Avec l’effervescence du « faire soi-même » et de la culture « homemade », la couture s’est tissée une véritable ascension. Cette activité minutieuse, longtemps associée aux occupations de grand-mère, revient en grâce sur les mains de toutes les générations. Pour éviter de s’emmêler les aiguilles et confectionner des vêtements qui filent droit, Majam propose des kits prêts à l’emploi propices à toutes les folies créatives.
La marque, pionnière en son genre, s’adresse aux novices de la bobine qui souhaitent maîtriser la couture sur le bout des doigts. Un concept frais, ludique et captivant pour faire naître des pièces uniques, à l’image de son style.
Un concept positif qui dépoussière la pratique de la couture
Dans l’imaginaire collectif, la couture est la chasse gardée des séniors en proie à l’ennui. À son évocation, le portrait cliché de la mamie aux lunettes tombantes avec le mètre autour du cou se dévoile en toile de fond. Alors pour épingler les idées reçues et rajeunir cette pratique manuelle aux multiples vertus, Majam a lancé une box couture engageante.
Contraction de magique et tadam, Majam déploie les grands moyens pour initier un public, trop souvent assisté par la société moderne, à renouer avec une activité féconde. Si auparavant, faire un ourlet ou se créer une écharpe sur-mesure en un simple revers d’aiguille sonnait comme une évidence, aujourd’hui cette épreuve de patience relève de la rareté. La marque Majam s’est alors donnée pour mission de dérider ce savoir-faire et de le broder noir sur blanc dans les habitudes.
Avec un ADN punchy et optimiste en fil rouge, Majam s’attèle à rendre la couture accessible, ce même aux personnes qui ont deux mains gauches. La marque, créée en 2017, se traduit dans une approche pédagogique et récréative qui donne envie de ressortir la machine à coudre illico presto. Et au-delà d’occuper les pouces autrement que sur un écran, Majam incite à se raconter au gré du tissu et de se concocter des vêtements à sa taille, loin des standards.
Réaliser des vêtements soi-même pour mieux s’accepter
La couture est bien plus qu’un simple hobby dominical. Chausser les dés est aussi un acte d’émancipation pour se libérer des codes de la mode « commerciale ». L’histoire de Mouna, co-fondatrice de Majam, en témoigne. En 2014, alors que la tendance des chemises à carreaux bat son plein, elle tente de dénicher un modèle flatteur et confortable. Mais la jeune femme est rapidement ralentie dans ses ardeurs.
Avec sa taille 36 et sa forte poitrine, elle est condamnée à des chemises étriquées qui tirent sur le devant. Bien décidée à en découdre avec ces fichues « normes », elle se lance dans l’élaboration d’une chemise cousue main. Elle découvre alors que la pratique de la couture est largement sous-cotée et lance sa chaîne YouTube pour la démocratiser sous un angle plus alléchant. Majam est donc aussi une brillante réponse au manque d’inclusivité du prêt-à-porter « classique ». En plus de doper, le taux de dopamine, la couture « maison » sonne également comme une déclaration d’amour de soi à soi.
Une façon de réveiller son âme créative
La couture est un moyen d’expression à part entière. Elle cueille l’esprit inventif sur le vif. Mais sans appui ni règles de base, difficile de réveiller son Saint Laurent intérieur. Pour mieux appréhender le tête-à-tête avec l’aiguille, Majam donne une ligne de conduite déchiffrable en un coup d’œil. La box contient un patron de vêtement, un tissu certifié Oeko-Tex fabriqué en France ou en Europe et un livret explicatif truffé de « tips » vulgarisés. Le rendu final est piqué de modernité. Exit les vêtements simplistes sans allure et les designs has been, les kits Majam donnent naissance à des intemporels de caractère.
Manteau cintré en laine, blouse romantique à volants, sweat aux touches géométriques, robe noire surplombée de résille à pois, mais aussi combishort au motif tropical… Majam dévoile une mode auto-suffisante vitaminée. Et puisque la couture est universelle, la marque va du 34 au 58. Ces vêtements, fruits d’un travail individuel méticuleux, se portent avec fierté. Ce sont des pièces à forte valeur thérapeutique qui rapiècent la confiance en soi. En plus d’initier en douceur à la couture, les kits Majam récompensent les courbes de tous horizons.
Une box mensuelle pour se perfectionner
Sur Majam, il est possible d’acheter les kits à l’unité ou alors de prendre l’abonnement mensuel pour ne pas perdre la main. Eh oui, des doigts de fée, ça s’entretient ! Deux possibilités. L’abonnement box couture pour peaufiner sa maîtrise et mettre sa dextérité à l’épreuve. Il contient un patron inédit, un tissu de qualité, la mercerie assortie et un cahier technique.
Ou alors, l’abonnement box patron, pour aller crescendo dans les défis. Il recense un nouveau patron par mois et un cahier technique. Une option qui chatouille volontiers la fibre créative. Plus de 5000 couturières en herbes ont déjà succombé à ces boxs de bon goût. Être le.a protagoniste de son dressing quotidien n’a jamais été aussi concret. De quoi palper un rêve sans y laisser ses nerfs.
Avec ses kits de couture clés en main ludiques et digestes, Majam risque de susciter des passions inattendues. La marque nous extirpe d’une mode pantouflarde et compulsive pour aller hors des sentiers battus. Une façon ingénieuse de devenir acteur.ice de ses courbes et de son look. Majam, c’est l’arsenal couture idéal pour tirer son épingle du jeu en société.