Chaque année en France, 600 000 tonnes de vêtements, parfois intacts, finissent à la poubelle. Résultat : certains pays portent désormais l’étiquette de décharge textile à ciel ouvert. Pour en finir avec ce fléau écologique qui pèse lourd sur les épaules de Mère Nature, le marché de la seconde main redonne une chance à ces habits, destinés au pire des sorts. Renouveler sa garde-robe en conciliant achats conscients et prix mini n’a jamais été aussi évident. Comme quoi écologie peut largement rimer avec économie.
C’est d’ailleurs la promesse de la plateforme LILOOK. Ce site, véritable mine d’or pour les fashions-addicts, revisite la magie du troc avec brio. Ici, pas de messages aberrants du style « baissez le prix à 2€ », tout repose sur l’échange. De quoi se concocter une tenue « comme neuve », sans passer des heures à négocier.
LILOOK, un site de seconde main pas comme les autres
Le marché de la seconde main a conquis de nombreux dressings. L’an dernier, 91 % des Français.es ont d’ailleurs acheté un article d’occasion. Et la success-story n’est pas prête de s’essouffler. Sur fond d’inflation et d’urgence climatique, les regards sont braqués sur les alternatives les plus viables tant pour le porte-monnaie que pour la planète.
Sachant qu’un jean parcourt en général 65 000 km (soit 1,5 fois le tour de la terre) avant d’atterrir sur nos gambettes, mieux vaut aller en chiner à proximité, sans dépasser les frontières. En plus de laisser Mère Nature en paix, cette démarche veut du bien à notre compte en banque. Elle permet de réaliser entre 25 et 50 % d’économie.
En bref, c’est un cercle vertueux, ponctué de belles trouvailles et d’affaires en or. Oui, mais voilà, sur les grands sites spécialisés, les arnaques s’enracinent « ni vu, ni connu » au milieu des articles bradés de Sabrina ou Corinne. Impossible (ou presque) de savoir si l’on se fait embobiner ou pas.
Au-delà des escroqueries qui assombrissent cette bonne cause, l’achat vire aussi parfois aux enchères inversées. Les utilisateur.ice.s s’embarquent dans leur meilleur argumentaire pour revoir le prix de base à la baisse. Mais il existe un lieu sûr où l’on peut dénicher des vêtements de seconde main sans devoir y mettre une énergie folle. Roulement de tambours… Il s’agit de LILOOK. Cette marketplace, plutôt confidentielle, tire son épingle du jeu avec un fonctionnement loyal et altruiste.
Chacun.e apporte sa pierre à l’édifice. LILOOK, c’est un espace humain avant tout. Sa particularité ? On échange une de nos pièces contre une autre de même valeur. De quoi remettre un peu de vie dans les penderies.
Le mot d’ordre : l’échange
Sur le site LILOOK, le partage sert de fil conducteur (sans mauvais jeu de mot). Contrairement à des plateformes classiques où chacun.e fait son business à sa sauce, ici on a un vrai cadre, plus rassurant. Le concept se rapproche du troc. Les vêtements deviennent en quelque sorte une monnaie de change. Sympa, non ?
En pratique, si une robe nous tape dans l’œil, on peut contacter sa propriétaire pour l’échanger contre une de nos pièces à nous. C’est ludique, convivial et surtout d’une simplicité enfantine. Pour couronner le tout, ce procédé, propre à LILOOK, nous donne des libertés, peu permises ailleurs. On peut s’accorder sur le même prix, conserver chacun.e le prix de nos articles ou encore s’entendre sur un échange gratuit, sans frais.
Autre surprise et pas des moindres : LILOOK assure nos arrières en cas de problèmes. La plateforme se veut la plus réglo possible. Elle garantit donc une protection des transactions si un accord n’a pas été respecté, si un article n’est pas expédié dans un délai de 4 jours ou si l’article est non conforme. Un gage de confiance qui permet de s’initier à la mode green en toute sérénité.
Une façon judicieuse de se débarrasser des pièces que l’on ne porte plus
Avec son approche à la fois amusante et salvatrice, LILOOK nous encourage aussi à faire le tri dans nos penderies qui débordent. Selon une étude, un tiers des vêtements de notre dressing n’est jamais porté. Que ce soit cette robe à sequin achetée sur un coup de tête ou ce pull violet, encore paré de son étiquette, nombreuses sont les pièces laissées à l’abandon.
Au lieu de les entasser au fur et à mesure, on remet leur destin en jeu sur LILOOK. En retour, on récolte un nouveau trésor vestimentaire venu d’une autre armoire. Jackpot ! Eh oui, LILOOK ne déroge pas aux tendances. Il est donc tout à fait possible de tomber sur un grand hit mode du moment. Les idées reçues qui prétendent que la seconde main est du genre vieillot peuvent se rhabiller.
LILOOK est un repaire green 2.0 qui conjugue respect, honnêteté et courtoisie. Site de seconde main à part entière, LILOOK nous tend les bras vers une mode raisonnée et raisonnable. Pas d’achats compulsifs en vue ni de joutes verbales autour du prix, LILOOK s’aligne parfaitement sur le mouvement slow-fashion.