Les baskets, devenues indispensables au vestiaire de tous les jours, concluent les looks en beauté. Cependant, au-delà de leur cachet mode, elles laissent une empreinte colossale sur Mère Nature. Les baskets achetées en France en 2020 ont pollué autant qu’un Boeing 777 qui aurait fait 4 200 allers-retours entre Paris et New York. Pour inverser cette débauche écologique, Panafrica a imaginé des baskets qui conjuguent fabrication éthique et design chaleureux.
Ces créations en clin d’œil à la florissante culture africaine transportent avec elles le goût du voyage et de l’engagement. Des matières premières aux partenariats en passant par le nombre de stocks, Panafrica œuvre pour le raisonnable. Porter ces paires enjouées, c’est faire un pas vers le changement.
L’aventure Panafrica en trait d’union avec l’Afrique
La marque, propulsée en 2015 dans l’élan solidaire d’une campagne de financement participatif, sonne comme une ode à l’Afrique, continent aux mille et une facettes. Elle laisse transparaître en filigrane l’ambition de Vulfran de Richoufftz et d’Hugues Didier, les deux cofondateurs. Leurs chemins se sont croisés sur les bancs de l’Université. Unis par la même soif d’entreprendre, ils ont décidé de renoncer à leur avenir tout tracé avec la ferme intention de changer la face du monde, à leur manière.
Ce désir, en apparence utopique, s’est concrétisé lors d’un voyage en Afrique, avec une poignée de croquis et beaucoup de convictions. Pour donner une étoffe à leur projet, les deux génies du green sont alors partis à la rencontre des artisans locaux et ont enchaîné les visites d’usine. Une approche altruiste qui a fini par faire toute la teneur de Panafrica.
Les baskets de la marque traduisent ainsi toute la richesse de cette terre de coutumes. Chaque paire est une déclaration d’amour à ce continent bercé de soleil. Contrairement aux géants du secteur qui déportent leur production pour réduire leur coût, Panafrica est le fruit d’une complicité gagnante entre les partenaires locaux et les cofondateurs français. Un lien honnête qui se ressent jusqu’au bout des lacets.
Cette marque engagée prouve que l’Afrique ne se limite pas seulement à ses paysages arides. Elle dévoile tout le potentiel artisanal qui vibre entre ses frontières. Au-delà de l’expérience humaine, Panafrica conçoit ses collections avec une conscience écologique aiguisée. Alors qu’une paire de baskets « classique » pèse environ 14 kg de CO2, la marque, elle, limite les dégâts sans faire défaut au bon goût.
Panafrica, l’innovation et la durabilité à portée de cheville
C’est bien plus qu’une marque de baskets, c’est toute une philosophie du « mieux faire ». Dans une ère dopée à la surconsommation, elle invite à revenir à l’essentiel sans pour autant renoncer à l’éloquence. La marque, vouée à devenir une grande pointure de la mode « lucide », travaille main dans la main avec des partenaires situés aux quatre coins de l’Afrique : Maroc, Côte d’Ivoire, Burkina Faso et Ghana. Tous vantent le crédo d’une mode d’avenir, saine pour la planète et pour l’Homme.
Ces valeurs inestimables se tissent dans chaque basket. Raphia tressé à la main, toile Seaqual en plastique recyclé, coton bio certifié GOTS ou Ecocert, teintures écologiques, matières vegan aux déchets de pommes… les textures qui habillent les paires sont à la fois clean et pointilleuses. La marque est allée encore plus loin dans la démarche du « rien ne se perd, tout se transforme » avec son modèle Arusha, l’unique basket consignée.
D’ailleurs, les baskets Panafrica sont immortelles. Avec le programme REBIRTH, la marque ressuscite les paires usées par les longues balades sous de nouvelles formes. Un cercle vertueux salutaire qui récupère ce que beaucoup considèrent comme irrattrapable. À l’heure où 9 paires de chaussures sont jetées chaque minute en France, ce système de revalorisation est un vrai geste de secours.
Des collections green aux accents d’évasion
À l’inverse des sneakers « phares » qui trempent dans l’ordinaire, les baskets Panafrica possèdent des designs signatures reconnaissables entre mille. Elles rafraîchissent le patrimoine vestimentaire africain avec une belle pointe de modernisme. Le Wax, textile de coton aux teintes vives et aux imprimés complexes, est d’ailleurs l’étendard de la marque. Il s’épanouit essentiellement sur des paires à mi-chemin entre le style old-school et l’esthétique urbaine. Décliné en version pop ou plus minimaliste, le Wax ajoute un point final coloré à l’allure.
Depuis plusieurs collections, la marque explore également le caractère presque solennel du Batik. Façonné selon des méthodes ancestrales, ce tissu est en quelque sorte la forme originelle du Wax. Les motifs, plus instinctifs et sobres que le Wax, naissent sous le poids de tampons en bois ou en mousse imprégnés de cire chaude. En découlent des courbes aléatoires allant de l’effet moucheté aux ondulations.
Les pièces fusionnent imprimés traditionnels et designs aux échos contemporains. Complètement recouvertes ou simplement constellées de ces détails à l’histoire forte, les paires stimulent les tenues monocordes du quotidien tout en ayant un côté « caméléon ». En parallèle de ses collections attitrées, Panafrica a également scellé des partenariats avec d’autres grands noms de la mode comme la noble Agnès B et la nomade Bonobo.
Une marque de solutions à forte valeur humaine
Panafrica c’est avant tout une marque du cœur. Elle donne un coup de projecteur nécessaire sur le savoir-faire précieux et injustement sous-évalué qui pétille sur le sol africain. Derrière ses créations singulières, il y a Esther, femme entrepreneuse qui tient les rênes d’un petit atelier au Ghana, Xoomba qui s’occupe du tissage et de la teinture au Burkina Faso ou encore Hicham qui assemble toutes les pièces au Maroc. Malgré son envolée fulgurante, la marque explique chérir ses partenaires comme sa propre famille.
Elle mène d’ailleurs des actions sociales avec UniWax qui a notamment permis d’ouvrir une cantine gratuite de 200 places aux employé.e.s et leur proche. Panafrica ne se contente pas de donner des consignes à ses partenaires, elle œuvre pour leur meilleure condition de travail. Une chaîne humaine sans couleurs ni frontières, qui fait toute la sincérité de la marque.
En plus de mettre de la joie au bout des pieds, Panafrica raffermit les habitudes écologiques tout en donnant une merveilleuse leçon de « vivre ensemble ». Arborer les paires Panafrica, c’est faire le bien à 360°. De quoi marcher vers des horizons plus prometteurs !
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