Le passage chez le.a dentiste a de quoi faire grincer des dents. Que ce soit pour une carie ou des soins plus conséquents, ce rendez-vous demande un courage surhumain. Le bruit insoutenable de la fraise figure forcément dans le top des hantises. Mais l’angoisse ne s’arrête pas seulement sur le fauteuil dentaire, elle se poursuit au moment de régler la facture, toujours salée.
Nul besoin d’être une star pour en appeler à l’assurance dentaire, une précieuse aide loin d’être un luxe à l’heure où les frais dentaires explosent. De quoi prendre soin de son sourire sans casser la tirelire.
Les soins dentaires devenus hors de prix
Malgré une hygiène dentaire irréprochable, le contrôle chez le.a dentiste est indispensable. Que l’on soit enfant ou adulte, ce rite de santé obligatoire est un véritable supplice. Pour beaucoup, les ustensiles du/de la dentiste s’apparentent à des accessoires de torture. Mais cette partie-là n’est qu’un simple amuse-bouche.
Au-delà de cette peur qui vire même parfois à la stomatophobie, un autre aspect tout aussi terrifiant vient couronner la séance : le tarif incisif. En Belgique, les prix sont encore plus affolants qu’en France. La pose d’un appareil dentaire pour un.e enfant de 12 ans atteint par exemple la somme faramineuse de 2 505 € et la mutualité ne couvre même pas la moitié des frais.
L’aberration financière ne s’arrête pas là. Comptez 1 200 € pour la pose d’une couronne, 5 000 € pour une gouttière et 1 000 € minimum pour deux dentiers, remboursés uniquement à partir de 50 ans. Si depuis octobre dernier, les consultations gratuites chez le.a dentiste se sont étirées jusqu’à l’âge de 19 ans, la pression financière reste palpable.
Pour éviter de se retrouver avec un énorme trou dans le compte en banque, 7 Belges sur 10 repoussent leur rendez-vous chez le.a dentiste d’après le baromètre de la compagnie d’assurance DKV spécialisée dans les assurances dentaires de Belgique. Plus terrible, près de 2 Belges sur 10 ont envisagé de reporter un traitement dentaire pour pouvoir se payer des vacances.
Ces chiffres parlent d’eux-mêmes. Le.a dentiste est un ruine-budget. Pourtant, seuls 5 % des Belges possèdent une assurance dentaire. Une solution méconnue, mais pérenne qui donne une nouvelle saveur aux va-et-vient de la roulette.
L’assurance dentaire pour des rendez-vous l’esprit léger
Perdre toutes ses dents est certainement le cauchemar collectif le plus répandu. Et si ce mauvais rêve devenait réalité ? Malgré les progrès de la médecine, la santé dentaire passe encore trop souvent au second plan. Dans un rapport, l’OMS estime que 60 à 90 % des enfants en âge scolaire sont concerné.e.s par des problèmes dentaires.
Carrie, bruxisme, abcès, aphtes et autres réjouissances buccales poussent le plus souvent à la consultation. Que ce soit pendant l’enfance avec l’excès de bonbons ou passé la cinquantaine à cause d’une certaine fragilité dentaire, l’entretien des dents est crucial. Chez les séniors, une mauvaise santé bucco-dentaire peut avoir des conséquences dramatiques. C’est la porte ouverte aux maladies cardiovasculaires, à la pneumonie, mais aussi à la malnutrition. Alors mieux vaut avoir les bons compagnons de route à ses côtés dès le début.
D’ordinaire, lorsqu’on parle assurance, on pense surtout aux offres classiques en lien avec l’habitation, la retraite ou les voyages. Mais on ne connaît pas assez le haut potentiel de l’assurance dentaire. C’est un beau joker, propice aux sourires satisfaits au sens propre comme figuré. L’assurance dentaire prend en charge soins préventifs, soins conservateurs, mais aussi traitements avancés.
Si votre ado doit se résigner aux bagues, moins glamours que celles de la joaillerie, l’assurance dentaire est de bon augure. Elle permet de couvrir une grande partie des frais qui peuvent grimper jusqu’à 5 000 €. Avoir un smile ordonné peut coûter cher. Ce n’est pas un secret. Ce que l’on sait moins, c’est qu’en Belgique, à partir de 15 ans, les mutuelles ne remboursent plus les soins de ce type.
Comment bien choisir son assurance dentaire ?
Toutes les assurances dentaires de Belgique ne se valent pas. Certaines se révèlent plus avantageuses que d’autres. Mais difficile de le savoir au premier coup d’œil. La quête de l’assurance parfaite peut rapidement devenir un vrai casse-tête. Voici donc quelques points à prendre en compte avant de s’embarquer dans la paperasse :
- Le questionnaire médical. Pour estimer vos besoins et connaître vos potentiels antécédents médicaux, cette étape est importante. En Belgique, DKV est la seule assurance dentaire à le soumettre avant de passer à l’étape suivante.
- Le devis préalable. C’est une sorte de sécurité pour les assurances dentaires. Cette formule est applicable seulement si les soins sont onéreux (prothèses liées à un accident par exemple).
- Le taux de remboursement. Pour vous faciliter la tâche, référez-vous aux comparateurs. Certaines assurances proposent des couvertures complètes à des tarifs très abordables. À vous de faire le tri en fonction de vos prétentions.
- L’option sur-mesure. Là encore, cette possibilité est rare, mais elle existe. En Belgique, DKV est la seule assurance dentaire à proposer trois offres allant de l’essentiel au prémium.
À vous le sourire de starlette à prix tout doux. L’assurance dentaire signe la fin de l’âge de guerre avec le.a dentiste. Nous n’en sommes pas encore à résumer la séance à une partie de plaisir, mais par temps d’inflation, ce coup de pouce fait du bien au portefeuille.