Pamela Anderson parle de sa première Une de Playboy : le conseil surprenant de sa mère !

Avant d’investir les plages de Malibu dans son affolant maillot de bain rouge et de devenir le plus gros fantasme du petit écran, Pamela Anderson s’est hissée en Une du magazine Playboy. Poses lascives, corps à découvert… elle n’a pas tardé à se faire une réputation de « sex symbol » et titiller l’imaginaire des lecteurs fidèles. Dans une émission animée par Laurent Delahousse, la mannequin américaine, aujourd’hui âgée de 57 ans, est revenue sur cette expérience sulfureuse en tant que playmate. Un rôle de muse sensuelle qu’elle n’a pas accepté tout de suite. Voici la vérité sur cette première couverture Playboy.

Pamela Anderson, repérée par hasard sur un match de foot

À l’évocation de Pamela Anderson, l’image de la sauveteuse blonde en maillot échancré se forme tout de suite dans les esprits. Nombreux sont ceux qui regardaient « Alerte à Malibu » simplement pour la voir plonger dans les vagues et fouler le sable chaud, avec sa poitrine dansante. La silhouette dite avantageuse de Pamela Anderson a marqué plusieurs générations. Véritable Barbie à taille humaine, c’est d’ailleurs son corps athlétique et ses courbes qui lui ont porté chance.

Issue d’une famille modeste du Canada, Pamela Anderson a toujours voulu être en haut de l’affiche et goûter à la célébrité. À tout juste trois ans, elle prêtait déjà son visage à des marques locales pour des publicités. Mais c’est en 1988, à 21 ans, que son destin bascule. La marque de bière Labatt repère son potentiel alors qu’elle assiste à un match de football à Vancouver et lance sa carrière de modèle.

La suite de l’histoire, vous la connaissez certainement. Le magazine de charme Playboy, celui que les ados en ébullition cachaient sous leur lit et que les hommes parcouraient pour se mettre en appétit, lui fait des avances. En octobre 1989, Pamela Anderson campe la couverture du média le plus émoustillant des kiosques dans un uniforme pauvre en tissu et ouvert en grand sur sa poitrine. Pourtant, face à cette proposition alléchante, elle s’est montrée hésitante.

Son premier réflexe avant d’accepter de poser pour Playboy

Alors que le magazine Playboy était dans son âge d’or, Pamela Anderson aurait pu accepter ce rôle de Playmate sans broncher. Cependant, à cette époque, ce n’était pas elle qui faisait rougir les joues des autres mais l’inverse. C’est peut-être difficile à croire mais la mannequin canadienne était de nature timide. Forcément flirter avec les objectifs et poser sans vêtements dans des mises en scène suggestives n’était pas vraiment inné pour elle.

« Quand j’étais jeune, j’étais timide maladive. Lorsqu’on m’a proposé de faire la couverture d’octobre 1989, j’ai appelé ma mère », a-t-elle avoué à Laurent Delahousse dans l’émission 20h30

Elle s’est donc concertée avec sa maman avant de prononcer ce « oui » qui l’a mené au sommet de la gloire. On s’attend à ce qu’elle refuse ou qu’elle scande une phrase du style « c’est trop risqué » ou « c’est une mauvaise idée » mais ce n’est pas du tout ce qui s’est passé. Sa maman n’a pas vu de vulgarité à travers ce job, elle n’a retenu que l’opportunité.

L’avis de sa mère, décisif au début de sa carrière

Si Pamela Anderson a pris place en Une de Playboy et a réitéré ces shootings érotiques treize fois, c’est en partie grâce à sa maman, qui s’est certainement accomplie dans les yeux de sa fille. Carole Grosco a été serveuse presque toute sa vie. Au lieu d’imposer des interdits à Pamela, elle l’a encouragé dans ce métier du paraître, qui ferait pourtant grimacer de nombreux parents.

« Elle m’a dit : ‘Fais-le ! Il faut vivre les choses. Je le ferais si j’étais à ta place !’ Et j’ai dit : ‘Bon allez, je me lance’ », a-t-elle révélé

Cette discussion chargée de bienveillance a abrégé tous les doutes de Pamela Anderson, qui a incarné, pendant une décennie, la femme fatale et qui a certainement accompagné de nombreux hommes sous la couette. Au début de son ascension, Pamela Anderson s’est surtout résumée à sa plastique hypnotique et son visage de poupée, toujours apprêté. Femme objet, déshabillée pour « vendre » et stimuler l’oeil du public masculin, elle s’est « assagie » avec le temps.

Désormais, la mannequin renoue avec la simplicité et revendique le « no makeup ». Même si elle ne garde que de bons souvenirs de cette aventure dans les rangs de Playboy, elle souhaite que ses fans retiennent autre chose de son nom. Pamela Anderson, ce n’est pas qu’un corps, c’est aussi une femme inspirante et engagée.

Émilie Laurent
Émilie Laurent
Dompteuse de mots, je jongle avec les figures de style et j’apprivoise l’art des punchlines féministes au quotidien. Au détour de mes articles, ma plume un brin romanesque vous réserve des surprises de haut vol. Je me complais à démêler des sujets de fond, à la manière d’une Sherlock des temps modernes. Minorité de genre, égalité des sexes, diversité corporelle… Journaliste funambule, je saute la tête la première vers des thèmes qui enflamment les débats. Boulimique du travail, mon clavier est souvent mis à rude épreuve.
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