Si le recyclage des déchets, l’alimentation anti-gaspi et les achats en friperies sonnent comme une évidence pour épargner l’environnement, ça l’est un peu moins pour la banque. Pourtant, les banques vertes et éthiques participent aussi activement à la cause écologique. Elles prennent le contre-pied de nombreux établissements bancaires en investissant dans des projets vertueux tournés vers l’avenir. C’est le pari d’Helios, une éco-banque française engagée pour le climat qui gère notre argent avec un œil résolument green.
Confier sa bourse à Helios, c’est agir implicitement en faveur de Mère Nature. Une démarche salvatrice loin de l’opportunisme ambiant du secteur. Alléger son empreinte carbone passe donc aussi par le choix mesuré de sa banque.
Comment les banques peuvent-elles polluer ?
Il n’y a pas que les transports qui polluent. Certaines banques, sous leur côté formel, réglo et discret, font aussi suffoquer Mère Nature, à leur manière. Une souillure en catimini dictée, en partie, par l’appât du gain. Leur impact sur l’environnement a même été démontré plusieurs fois.
D’abord, trois banques survolent le podium des entreprises émettrices de gaz à effet de serre du Cac 40. Ensuite, selon une enquête Oxfam, l’empreinte carbone des six premières banques françaises représente environ 8 fois les émissions de gaz à effet de serre de la France entière.
Si les mastodontes du milieu bancaire pèsent aussi lourds sur l’environnement, c’est notamment à cause de leurs investissements, peu ragoûtants. Les grosses banques injectent leur argent dans des projets énergivores au simple nom de l’intérêt financier.
Malgré une crise climatique palpable et de plus en plus rugissante, elles ne semblent pas encore prêtes à s’améliorer. D’après un rapport Banking on Climate Chaos de 2022, elles ont consacré 350 milliards de financements aux énergies fossiles (pétrole, charbon…) depuis 2015. Une aberration totale qui pourrait reporter de 3 à 5°C la température de la Terre d’ici la fin du siècle.
Même la personne la plus écolo du monde qui se lave avec des shampoings solides, fait ses courses en vrac et se sape uniquement avec de la seconde main, peut neutraliser tous ses efforts en un compte bancaire. Pour placer son argent en lieu sûr, loin des mains sales, les banques vertes s’esquissent en ligne de mire.
Une banque verte, c’est quoi au juste ?
Le secteur bancaire n’est pas totalement noirci par la débauche. De nouveaux concepts ont germé avec cette conscience écologique en étendard. C’est le cas notamment des banques vertes, des banques qui s’engagent à financer exclusivement la transition écologique et y ajoutent donc leur pierre à l’édifice. Helios en a fait son leitmotiv.
Cette néo-banque française propose à ses client.e.s de devenir acteur.ice du changement. Comment ? En prenant le parti de financer uniquement des projets « verts » orientés par exemple, sur les énergies renouvelables ou la production locale. Avec la banque Helios, fini les langues de bois.
Forte de son succès, cette jeune pousse a déjà fait éclore plusieurs grands chantiers comme une centrale solaire en Nouvelle-Calédonie, mais aussi une production de protéines végétales à base de colza. Sur la seule année 2022, cette banque visionnaire a permis d’éviter l’émission de 61 000 tonnes de CO2. Helios est le compte le moins émetteur de CO2 en 2022, d’après le rapport d’impact Greenly. Un beau répit pour Mère Nature.
Quels avantages à aller chez Helios, banque verte la plus juste ?
Helios est une belle éclaircie dans le paysage bancaire. Au-delà de porter haut les couleurs de la révolution verte, elle présente aussi d’autres atouts, toujours enracinés dans des valeurs écologiques.
Le premier, c’est son tarif unique fixé à 6 € et sans frais cachés. La transparence est une notion fil rouge chez Helios. Cette banque verte c’est aussi :
1 – Des cartes bancaires en matière durable
Moyen de paiement préféré des Français.es, surtout depuis la Covid-19, la carte bancaire, aussi petite soit-elle, passe mal dans le ventre de Mère Nature. Ces morceaux de rectangle, renouvelés tous les cinq ans, finissent directement à la poubelle, générant ainsi pas moins de 500 tonnes de matières plastiques.
Armé de sa signature bienveillante, la banque verte Helios a décidé de changer la donne en confectionnant des cartes plus durables. La carte du compte courant classique Helios est faite en bois naturel de cerisier issu de forêts durablement gérées d’Europe Centrale. La carte du compte commun, elle, est en plastique recyclé et fabriquée sur un site autrichien pourvu qui tourne à l’énergie photovoltaïque.
Autre point important : contrairement à d’autres banques, à chaque achat, la banque Helios utilise les taux d’interchange pour nourrir encore plus de projets écologiques.
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2 – Un droit de regard sur l’utilisation de notre argent
La banque Helios est totalement honnête avec ses client.e.s. Elle laisse une porte ouverte sur le financement de ses projets écologiques et donne un aperçu réel sur le chemin que parcourt notre argent. Il y a une vraie traçabilité des dépôts, peu permise ailleurs ou alors biaisée. Chez Helios, rien ne reste sous cloche.
3 – Des comptes « verts » adaptés à chaque besoin
Helios ne se limite pas à une seule possibilité. Cette banque verte s’adresse aussi aux jeunes avec un compte jeune dédié aux 18-23 ans et aux couples avec un compte commun. Elle propose également un livret d’épargne éthique et gratuit. Cet argent dormant permet, une fois encore, de faire grandir des projets à hautes valeurs environnementales.
La banque Helios rafraîchit le secteur bancaire et traite notre argent avec le plus grand soin. Confier son patrimoine financier à Helios, c’est façonner un monde de demain en pleine santé. La banque Helios créée une véritable alchimie entre l’humain et la nature. La choisir est un geste militant, au même titre que troquer sa voiture contre ses jambes.
