La cellulite, petite constellation nichée sur les cuisses, les bras ou encore le ventre, concerne 9 femmes sur 10, toutes corpulences confondues. Ces lésions cutanées naturelles sont sans gravité. Cependant, même si elles sont devenues la plus grande conquête du mouvement body positive, elles s’attirent toujours le grade de « complexe ». Beaucoup se retiennent encore de porter certains vêtements par peur de heurter les regards ou d’aimanter les jugements. Pour mieux comprendre ce phénomène physiologique et cohabiter en paix avec, voici quelques infos à savoir sur la cellulite. De quoi dédramatiser avant l’arrivée de l’été.
La cellulite, qu’est-ce que c’est concrètement ?
La cellulite, considérée à tort comme le résultat d’une négligence, est une accumulation de tissu adipeux sous la peau. Surtout déployée pendant la puberté, lorsque le corps passe brutalement de sa chrysalide d’ado pour prendre sa forme adulte, la cellulite ne signifie pas forcément qu’il y a eu du « laisser-aller ». Elle est co-dépendante des hormones, ce qui explique sa formation « précoce ». Ce n’est pas une maladie contagieuse, simplement une particularité physique vécue au collectif.
Cette déformation de la peau est due aux cellules graisseuses, appelées adipocytes, stockées sous la peau. C’est ainsi que la peau prend cet aspect capitonné. En s’épanouissant à leur guise, ces cellules coupent la circulation de la lymphe, intermédiaire principale pour traiter les toxines. Sans cette fonction primaire, les toxines vont s’accumuler et créer une inflammation. La peau perd alors toute sa souplesse et arbore cette finition grumeleuse, communément appelée « peau d’orange ».
Contrairement aux hommes, les femmes ont une « prédisposition » à la cellulite. À l’inverse de leurs homologues qui ont une peau plutôt cuirassée, ces mesdames ont une peau plus fine. S’ajoute à cela une hyperactivité hormonale qui favorise l’accumulation d’eau et la prise de masse graisseuse. Si aujourd’hui, ces marques légèrement vallonnées sont presque devenues une obsession, le terme « cellulite » ne remonte qu’aux années 20. Avant cette époque, les femmes n’avaient pas le souci du miroir.
Les différents types de cellulite
La cellulite, souvent vécue avec cet effet loupe, prend quasiment toujours la même allure. Cependant, elle ne traduit pas toujours la même origine. Si la plus courante reste bénigne, elle peut également être l’héritage de problèmes de santé plus profonds. Voici les 3 types à distinguer pour mieux l’interpréter :
- La cellulite aqueuse : Elle est souvent la cause d’une mauvaise circulation sanguine ou d’une sédentarité accrue. Elle s’accompagne généralement d’une sensation de jambes lourdes.
- La cellulite adipeuse : Elle résulte d’une surcharge pondérale ou d’une prise de poids subite. Elle peut se révéler douloureuse au pincement ou dans certains mouvements comme le fait de s’asseoir.
- La cellulite fibreuse : Plus coriace que les autres, elle provient d’un durcissement des fibres de collagène qui enveloppent les adipocytes. Visuellement, elle se rapproche de la cellulite dite « de base », mais au toucher elle est plus rude.
Peut-on prévenir la cellulite ?
Si la cellulite est un étendard de l’acceptation de soi, elle peut également être source d’un grand mal-être. Lorsqu’elle induit contraintes vestimentaires, privations volontaires et fausses excuses, la cellulite n’est plus seulement un petit détail, elle prend toute la place et devient envahissante. Dans ce cas de figure, même les mantras spirituels les plus sages ne parviendront pas à résoudre ce conflit corporel. Pour apaiser cette lutte contre soi-même, il existe cependant des techniques qui peuvent l’estomper, voire la gommer totalement.
Lazéo qui regroupe 120 centres de médecine esthétique partout en France propose tout un arsenal de traitements sains, à la pointe de l’innovation pour traiter la cellulite et enfin enterrer l’âge de guerre avec son reflet. Bien plus prometteurs que les crèmes raffermissantes, ils prônent une approche pointilleuse et avancée. La garantie d’un rendu net et naturel. Plus question de sortir en pull et en pantalon sous 40°C, Lazéo est la rampe d’accès pour se réconcilier avec son corps. Au programme :
- La Cryolipolyse : Sous son nom un peu barbare, ce traitement cache un côté révolutionnaire. Il gèle les cellules graisseuses de façon localisée en seulement une séance. Réalisé sous l’égide d’une machine dernière génération, il ne laisse aucune lésion et a l’avantage d’être complètement indolore.
- L’Ultraformer : Ce traitement sollicite la puissance des ultra-sons pour raffermir la peau et la rendre plus lisse. Le système d’ultra-sons crée un point de chaleur localisé de 65° à 75°C et redonne à la peau toute son élasticité. Il réactive ce que la cellule entravait. Résultat : la peau paraît « sculptée ».
- L’EMSCULPT NEO : Ce traitement, unique en son genre, convoque le potentiel des ondes électromagnétiques. Provoquées à haute intensité pour contracter les muscles, elles renforcent le corps et lui confèrent une allure tonique. Cette technique minutieuse troque la graisse contre des muscles l’air de rien.
- Le Legend Pro : Il s’agit d’une combinaison de traitements tous plus performants les uns que les autres. Cette méthode se concentre surtout sur la radiofréquence. Une solution hybride qui régénère les fibres de collagène et remodèle les muscles.
Quelles sont les origines de la cellulite ?
La cellulite n’est pas une fatalité en soi. Souvent chassée, rarement adulée, elle trahit surtout une société intransigeante envers la « valeur » physique. Même si ces petites vaguelettes sont souvent un souvenir palpable de l’adolescence, elles renferment également d’autres messages, parfois insolites. Voici les multiples racines de la cellulite :
Le facteur hormonal
Les hormones ne pardonnent pas, surtout lorsqu’elles s’affolent pendant les temps forts de la vie. À l’adolescence, l’augmentation radicale des taux d’œstrogènes et de progestérone accroît la capacité du corps à emmagasiner les graisses. Même constat chez les femmes enceintes.
Le corps fera des réserves adipeuses pour permettre à bébé de grandir correctement et de se sustenter en conséquence. Résultat : après l’accouchement, il en gardera les stigmates. À la ménopause, c’est l’inverse. Les hormones féminines sont en chute libre et le métabolisme devient plus passif. Le corps manque alors à ses devoirs de drainage naturel, ce qui cristallise la cellulite.
L’hérédité
Le patrimoine génétique réserve parfois bien des surprises. S’il définit généralement les traits physiques principaux comme la couleur des yeux ou la forme du nez, il joue aussi sur la régénération de notre masse osseuse, musculaire et graisseuse. Certes, il y a toujours un moyen d’agir sur ces fonctions, mais en général la vraie nature ressort et se transmet au fil des générations.
La sédentarité
Ce n’est pas un scoop, la sédentarité laisse des traces, plus ou moins saillantes. Si les problèmes de dos font partie de ses signes discrets, la cellulite, elle, l’illustre haut et fort. En restant dans une posture immobile à longueur de journée, les dépenses énergétiques sont dérisoires.
Au lieu de s’éliminer au gré des mouvements, les repas vont alors se convertir en masse graisseuse et ils seront stockés sous forme de triglycérides dans les cellules adipeuses.
Le tabagisme et l’alcool
Le tabac ne se contente pas de ruiner les poumons, il nuit à toute la circulation sanguine. Dans le jargon médical, on dit qu’il est vasoconstricteur, cela signifie qu’il rétrécit les vaisseaux sanguins. Il condamne ainsi les apports d’oxygène dans les tissus graisseux et favorise la cellulite.
En ce qui concerne l’alcool, c’est surtout la dose excessive de sucre qu’il contient qui pose problème. Ce sucre, superflu, renferme des calories vides, qui atterrissent directement là où se loge la cellulite.
Les vêtements trop serrés
Les pièces près du corps à l’instar du jean skinny ne sont pas seulement inconfortables, elles sont également nocives pour la santé. Avec leur effet « gaine », elles agissent négativement sur la circulation et perturbent le drainage naturel des tissus.
Cette cellulite qui ondule sur la peau va bien au-delà de la simple « crise de paresse ». Ces lignes boursouflées sont des itinéraires qui appartiennent à chacun.e. Si certain.e.s l’appréhendent comme des œuvres d’art, d’autres préfèrent les assaillir sans relâche.
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