulation audacieuse permet de personnaliser son look en fonction de ses envies et de son style. Un bon mix de tailles et de styles créera une oreille unique et pleine de caractère.

L’oreille constellation : un effet chic et bohème

L’oreille constellation est une tendance qui consiste à disposer plusieurs petits piercings tout autour de l’oreille, créant ainsi un effet étoilé ou constellation. Cette combinaison chic et bohème est parfaite pour les personnes qui aiment les bijoux délicats et aériens. L’idée est de varier les tailles et les types de piercings. Ce look crée un effet visuel très doux et harmonieux, tout en apportant une touche de fun à votre oreille.

Que vous optiez pour un look minimaliste ou audacieux, le piercing d’oreille est un excellent moyen de personnaliser votre style. Le secret réside dans le choix des bonnes combinaisons de piercings, en tenant compte de votre morphologie et de vos préférences personnelles. Laissez libre cours à votre créativité !

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Ces compliments qui font plus de mal que de bien

Qui n’aime pas recevoir un compliment ? Un petit mot gentil, une reconnaissance de nos efforts, une phrase qui nous met en valeur… c’est toujours agréable. Ou du moins, ça devrait l’être. Parce qu’en réalité, certains compliments, bien que donnés avec les meilleures intentions du monde, peuvent faire plus de mal que de bien. Oui, même ces éloges qui semblent inoffensifs peuvent, à long terme, saper la confiance en soi, créer de la pression ou véhiculer des idées limitantes. C’est parti pour un petit décryptage.

« Tu es tellement intelligente ! »

Sur le papier, ça semble être le compliment ultime. Qui ne voudrait pas être perçue comme intelligente ? Le problème avec ce type d’éloge, c’est qu’il met l’accent sur une qualité perçue comme innée, plutôt que sur les efforts et l’apprentissage. Les recherches en psychologie montrent que lorsque les enfants sont félicités pour leur intelligence plutôt que pour leur travail, ils deviennent moins enclins à relever des défis. Pourquoi ? Parce qu’ils ont peur d’échouer et de ne plus mériter ce compliment.

Alternative : « J’admire vraiment ta persévérance sur ce projet, tu as fait un travail impressionnant ! ». Ce type de compliment valorise les efforts et renforce la motivation intrinsèque.

« Tu as perdu du poids, ça te va super bien ! »

On pourrait croire qu’il n’y a rien de mal à féliciter quelqu’un pour un changement physique, mais ce genre de phrase véhicule un message sous-jacent : l’idée que la minceur est synonyme de beauté et de valeur. En complimentant une perte de poids, on sous-entend que l’apparence précédente était moins désirable, ce qui peut être blessant ou anxiogène. De plus, on ignore complètement les raisons derrière ce changement. Une perte de poids peut être due à une maladie, à du stress ou à des troubles alimentaires.

Alternative : « Tu rayonnes en ce moment, tu as l’air épanouie ! ». Ce compliment met en avant l’énergie et le bien-être général sans se focaliser sur le corps.

« Tu es trop belle au naturel ! »

Cela semble être un joli compliment, mais il peut contenir un sous-entendu maladroit. Il peut laisser entendre que la personne ne devrait pas porter de maquillage, ou qu’elle est moins belle lorsqu’elle en met. Ce genre de remarque peut involontairement invalider les choix esthétiques de la personne.

Alternative : « J’adore ton énergie et ton style, tu es toujours rayonnante ! ». On met ici l’accent sur quelque chose de plus global et qui ne crée pas d’injonction.

« Tu fais tellement jeune pour ton âge ! »

Ce compliment est très courant, mais il repose sur l’idée que paraître jeune est forcément mieux. Il entretient une pression sociale sur le vieillissement et peut donner l’impression qu’il faut absolument lutter contre les signes de l’âge.

Alternative : « Tu es éclatante, j’adore ton charisme ! ». Plutôt que de ramener la valeur d’une personne à son âge, on met en avant son énergie et son aura.

« Tu es bien plus compétente que tes collègues ! »

Les compliments comparatifs peuvent être piégeux. Ils semblent valorisants, mais en réalité, ils encouragent une mentalité compétitive malsaine. En valorisant quelqu’un au détriment des autres, on crée de la pression et une crainte de « tomber du piédestal ».

Alternative : « J’admire vraiment ta créativité et ton approche du travail ! ». Un compliment efficace doit valoriser la personne pour ce qu’elle est, et non en comparaison avec les autres.

« Tu as tellement de chance d’avoir ce talent ! »

Ce genre de phrase peut sembler flatteur, mais il minimise totalement le travail fourni par la personne. Elle donne l’impression que le succès est uniquement dû à un don inné, et non à des efforts, de la discipline et de la persévérance.

Alternative : « On voit que tu as investi du temps et de l’énergie pour en arriver là, c’est inspirant ! ». Mettre en avant l’effort et l’engagement plutôt que la « chance » est bien plus valorisant.

« Tu es une vraie perfectionniste, c’est génial ! »

Le perfectionnisme est souvent perçu comme une qualité, mais il peut aussi être un fardeau. Ce type de compliment peut inciter une personne à maintenir des standards irréalistes et à s’épuiser pour répondre aux attentes des autres.

Alternative : « J’admire ton souci du détail et ton implication, ça se voit que tu fais les choses avec passion ! ». Cette version encourage la personne tout en évitant de glorifier l’excès de perfectionnisme.

Comment faire de vrais compliments qui font du bien ?

Voici quelques règles d’or pour s’assurer que vos éloges soient réellement bienveillants et valorisants :

  • Soyez sincère : un compliment forcé ou exagéré sonne souvent faux. Allez droit au but et exprimez ce que vous ressentez vraiment.
  • Mettez l’accent sur les efforts et non sur les qualités innées : encourager le travail et l’engagement renforce la confiance et la motivation.
  • Privilégiez des compliments qui n’imposent pas de pression : valoriser une personne sans créer d’attentes irréalistes permet de lui donner un vrai boost sans stress.
  • Évitez les comparaisons : un bon compliment doit être centré sur la personne elle-même, et non sur une opposition avec les autres.
  • Célébrez la personne dans son ensemble : plutôt que de se focaliser sur des aspects physiques ou des performances ponctuelles, valorisez l’énergie, la gentillesse, la résilience, la créativité…

En modifiant légèrement notre manière de faire des compliments, on peut transformer un simple mot gentil en un véritable carburant pour l’estime de soi. Car après tout, un compliment réussi, c’est celui qui fait grandir sans mettre de pression, qui célèbre sans comparer, et qui illumine la journée de celui ou celle qui le reçoit.

Ces infusions Palais des Thés sont aussi gourmandes qu’un dessert !

À l’évocation d’infusions, vous imaginez certainement un breuvage détox à base de plantes vertueuses floqué « digestion facile » ou « jambes légères ». Pourtant cette boisson chaude qui profite à vos papilles autant qu’à votre organisme peut aussi combler vos envies de gourmandises. La nouvelle gamme signée Palais des Thés en témoigne. La marque française, qui compose avec soin ses recettes parfumées, a encore innové pour enchanter vos palais. Elle convie les céréales dans les mugs et prouve que les infusions peuvent grandement rivaliser avec le chocolat chaud. Tremper ses lèvres dans ces infusions régressives est aussi plaisant que de manger une bonne pâtisserie. On vous présente votre nouveau péché mignon.

Des céréales à infuser, nouveau coup de génie de Palais des Thés

Les céréales ont surtout leur place dans le bol de lait du matin ou dans le menu du midi. Pourtant, les céréales peuvent aussi se savourer sous une autre forme, un peu plus inattendue, et s’inviter à l’heure de la pause. La maison Palais des Thés, riche de son savoir-faire et de ses 39 ans d’expérience au service du goût, a sorti une nouvelle collection d’infusions qui retranscrit toute la générosité des céréales dans les tasses. La marque, qui incarne l’excellence et qui redouble de créativité, transforme le rituel du thé en véritable moment de gourmandise et de réconfort.

Avec cette collection de Céréales à Infuser, Palais des Thés révèle le potentiel illimité de cette boisson réconfortante. En résumé, elles s’apparentent à des desserts liquides. Des notes torréfiées et caramélisées, des sous-tons grillés, du cacao, des fruits secs ou encore des fruits rouges. Rien qu’à l’odeur, ces infusions vous font saliver. Elles sentent la gourmandise à plein nez ! Madeleine de Proust à siroter, ces infusions signées Palais des Thés ne ressemblent à aucune autre.

Au petit-déjeuner, au goûter ou le soir devant la télé, ces infusions qui apprivoisent les céréales autrement vont rapidement s’enraciner dans vos mains. Savourées dans les règles de l’art avec de l’eau bouillante ou intégrées à vos préparations de latte, ou même à froid, ces infusions savent comment se rendre indispensables. Avec ces créations qui relèvent du « jamais bu », Palais des Thés étoffe sa vitrine, qui compte plus de 200 thés et infusions, et confirme son talent.

Des saveurs originales qui vont faire chavirer vos papilles

Considérées comme des remèdes naturels plus que des boissons appétissantes, les infusions sont surtout plébiscitées pour leur côté « vitalité ». Ce n’est pas forcément à elles que vous pensez quand vous voulez vous en mettre plein les papilles. Pourtant, les céréales à infuser de Palais des Thés, ont tous les arguments pour détrôner cappuccino, chocolat chaud et autres « potions doudou ».

Cette collection va charmer les papilles curieuses et gâter les épicuriens assumés. Chaque création est une prouesse gustative et un régal pour les sens. Il y a l’infusion des Champs, qui conjugue le coté acidulé des fruits rouges avec les notes torréfiées de l’avoine et du sarrasin. Il y a aussi Récolte Dorée, qui retranscrit dans la tasse toute la douceur du muesli avec l’exotisme de la noix de coco en plus. L’infusion Brin de douceur, elle, convoque de nombreux souvenirs d’enfance, le cacao, le riz soufflé et rappelle les gâteaux généreux de mamie.

Les puristes ne sont pas en reste. Si vous préférez les formules avec un seul ingrédient à l’affiche, il y a également deux céréales brutes à infuser inspirées des traditions japonaises : le mugicha (orge torréfié) et le sobacha (sarrasin torréfié). Elles ont une grande richesse aromatique et restent gravées en bouche longtemps après avoir bu la dernière goutte. Elles font le bonheur des fins connaisseurs d’infusion, en quête d’authenticité et de saveur brute. Autant vous prévenir : ces Céréales à Infuser se suffisent à elles seules pour faire passer les fringales.

 

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Une gamme bio, sans théine ni sucre ajouté

Fidèles aux valeurs de la marque, ces infusions sont dignes de vos papilles. Bio, sans théine ni sucre ajouté, elles vous initient à un plaisir décomplexé et conscient. Vous savez ce que vous buvez. En choisissant Palais des thés, vous honorez un savoir faire et vous profitez de matière première triée sur le volet. Ces infusions portent avec elles la signature durable de Palais des Thés, qui œuvre pour un tea time raisonné.

Et puisque ces infusions risquent de disparaître aussitôt débarquées dans votre cuisine, Palais des Thés vous propose de refaire le plein de douceur en privilégiant le vrac. Vous pouvez venir vous réapprovisionner, avec votre propre contenant ou en acquérant la boîte de conservation aux couleurs de la collection proposée par la marque. Comme ça, vous ne serez jamais à court de stock et vous pourrez vous en délecter du lever au coucher !

Ces Céréales à infuser, sans sucre ajouté ni théine, font autant de bien qu’une pâtisserie ou un biscuit sorti du four. Avec Palais des Thés, véritable orfèvre dans son domaine, l’infusion n’a jamais été aussi alléchante.

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Lâcher prise total : les bienfaits insoupçonnés de se dévêtir

Se dévêtir, dans son sens le plus littéral comme symbolique, est un geste qui évoque bien plus qu’une simple absence de vêtements. Il incarne un véritable lâcher-prise, une reconnexion avec soi-même et une libération des contraintes, qu’elles soient physiques, psychologiques ou sociales. Derrière cette idée, loin des clichés, se cachent des bienfaits insoupçonnés qui méritent qu’on leur accorde un peu d’attention.

Un retour à la nature et à soi-même

Dès lors que l’on se débarrasse des couches de tissu qui nous habillent quotidiennement, on expérimente une sensation de liberté souvent oubliée. Nos vêtements, aussi pratiques soient-ils, sont aussi des barrières qui nous séparent de notre environnement naturel et, parfois, de notre propre corps.

La pratique du naturisme, par exemple, repose sur cette philosophie : en étant nu, on se reconnecte à la nature, on retrouve un rapport plus sincère avec soi-même et les autres. Des études ont montré que les personnes qui passent du temps nues – que ce soit dans un cadre privé ou collectif – développent une meilleure acceptation de leur corps. Plutôt que de focaliser sur des idéaux inatteignables imposés par les médias, elles apprennent à voir leur corps tel qu’il est, avec bienveillance et sans jugement.

Et pas besoin d’être adepte du naturisme pour ressentir ces bienfaits. Simplement se promener nu chez soi, dormir sans vêtements ou même passer quelques minutes à savourer la sensation de l’air sur sa peau peuvent suffire à réveiller ce sentiment de connexion avec soi-même.

Se libérer du stress et des tensions

Se déshabiller, c’est aussi un moyen efficace de se débarrasser du stress accumulé au fil de la journée. En quittant ses vêtements, on envoie un signal clair à son cerveau : il est temps de relâcher la pression.

Des études en psychologie ont démontré que la nudité peut avoir un effet apaisant, réduisant l’anxiété et favorisant la relaxation. La raison est simple : être nu, c’est adopter une posture plus vulnérable, ce qui pousse le cerveau à se mettre dans un état de relâchement et de confiance.

Et puis, soyons honnêtes, y a-t-il plus agréable que de se débarrasser d’un jean trop serré ou d’un soutien-gorge inconfortable en rentrant chez soi ? Ce simple geste procure un soulagement immédiat qui, répété quotidiennement, peut contribuer à une meilleure gestion du stress.

Un booster pour l’image corporelle

On l’oublie trop souvent, mais notre rapport aux vêtements est intimement lié à notre image de nous-mêmes. On choisit des habits pour camoufler, mettre en valeur, masquer ce qu’on considère comme des défauts. Or, en se libérant de ces artifices, on se confronte à son reflet sans filtres ni corrections.

Cela peut sembler intimidant au début, mais avec le temps, cette exposition à soi-même devient un puissant outil d’acceptation. Plusieurs recherches ont d’ailleurs prouvé que les personnes qui passent plus de temps nues développent une meilleure estime de soi. Elles prennent conscience que la diversité des corps est naturelle et qu’aucun n’est « parfait » selon les standards imposés.

Apprécier son corps sans vêtements, c’est apprendre à l’aimer tel qu’il est, avec ses formes, ses courbes, ses petites particularités qui font son unicité. Une démarche profondément body positive, qui prône l’acceptation plutôt que la transformation forcée.

Se dévêtir, un acte d’authenticité

Au-delà de l’aspect physique, retirer ses vêtements est aussi une manière de se libérer de certaines injonctions sociales. Porter des habits, c’est souvent adopter un rôle, une image que l’on veut renvoyer aux autres. En se débarrassant de ces couches symboliques, on revient à quelque chose de plus brut, de plus authentique.

Cela peut d’ailleurs s’appliquer à bien d’autres aspects de la vie. Se dévêtir, c’est aussi lâcher prise mentalement : cesser de vouloir être parfait, accepter d’être soi sans artifices. C’est une posture qui peut s’appliquer aux relations humaines, à la manière dont on se perçoit et dont on interagit avec le monde.

Quand on y pense, il n’est pas étonnant que tant de moments liés à la détente et au bien-être soient associés à la nudité : un bain chaud après une longue journée, une nuit paisible sous des draps doux, un massage relaxant… Toutes ces expériences nous rappellent à quel point notre corps mérite d’être vécu pleinement, sans entraves ni jugements.

Une démarche simple pour un grand changement

Se dévêtir plus souvent ne signifie pas forcément adopter un mode de vie radicalement différent. Il ne s’agit pas de bannir les vêtements de son quotidien, mais plutôt d’explorer ces moments de lâcher-prise total, de renouer avec son corps et d’apprendre à l’aimer.

Quelques idées simples pour profiter de ces bienfaits :

  • Dormir nu pour améliorer son confort et favoriser un sommeil de meilleure qualité.
  • Prendre le temps de savourer une douche ou un bain en pleine conscience, en appréciant la sensation de l’eau sur la peau.
  • Passer du temps chez soi sans vêtements, ne serait-ce que quelques minutes par jour, pour se sentir plus libre et détendu.
  • Pratiquer une activité comme le yoga ou la méditation dans le plus simple appareil, pour renforcer le lien entre corps et esprit.

Se dévêtir, c’est bien plus qu’un simple acte physique. C’est une invitation à relâcher les tensions, à s’affranchir des normes, à se reconnecter à soi-même. Que ce soit pour apaiser son esprit, renforcer son estime de soi ou simplement savourer un moment de liberté, le lâcher-prise total commence souvent par ce geste simple : enlever ses vêtements et se redécouvrir, tel que l’on est, sans artifices. Et si le véritable bien-être résidait dans cette simplicité retrouvée ?

Les femmes célibataires seraient-elles plus heureuses que les hommes célibataires ?

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Le célibat, ce statut tantôt envié, tantôt redouté, ne semble pas être vécu de la même manière par tout le monde. Une récente étude publiée dans la revue Social Psychological and Personality Science et menée par l’Université de Toronto s’est penchée sur cette question et a révélé une tendance intrigante : les femmes célibataires se déclarent globalement plus heureuses que les hommes célibataires. Comment expliquer cette différence ? Pourquoi les femmes semblent-elles mieux s’épanouir en solo que leurs homologues masculins ? Et surtout, que nous apprend cette étude sur nos attentes, notre bien-être et notre rapport à l’indépendance ?

Les femmes célibataires et la liberté choisie

Contrairement à une idée encore répandue selon laquelle une femme seule serait forcément en attente d’amour et de romance, l’étude met en avant que les femmes célibataires ne subissent pas forcément leur célibat, mais le choisissent et l’apprécient. Elles ont tendance à voir cette période de leur vie comme une occasion précieuse d’explorer leurs passions, de se consacrer à leurs ambitions professionnelles et de renforcer leurs liens sociaux.

Elles ne considèrent pas la vie de couple comme une nécessité absolue pour être épanouies. Ce constat est notamment lié à une évolution des attentes sociétales. Autrefois perçu comme un passage obligé, le mariage n’est plus une finalité incontournable. Aujourd’hui, être célibataire peut être un choix assumé, synonyme de liberté et d’indépendance.

Une vie sociale plus riche

L’une des raisons principales expliquant ce bien-être réside dans la qualité des relations sociales. L’étude révèle que les femmes célibataires entretiennent en moyenne des amitiés plus solides et plus profondes que les hommes célibataires. Elles prennent davantage le temps d’échanger, de se soutenir mutuellement et de cultiver des relations basées sur l’écoute et le partage.

Les hommes, en revanche, ont tendance à s’appuyer majoritairement sur leur partenaire de couple pour leur soutien émotionnel. Lorsqu’ils se retrouvent célibataires, ils peuvent alors ressentir un plus grand vide affectif et avoir plus de difficultés à reconstruire un cercle de soutien solide.

L’impact du célibat sur la santé mentale

Un autre point clé de l’étude concerne la santé mentale. Les résultats montrent que les femmes célibataires déclarent moins de symptômes d’anxiété et de dépression que les hommes célibataires. Pourquoi cette différence ?

  • Une meilleure gestion des émotions : les femmes sont en général plus enclines à exprimer leurs émotions et à chercher du soutien auprès de leurs proches. Elles ont moins tendance à garder pour elles leurs angoisses, ce qui contribue à une meilleure régulation émotionnelle.
  • Un investissement personnel plus fort : les femmes célibataires consacrent plus de temps aux loisirs, aux activités artistiques, au sport ou au développement personnel, ce qui joue un rôle positif dans leur bien-être.
  • Moins de pression sociale : bien que certaines injonctions persistent, les femmes ressentent de moins en moins la nécessité de se conformer à l’image traditionnelle du couple et du mariage, alors que les hommes sont parfois encore sous l’influence de ces attentes.

Les hommes, en revanche, peuvent souffrir davantage de l’isolement lorsqu’ils sont célibataires. Moins enclins à partager leurs états d’âme, ils sont aussi plus susceptibles d’éprouver un sentiment de solitude, ce qui peut peser sur leur moral.

Des différences ancrées dans les normes sociales

Si cette étude révèle une différence entre hommes et femmes célibataires, elle met surtout en lumière l’influence des normes sociales et culturelles sur notre bien-être amoureux.

Historiquement, les femmes ont longtemps été encouragées à voir le mariage comme une obligation. Avec l’émancipation féminine, le célibat devient progressivement un symbole de liberté et non plus d’échec. L’indépendance financière et la valorisation des carrières professionnelles jouent aussi un rôle clé dans cette perception plus positive du célibat.

Chez les hommes, les choses évoluent également, mais à un rythme plus lent. La société associe encore souvent la réussite masculine à la vie de couple et à la paternité. Il existe toujours cette idée selon laquelle un homme accompli est un homme en couple, ce qui peut expliquer pourquoi certains vivent plus difficilement le célibat.

Vers une nouvelle définition du bonheur ?

Faut-il en conclure que le bonheur se joue uniquement sur le statut amoureux ? Non. Ce que cette étude met en avant, c’est que l’épanouissement personnel ne dépend pas forcément d’une relation de couple, mais plutôt de la manière dont chacun construit sa vie en fonction de ses aspirations. Les femmes célibataires semblent avoir su tirer parti de cette indépendance pour cultiver une vie riche et équilibrée. Pour les hommes, cette étude offre une belle opportunité de redéfinir les codes de l’amitié, du soutien émotionnel et de l’épanouissement personnel en dehors du couple.

Le célibat peut être une période de bonheur et de croissance, à condition de savoir le vivre pleinement. Alors, que l’on soit un homme ou une femme (ou autres genres), le vrai secret du bien-être réside peut-être tout simplement dans la capacité à se suffire à soi-même, tout en restant bien entouré.

Ce prénom arabe lumineux séduit toujours plus de parents

Il est doux, élégant. Il évoque la lumière, la clarté et une certaine force tranquille. En 2023, plus de 900 petites filles ont reçu ce joli prénom, au charme discret et intemporel. Ce prénom ? Albane. Et il séduit chaque année un peu plus de jeunes parents en quête de sens et de beauté.

Un prénom aux origines riches

Albane est un prénom aux racines multiples. Côté latin, il dérive de « Albanus », qui signifie « blanc », « pur » ou encore « lumineux » – une référence à la clarté et à la noblesse d’âme. Dans cette tradition, on le retrouve lié à saint Alban, premier martyr britannique, symbole de courage et de lumière.

Albane possède également une origine arabe, où il est parfois interprété comme porteur de lumière et de clarté dans un sens spirituel. Cette double origine, à la fois latine et arabe, confère à ce prénom une richesse symbolique et culturelle rare, qui résonne avec l’identité plurielle de nombreuses familles en France.

Un succès discret mais croissant

En 2023, 912 petites filles ont été prénommées Albane, un chiffre en hausse, révélateur de l’intérêt grandissant pour ce prénom à la fois rare, intemporel et plein de sens. Ce qui plaît ? Son équilibre parfait entre tradition et modernité, sa douceur et sa lumière. Albane s’inscrit dans la tendance actuelle des prénoms courts, élégants et symboliquement positifs.

Élégant et accessible

Albane a cet avantage rare : il est peu commun sans être inconnu. Il se prononce facilement, traverse les cultures et s’accorde avec de nombreux noms de famille. Il offre une alternative chic aux prénoms plus répandus comme Emma ou Louise, tout en conservant une sonorité fluide et moderne. On retrouve ce prénom dans les sphères artistiques, littéraires, mais aussi dans des familles en quête d’originalité douce – un prénom à la fois singulier et universel, qui ne cherche pas à briller, mais qui éclaire.

Un reflet des choix parentaux d’aujourd’hui

Le succès d’Albane s’inscrit dans une tendance plus large : celle des prénoms qui portent du sens. Les jeunes parents se tournent de plus en plus vers des prénoms évoquant la lumière, la paix, la nature ou la spiritualité, qu’ils soient d’origine arabe, latine, hébraïque ou ailleurs. En ce sens, Albane est un pont entre les cultures, une réponse aux envies de douceur, de beauté et d’identité affirmée. C’est un prénom qui dit quelque chose.

Choisir Albane, c’est peut-être faire le pari d’un prénom qui traverse le temps avec grâce. Une touche de lumière dans le quotidien, une promesse de sérénité et d’élégance, une identité à la fois forte et douce. Et si plus de 900 familles l’ont choisi en 2023, c’est sans doute parce que ce prénom continue de toucher les cœurs avec subtilité – un prénom lumineux, à tous les sens du terme.

L’ube, l’ingrédient star qui va remplacer le matcha ?

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Il est violet, doux, légèrement sucré et fait des ravages sur Instagram. Depuis quelques mois, l’ube – cette variété de patate douce originaire des Philippines – attire tous les regards dans les cafés branchés et les assiettes des foodies les plus aguerris. Après le règne incontesté du matcha et de son vert profond, l’ube semble bien décidé à lui voler la vedette. Cette racine violette a-t-elle vraiment les atouts pour détrôner le thé japonais dans nos cœurs (et nos mugs) ?

Un ingrédient aux racines profondes

Contrairement à ce que sa récente explosion de popularité pourrait laisser croire, l’ube (prononcé « ou-bé ») ne date pas d’hier. Très présent dans la cuisine philippine, il est souvent utilisé dans des desserts traditionnels comme le halo-halo, un mélange glacé ultra coloré, ou dans le ube halaya, une confiture épaisse à base de cette fameuse patate douce violette. Au-delà de sa couleur intense et de sa texture fondante, l’ube séduit par sa saveur douce, légèrement vanillée et naturellement sucrée. Un profil gustatif qui le rend facilement adaptable, aussi bien dans des préparations sucrées que salées.

Pourquoi l’ube fait tant parler de lui ?

C’est d’abord grâce à son esthétique ultra photogénique. Son violet vibrant cartonne sur les réseaux sociaux, transformant donuts, lattes, mochi, glaces et cookies en objets de fascination. Sa popularité ne tient toutefois pas qu’à son look. C’est aussi un ingrédient végétal, sans gluten, sans colorants et naturellement sucré, qui répond aux nouvelles attentes alimentaires : authenticité, exotisme et conscience nutritionnelle. Il est riche en antioxydants, notamment en anthocyanines (les mêmes que dans les myrtilles), connues pour leurs effets bénéfiques sur le vieillissement cellulaire.

Ube latte vs matcha latte : le duel

L’ube latte s’impose peu à peu comme l’alternative violette au matcha latte. Plus doux en bouche, il peut être bu chaud ou froid, souvent à base de lait végétal. Contrairement au matcha, qui peut être amer et nécessite un certain apprentissage gustatif, l’ube est beaucoup plus accessible au palais occidental.

Aussi, à la différence du matcha, l’ube ne contient ni caféine ni propriétés énergisantes. C’est un plaisir gourmand, pas un stimulant. Les deux boissons ne répondent donc pas tout à fait au même moment de consommation : là où le matcha remplace le café, l’ube se rapproche d’un dessert à boire.

 

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Une tendance soutenue par la diaspora asiatique

La montée en puissance de l’ube s’explique aussi par la visibilité croissante de la culture culinaire philippine, longtemps restée dans l’ombre des gastronomies japonaises, coréennes ou chinoises. On le retrouve aujourd’hui dans les cartes de coffee shops de Paris à New York, et dans des enseignes influentes de la food, qui commercialisent des produits à base d’ube en édition limitée – preuve de son potentiel marketing.

 

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Alors, fin de règne pour le matcha ?

Pas si vite. Le matcha, en plus de ses propriétés antioxydantes, reste ancré dans un rituel de consommation plus zen et codifié, qui continue de séduire un large public. Il bénéficie d’un statut de « superfood » bien établi et d’un ancrage culturel profond. L’ube, de son côté, joue plutôt la carte de la gourmandise et de l’exotisme. Il ne remplace pas forcément le matcha, mais s’installe en complément, comme une alternative fun, sucrée et résolument Instagrammable.

L’ube n’est pas une mode éphémère. Derriere son esthétisme pop se cache une tradition culinaire riche, une douceur naturelle et un potentiel immense pour renouveler nos habitudes. Si le matcha continue de régner sur les fans de latte verts, l’ube s’impose peu à peu comme le chouchou des becs sucrés curieux, avides de nouveauté et de sens. Violet is the new green ?

Le henné contre les violences conjugales : la campagne choc

C’est une campagne aussi savante que percutante. En un seul coup d’œil, elle interpelle et dresse les poils. Portée par UN Women et l’agence IMPACT BBDO, elle dénonce les violences conjugales à travers l’art du henné. Ces dessins de peau ordinairement voués à habiller le corps des femmes pour le mariage prennent la forme de blessures et de coups. Ils miment les traces des hématomes laissés par ces bourreaux déguisés en « maris modèles ». Une campagne intitulée InkVisible à destination du Pakistan, pays où les violences domestiques font des millions de victimes.

Un art ancien pour alerter sur un fléau actuel

Dans de nombreuses cultures, le henné est bien plus qu’une simple décoration esthétique. Il symbolise la fécondité, la joie et l’engagement. Il couvre les pieds et les mains des futures mariées lors du grand jour. Dans la campagne InkVisible, ces tatouages éphémères à connotation festive prennent un caractère plus sombre. Ils se déportent au coin de l’œil, sous la lèvre et dans le cou pour imiter les marques corporelles de la violence conjugale.

Le henné calque les ecchymoses, les contusions et les traces de strangulation sur le visage de femmes en sari. Les motifs résille et les gouttes courbées se muent alors en balafres pour interpeller le public et dépeindre une réalité de l’ombre. Cette campagne réalisée à l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes vise à dénoncer une statistique glaçante. Selon l’ONU, une femme mariée sur trois subit des violences physiques ou psychologiques au Pakistan.

À travers cette campagne, UN Women et l’agence IMPACT BBDO ont troqué le fard violet traditionnellement utilisé pour reproduire les bleus contre le henné, un colorant beaucoup plus symbolique pour le peuple pakistanais. Au lieu de servir d’armure protectrice comme c’est souvent le cas, le henné devient un dessin d’alerte, une preuve visible de violence.

 

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Un message fort gravé dans la peau et les esprits

Déployée dans les grandes villes et relayée sur les réseaux sociaux, cette campagne domine des endroits stratégiques du Pakistan, des lieux où les femmes sont susceptibles de la voir. Accolé à ces visages tuméfiés au henné trône le numéro national d’urgence pour que les victimes qui se reconnaissent sur les affiches ne se contentent pas de regarder, mais aussi d’agir.

La campagne InkVisible dépasse les panneaux publicitaires pour se concrétiser sur le terrain. Les organisateurs ont formé des artistes du henné pour faire de la sensibilisation pendant les mariages, moments clés où les femmes sont souvent entourées de proches. Mieux encore, des cônes de henné imprimés avec des messages d’aide ont été distribués dans les zones rurales où les femmes n’ont pas d’échappatoire. Le henné, objet du quotidien, se convertit alors en véritable instrument de prévention.

Une campagne qui est remontée jusqu’au sommet de l’État

Les campagnes de prévention contre les violences conjugales atteignent rarement les oreilles des hauts dirigeants. Pourtant, avec sa créativité évidente et son message palpable, la campagne InkVisible s’est frayée un chemin jusqu’au gouvernement pakistanais. En plus d’une hausse significative des appels à la ligne d’urgence, des figures publiques ont pris position.

Des parlementaires pakistanaises ont, à leur tour, imprimé ces motifs percutants sur leur corps à l’issue de sessions officielles. Elles ont pris exemple sur cette campagne dans l’espoir de faire bouger les lignes et de faire la lumière sur un fléau tristement banalisé. Selon un récent rapport d’une ONG locale, le taux national de condamnation pour viols et crimes d’honneur n’est que de 0,5 %, preuve que l’État traite le problème à la légère.

Dans ce pays où il est presque normal de lever la main sur une femme qui crame le repas ou qui tient tête à son mari, la campagne InkVisible est d’autant plus vitale. Et si le chemin reste long, une chose est certaine : grâce à InkVisible, ce qui était de l’ordre de l’invisible saute désormais aux yeux.

Cette astuce beauté tout droit venue du Moyen Âge refait surface

Alors que l’on pensait certaines pratiques oubliées, voilà qu’elles refont surface sur les réseaux sociaux avec un succès fulgurant. Après le retour des coiffures victoriennes et des élixirs botaniques inspirés d’anciennes recettes, une astuce beauté tout droit sortie du Moyen Âge fait une percée inattendue : le rinçage capillaire à base d’herbes et de vinaigre. Les hommes et les femmes du Moyen Âge utilisaient en effet des préparations naturelles pour laver et entretenir leur chevelure. Et aujourd’hui, cette méthode ancestrale revient sur le devant de la scène, portée par un engouement pour les soins plus doux, plus naturels et inspirés de la slow beauty.

Un rituel capillaire qui traverse les siècles

À une époque où les shampoings n’existaient pas encore sous leur forme actuelle, les soins capillaires étaient principalement composés d’ingrédients simples. Les herbes comme la camomille, le romarin ou encore la sauge étaient infusées dans de l’eau chaude, puis utilisées en rinçage pour fortifier et parfumer les cheveux. Le vinaigre de cidre, quant à lui, était un incontournable pour éliminer les impuretés et apporter de la brillance.

Cette routine capillaire, vieille de plusieurs siècles, fait aujourd’hui un retour remarqué sur TikTok et Instagram. Sous les hashtags #MedievalHair ou #HerbalRinse, on trouve des vidéos de passionnés testant ces anciens rituels, avec des résultats bluffants : des cheveux brillants et visiblement en meilleure santé.

@detailedmel braided crown tutorial 💗 #foryou #fy #got #gameofthrones #houseofthedragon #fantasy #medieval #hairtok #hairstyle #braidedhair ♬ The Power of Prophecy – Ramin Djawadi

Pourquoi ce retour en force ?

Le succès de cette tendance n’est pas anodin. Ces dernières années, de plus en plus de personnes cherchent à s’éloigner des produits capillaires contenant des sulfates, des silicones ou d’autres agents agressifs. L’idée de revenir à des soins plus doux, basés sur des plantes et des ingrédients naturels, séduit un public soucieux de l’impact des cosmétiques sur la santé et l’environnement. Il faut dire que les bienfaits de ces rituels médiévaux ne sont plus à prouver :

  • Brillance naturelle : le vinaigre de cidre referme les écailles des cheveux, ce qui les rend plus lisses et brillants.
  • Cuir chevelu apaisé : les plantes comme la lavande ou la sauge ont des propriétés antibactériennes et calmantes qui aident à réguler l’excès de sébum et à apaiser les démangeaisons.
  • Moins de résidus chimiques : contrairement aux après-shampoings conventionnels, les rinçages à base de plantes et de vinaigre n’alourdissent pas la fibre capillaire.

Bref, c’est un retour aux sources qui fait du bien… et qui fonctionne.

Comment adopter cette astuce médiévale aujourd’hui ?

Si vous voulez tester ce rituel capillaire ancestral, rien de plus simple. Voici une recette inspirée des pratiques du Moyen Âge, mais adaptée aux besoins actuels :

Rinçage capillaire aux herbes et au vinaigre de cidre

Ingrédients :

  • 500 ml d’eau
  • 2 cuillères à soupe de vinaigre de cidre bio
  • 1 cuillère à soupe de romarin séché (fortifie et stimule la pousse)
  • 1 cuillère à soupe de camomille séchée (éclaircit et adoucit)
  • 1 cuillère à soupe de lavande séchée (apaise et parfume)

Préparation :

  1. Faites chauffer l’eau jusqu’à frémissement.
  2. Ajoutez les herbes et laissez infuser 15 à 20 minutes.
  3. Filtrez l’infusion et laissez-la tiédir.
  4. Ajoutez le vinaigre de cidre et mélangez bien.
  5. Après votre shampoing, versez cette préparation sur vos cheveux en dernier rinçage. Laissez poser quelques minutes avant de rincer légèrement à l’eau froide si nécessaire.

Résultat ? Des cheveux plus brillants, légers et en pleine santé, sans utiliser de produits chimiques agressifs.

Quand l’histoire inspire la beauté moderne

Ce regain d’intérêt pour les soins médiévaux s’inscrit dans une tendance plus large : celle du retour aux rituels de beauté ancestraux. En quête d’authenticité, de minimalisme et de respect du corps, de nombreuses personnes revisitent les secrets de beauté d’antan pour les adapter à nos modes de vie actuels.

Ce n’est pas la première fois qu’une pratique ancienne refait surface. On a déjà vu le retour des bains d’avoine, des huiles végétales pour le soin de la peau ou encore des techniques de massage facial issues de civilisations anciennes. Ce qui fait le charme de ces astuces venues du passé, c’est qu’elles s’appuient sur des ingrédients simples, accessibles et souvent bien plus doux que certaines formulations modernes.

Alors, faut-il délaisser nos shampoings et soins capillaires modernes pour adopter entièrement cette méthode médiévale ? Pas nécessairement. Intégrer cette astuce de rinçage aux herbes dans sa routine capillaire peut être une excellente alternative pour apporter plus de douceur et de naturel à ses cheveux. Ce qui est sûr, c’est que l’histoire nous rappelle que nos ancêtres avaient déjà tout compris en matière de beauté.

Et si marcher pieds nus pouvait vraiment changer votre humeur ?

Et si enlever vos chaussures était le premier pas vers plus de sérénité ? Marcher pieds nus pourrait transformer votre humeur… et votre bien-être mental.

De plus en plus de personnes redécouvrent les bienfaits d’un geste aussi basique que naturel : marcher pieds nus. Derrière cette habitude simple se cacheraient de réels effets sur le moral, l’énergie et même la santé mentale. Et la science commence à le confirmer.

Se reconnecter à la terre pour mieux se sentir

Marcher pieds nus dans l’herbe, sur le sable ou sur du bois naturel active nos sens, détend notre système nerveux et nous aide à ralentir. Cette pratique, connue sous le nom de grounding ou earthing, consiste à se connecter directement au sol pour retrouver un équilibre physique et émotionnel.

Certaines études suggèrent que ce contact direct avec la Terre permettrait de capter des électrons libres, capables de réduire l’inflammation et le stress oxydatif dans notre corps.

Moins de stress, plus de sérénité

Selon une étude publiée dans le Journal of Environmental and Public Health, les personnes pratiquant régulièrement le grounding observent une baisse du taux de cortisol (l’hormone du stress) et une amélioration notable de leur qualité de sommeil.

Une autre recherche menée par l’université de Salford au Royaume-Uni montre qu’une simple marche pieds nus de dix minutes sur l’herbe peut suffire à améliorer l’humeur et diminuer l’anxiété.

Des effets immédiats et accessibles

Pas besoin de matériel, de budget ni de longues séances. Marcher pieds nus quelques minutes par jour, chez soi ou en extérieur, peut suffire à en ressentir les effets. Ce geste stimule des milliers de terminaisons nerveuses dans les pieds, active la circulation, et procure une sensation immédiate d’apaisement.

« Marcher pieds nus dans un environnement naturel est une forme de pleine conscience qui permet de revenir dans le moment présent ».

Une tendance en plein essor

Sur les réseaux sociaux, le hashtag #Grounding ne cesse de prendre de l’ampleur. Influenceurs bien-être, créateurs de contenu minimalistes et amateurs de slow life partagent leurs routines « pieds nus » comme un rituel anti-stress : « se recentrer, respirer, et retrouver une forme d’équilibre intérieur ».

Comment commencer simplement

Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise façon de marcher pieds nus. Voici quelques conseils pour débuter en douceur :

  • Choisissez un endroit sûr : pelouse, plage, sol naturel ou en bois.
  • Commencez par 5 à 10 minutes par jour.
  • Avancez lentement, en vous concentrant sur les sensations.
  • Évitez les zones urbaines sales ou à risques (verre, pollution…).
  • Même si vous vivez en ville, vous pouvez poser les pieds sur un sol naturel dans un parc, ou utiliser des tapis de grounding conçus pour l’intérieur.

Conclusion : un petit geste, de grands effets

Dans un monde où tout va vite, enlever ses chaussures peut sembler anodin. Pourtant, marcher pieds nus nous reconnecte à l’essentiel : notre corps, notre environnement, nos sensations. C’est une invitation à ralentir, à respirer, à se retrouver.

Alors pourquoi ne pas essayer dès aujourd’hui ? Vos pieds — et votre esprit — pourraient vous remercier.

Cette activité souvent négligée pourrait bien transformer vos nuits et votre sérénité

En fin de journée, on cherche souvent désespérément à déconnecter. On éteint l’ordinateur, on fait défiler les vidéos sur les réseaux sociaux, on répond aux derniers messages… et on espère que le sommeil viendra. Sauf que souvent, il tarde. Parce que notre esprit, lui, continue à courir, emporté par le flot du quotidien. Et si la solution ne se trouvait pas dans une application ou une tisane miracle, mais dans une activité oubliée, douce, silencieuse, et pourtant puissante ? Une activité simple, sans pression de performance, ni écran à la clé : la lecture.

Lire pour mieux dormir (et mieux vivre)

C’est confirmé par la science et par l’expérience de milliers de lecteurs : lire, ne serait-ce que quelques minutes par jour, réduit significativement le stress et améliore la qualité du sommeil. Pourquoi ? Parce que lire mobilise notre attention d’une manière bien particulière.

En nous plongeant dans une histoire, un univers, ou même un simple texte inspirant, la lecture agit comme une porte de sortie pour le cerveau agité. Le cœur ralentit, la respiration se régule, l’esprit quitte les préoccupations de la journée pour se concentrer sur autre chose. Et c’est précisément cet état de calme qui prépare le corps au sommeil.

Moins de tensions, plus de concentration douce

Contrairement aux écrans, qui stimulent nos nerfs et envoient à notre cerveau des signaux contradictoires (lumière bleue et notifications incluses), la lecture nous reconnecte à un rythme naturel et apaisant. C’est une forme de méditation sans en avoir l’air : l’attention est dirigée, mais souple ; l’imaginaire est sollicité, mais sans agitation.

Lire permet aussi de ralentir. Et ce ralentissement est précieux dans une société où tout nous pousse à aller plus vite. En ouvrant un livre, on s’autorise à se poser, à prendre du temps, à respirer mentalement. Et ce simple geste a des effets réels sur notre bien-être.

Comment faire de la lecture un rituel apaisant

Pas besoin de lire un roman en entier chaque soir. L’idée n’est pas de cocher une case ou de suivre une performance littéraire, mais plutôt d’intégrer la lecture dans une routine du soir réconfortante. Voici quelques pistes toutes simples :

  • Choisissez un livre qui vous fait plaisir, peu importe le genre : l’essentiel est de lire quelque chose qui vous détend.
  • Installez-vous confortablement, dans votre lit ou sur un fauteuil, avec une lumière douce.
  • Lisez pendant 10 à 20 minutes, sans objectif autre que celui de vous évader.
  • Coupez les écrans juste avant, pour éviter de « polluer » l’effet apaisant de la lecture.
  • Répétez tous les soirs, même quelques minutes. C’est la régularité qui crée l’effet.

Avec le temps, ce rituel deviendra un signal naturel pour votre cerveau : « il est temps de se détendre ». Et c’est souvent tout ce dont on a besoin pour mieux dormir.

Pourquoi la lecture est un super-pouvoir sous-estimé

La lecture n’est pas seulement un plaisir ou un loisir culturel. C’est aussi un outil puissant de régulation émotionnelle et de repos mental. Elle n’a rien de spectaculaire, ne se mesure pas en calories brûlées, mais elle transforme profondément notre rapport au temps, à soi, et à la nuit.

Les bienfaits vont bien au-delà du sommeil :

  • Lire stimule l’empathie et renforce la capacité à comprendre les autres.
  • Elle enrichit notre vocabulaire et améliore notre capacité à nous exprimer.
  • Lire des romans ou des histoires inspirantes peut aider à prendre du recul sur nos propres problèmes.
  • Elle réduit le stress de manière aussi efficace que certaines techniques de relaxation.

Et surtout, la lecture nous fait du bien sans jamais nous juger. Pas besoin d’être une experte en littérature, pas besoin de viser un objectif précis : il suffit de se laisser porter.

Si vous cherchez une solution douce pour retrouver la sérénité, améliorer votre sommeil ou simplement ralentir un peu : ouvrez donc un livre. Laissez-vous emporter quelques pages… et savourez le calme retrouvé. Dans un monde qui va toujours plus vite, la lecture est une invitation à prendre son temps, à s’immerger dans un univers qui n’a pas besoin de wifi ni de notifications. Alors ce soir, au lieu de faire défiler un énième fil d’actualités, attrapez un livre.

Les cerisiers sont en fleurs autour du monde et c’est magnifique (photos)

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Chaque année, à l’arrivée du printemps, un joli phénomène vient colorer les rues, les parcs et les paysages du monde entier : la floraison des cerisiers. De Tokyo à Washington, de Paris à Séoul, ces arbres en robe rose ou blanche offrent un spectacle éphémère, délicat, presque magique. Au-delà de leur beauté, que sait-on vraiment de ces fleurs qui attirent des millions de visiteurs chaque année ?

Une histoire ancienne, une symbolique forte

Le cerisier en fleurs, ou sakura en japonais, est bien plus qu’un simple arbre ornemental. Il est porteur d’une symbolique puissante dans plusieurs cultures, notamment au Japon où il incarne la beauté fragile de la vie, la nature éphémère du temps qui passe et le renouveau.

Cette tradition japonaise remonte à plus d’un millénaire. Dès l’époque Heian (794-1185), l’aristocratie se réunissait sous les cerisiers pour pratiquer le hanami, l’art de contempler les fleurs. Aujourd’hui encore, cette coutume perdure dans les familles, les entreprises et même les écoles. En Corée du Sud ou en Chine, les fleurs de cerisier sont également associées à la féminité, à la pureté et à la renaissance.

Japon : l’origine de la fascination mondiale

Incontournable. Au Japon, les cerisiers sont une véritable institution. De Kyoto à Hokkaido, les parcs se remplissent de pique-niques, de rires, d’appareils photo et de kimonos colorés à l’approche d’avril. Si Tokyo regorge de spots célèbres comme le parc Ueno ou la rivière Meguro, c’est Yoshino, dans la région du Kansai, qui détient l’un des plus vastes regroupements de cerisiers au monde avec environ 30 000 cerisiers. Le Japon compte plus de 600 variétés, dont la plus populaire, le Somei Yoshino, se distingue par ses pétales blanc rosé.

 

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Corée du Sud : entre tradition et modernité

En Corée du Sud, la floraison commence souvent fin mars, et la ville de Jinhae, au sud du pays, devient alors le cœur battant de la saison. Son festival des cerisiers en fleurs, le plus grand du pays, attire près de deux millions de visiteurs. Introduits au début du XXe siècle pendant la colonisation japonaise, les cerisiers sont aujourd’hui pleinement intégrés au patrimoine paysager coréen. On les retrouve aussi dans les rues de Séoul, notamment au parc Yeouido, où l’élégance des fleurs contraste avec l’architecture contemporaine.

 

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Chine : une floraison royale

La Chine, bien qu’elle soit historiquement plus attachée à la fleur de prunier, a vu l’engouement pour les cerisiers croître ces dernières décennies. Le parc Yuyuantan à Pékin ou le mont Longwang à Wuhan offrent des paysages impressionnants au printemps. L’origine des cerisiers en Chine n’est toutefois pas très claire. Certains disent qu’ils sont présents sur le territoire bien avant leur apparition au Japon, tandis que d’autres affirment que c’est au Japon que ces arbres prennent racine. Aujourd’hui, ils symbolisent le printemps et sont souvent associés à la beauté féminine dans la culture chinoise.

 

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États-Unis : un cadeau diplomatique devenu emblème

C’est à Washington D.C. que les cerisiers en fleurs ont trouvé leur terre d’adoption américaine. En 1912, le Japon a offert 3 000 cerisiers en signe d’amitié. Depuis, le National Cherry Blossom Festival attire chaque année près de 1,5 million de visiteurs. Le Tidal Basin, avec ses allées bordées d’arbres en fleurs et sa vue sur le Jefferson Memorial, offre un tableau à couper le souffle. À travers ce geste diplomatique, les cerisiers sont devenus le symbole du lien entre les deux pays. Les cerisiers sont aujourd’hui aussi présents dans d’autres villes américaines telles que New York, Seattle ou encore Philadelphie.

France : le charme discret du printemps

En France aussi, les cerisiers font le bonheur des promeneurs. À Paris, le parc du Trocadéro, mais surtout le parc de Sceaux, est l’un des lieux les plus photogéniques à cette saison. Des allées de Prunus serrulata japonais y forment une canopée rose sous laquelle on pique-nique volontiers.

Ces arbres ont été plantés dans les années 1918, après que le maire de Tokyo a offert des cerisiers à la France pour symboliser leur amitié, mais aussi commémorer la fin de la Première Guerre mondiale. Aujourd’hui, ils attirent photographes et flâneurs, curieux de vivre leur propre hanami à la française.

Allemagne : un héritage fleuri inattendu

À Berlin, proche de la station Warschauer Straße, l’allée de cerisiers offre une marche d’un peu plus d’un kilomètre, le long de l’ancienne frontière érigée en 1961. Les cerisiers y ont été plantés après avoir été offerts à l’Allemagne par le Japon, suite à la réunification allemande en 1989. Depuis, la rue attire des visiteurs du monde entier. L’ambiance y est paisible, romantique et très photogénique. Les cerisiers fleurissent et donnent un nouveau décor aux fresques de street art qui recouvrent le lieu de mémoire.

Où que l’on soit sur la planète, les cerisiers en fleurs nous rappellent ainsi la douceur du printemps, la beauté des choses passagères, et l’importance de s’arrêter un instant pour contempler. Leur floraison ne dure qu’une à deux semaines, mais leur impact, lui, se grave durablement dans la mémoire. Alors, appareil photo en main ou simplement les yeux levés, prenons le temps de savourer ce moment suspendu, partagé par le monde entier.

Ces petits tics verbaux qui révèlent votre manque de confiance en vous

Certaines tournures que nous employons à l’oral, presque sans y penser, en disent long sur notre rapport à nous-mêmes. Parmi elles, des expressions telles que « je sais pas si c’est clair », « enfin voilà quoi », « je dis ça, je dis rien » ou encore les sempiternels « euh » et « en fait » peuvent être plus révélatrices qu’il n’y paraît. Elles trahissent souvent un manque d’assurance, un besoin de validation ou une peur de déranger, surtout en contexte professionnel ou social tendu.

Des tics verbaux anodins… mais révélateurs

Selon le Projet Voltaire, ces tics de langage servent souvent à gagner du temps pour réfléchir, mais ils peuvent aussi traduire un manque de maîtrise ou une nervosité sous-jacente. Quand ils deviennent systématiques, ils finissent par entamer la crédibilité de la personne qui parle et suggèrent un manque de confiance en soi. Parmi les plus fréquents, on retrouve :

  • « Euh » : utilisé pour marquer une hésitation ou une recherche de mots.
  • « En fait » : souvent redondant, il sert à reformuler ou se raccrocher à une pensée.
  • « Tu vois » ou « voilà quoi » : sollicitent inconsciemment l’approbation de l’interlocuteur.
  • « Je sais pas si c’est clair » : remet en question la clarté de ce qu’on vient d’exprimer.
  • « Je dis ça, je dis rien » : permet de se dédouaner d’un avis qu’on n’assume pas totalement.

Ces expressions peuvent sembler inoffensives mais, selon la psychologue Christine Marsan, elles traduisent parfois une peur du jugement, un besoin de rassurer l’autre ou soi-même, ou encore un manque d’affirmation personnelle.

Quand le langage devient un masque

Des chercheurs en communication orale ont observé que les personnes peu sûres d’elles ont tendance à s’excuser d’exister à travers leur façon de parler. En plus des tics verbaux, elles utilisent des formulations atténuantes comme :

  • « Je vais peut-être dire une bêtisse mais… »
  • « Je suis pas experte mais je pense que… »

Ces tournures visent à adoucir un propos ou à se protéger d’un éventuel rejet, mais elles envoient un message implicite : je ne crois pas totalement en la valeur de ce que je dis. Sur le long terme, elles peuvent empêcher d’être entendue, comprise ou respectée à sa juste valeur.

Comment reprendre confiance dans sa parole

1. Identifier ses propres tics

La première étape consiste à en prendre conscience. On peut par exemple s’enregistrer ou demander un retour bienveillant à une personne de confiance.

2. Accepter les silences

Un tic verbal comble souvent un vide. Pourtant, une pause silencieuse est souvent perçue comme plus posée et maîtrisée qu’un remplissage sonore. Apprendre à respirer dans ses silences, c’est aussi affirmer qu’on a le droit de réfléchir.

3. Reformuler avec assurance

Remplacer un « je sais pas si c’est clair » par « dites-moi si je peux préciser un point » change la posture : on n’exprime plus un doute sur soi, mais on s’ouvre à l’autre.

4. Travailler l’estime de soi

Les tics ne sont qu’un symptôme. Derriere, il y a parfois une estime de soi fragilisée. Des outils comme la thérapie, le coaching ou la pratique régulière de la prise de parole (même en petit comité) peuvent aider à restaurer cette confiance.

Nos mots nous trahissent parfois. Un tic verbal n’est jamais anodin quand il devient systématique. Il peut être un signal d’alerte sur notre façon de nous percevoir et d’interagir avec les autres. Bonne nouvelle : il est tout à fait possible de s’en libérer. Cela commence par l’écoute, de soi et de ses propres mots.